Après les trois premiers jours de mer où, les visites et découvertes des sites se sont très bien passées et les nuits sur le bateau aussi, aujourd’hui nous allons passer la journée sur une des îles de Lérins.
C’est sur Ste Marguerite que nous passerons notre journée. C’est journée libre. Chacun peut faire ce dont il a envie.
Après un peu de marche, nous nous trouvons une petite plage sympa où, il n’y a personne. Alors, nous nous y installons. Le soleil inonde déjà le ciel, la plage et le massif forestier juste derrière.
Nous en profitons pour nous baigner et, surtout, nous câliner autant qu’il est possible. Car, l’envie est toujours aussi forte. Et, à jouer à ce petit jeu là, ce qui devait arriver arriva. Je me retrouve, rapidement, avec le barreau en travers du maillot.
Valentine voyant ça, se met à rire et me lance comme ça.
◦Qu’est ce qu’ilt’arrive mon chéri ?
◦Ben, tu vois !
◦C’est qui, qui t’asfait ça ?
◦J’sais pas… !Toi, peut être… ? Je vois personne d’autre, àpart toi et moi… ! Ou, c’est peut être lespoissons… !
Nous éclatons de rire et, aussitôt Valentine m’envoie la main au paquet et me réplique.
◦Viens, on sort. Jevais m’occuper de ton problème.
Nous sortons donc de l’eau et, nous courons vite vers les bois qui bordent cette plage. Là, nous trouvons un petit endroit sous les arbres, avec un tapis d’herbes vertes, qui va nous faire un douillet lit d’amour. Là, nous allons être bien pour notre premier câlin du matin. Valentine se met à genoux, extirpe mon sexe de mon maillot, le fourre dans sa bouche et me fait une fellation, comme elle sait si bien les faire.
Pour la suite, je lui ôte son maillot et, lui pelote copieusement ses lolos. Puis, elle s’allonge sur ce tapis d’herbe souple, m’offre sa belle fente à lécher. Alors, je ne vais pas m’en priver. Aussitôt, ma bouche s’y colle dessus et ma langue, gourmande de son jus, y plonge à l’intérieur pour y retrouver son bouton d’amour.
Et, après une bonne séance de léchouilles et de suçotages, Valentine, qui s’est déjà mise à gigoter sur l’herbe depuis un moment, me dit entre deux gémissements.
◦Valentin, s’il teplaît, donne moi vite ton jouet d’amour !
Alors, comme j’en ai autant envie qu’elle, je la rejoins dans son désir de sexe, en lui plantant ma queue bien au fond de sa chatte et là.
◦Heummm ! Mercimon chéri.
◦Ça te vacomme ça, ma poupée ?
◦Ben oui… !Mais, si tu pouvais aller et venir…,
◦Mais oui, machérie… ! Je vais !
◦Vite, j’ai tropenvie.
◦Moi aussi, machérie, j’en ai autant envie que toi.
Alors, aussitôt dit, aussitôt mis en route. Ma queue s’active, et va, et vient dans sa grotte d’amour, qui se met rapidement à déborder de cyprine. Ma complice se met aussitôt à soupirer, puis à gémir puis, quelques instants plus tard entre deux gémissements me marmonne.
◦Oh, c’est bonValentin…, fais moi jouir comme tu sais… !
Pour ça, ce n’est pas un problème. Alors, pour varier les plaisirs, nous changeons de position. Après cette première partie en missionnaire, je lui fais faire un tour sur ma balançoire, à l’endroit puis, à l’envers. A chaque changement, Valentine approuve et me le fait savoir avec, toujours ses gémissements et ses grognements divers.
Puis.
◦Val, tu veux biente mettre à quatre pattes ?
◦Oui chéri.
Mais, au moment où je lui dis ça, je vois, juste à coté de nous un gros tronc d’arbre, et là, me vient une autre idée.
◦Dis moi ma chérie,viens t’appuyer sur le tronc. Ça changera un peu.
◦D’accord Valentin.
Elle se met en position, mains posées sur l’arbre et jambes écartées au maximum puis, me dit.
◦Ça va commeça ?
◦Impeccable… !Surtout ne change rien. Tu es magnifique comme ça. Dommage,je n’ai pas pris l’appareil photo… !
◦Pourquoi faire ?
◦Avoir un souvenir !Si, tu pouvais te voir ? Tu es magnifique comme ça… !
◦C’est pas grave.
Dans l’instant qui suit, je me colle à elle et, ma queue trouve, logiquement, le chemin. Je la vois disparaître entre ses fesses et dans la chaleur de sa fournaise, je ne peux m’empêcher de lui dire.
◦Ouéééma chérie… ! Là, c’est le pied.
◦Je confirme. Commeça, je te sens encore mieux… !
Alors, je l’attrape par les hanches et vas y Jeannot, les va et vient se succèdent dans un rythme endiablés. Ce qui l’emmène très très vite dans les nuages du plaisir accompagnée par tous ces petits gémissements habituels.
Dans cette position de levrette debout, je lui ajuste sa chatte avec un plaisir mal dissimilé. Je lui bourre autant qu’il m’est possible de le faire.
Quelques instants plus tard, à force de mater ses fesses, sa raie et sa rondelle étoilée, tout en la faisant jouir, une idée me traverse l’esprit. J’ai bien envie de lui dépuceler son petit trou du cul.
Alors, je lui crache une bonne quantité de salive sur le haut de sa raie qui, vient s’écouler jusqu’à sa rondelle étoilée. Là, je commence à lui caresser et lui masser avec mon pouce, jusqu’à ce qu’il commence à s’y frayer un chemin.
Voyant que ma petite chérie ne proteste pas, je poursuis mon petit jeu, un peu de salive, caresses un peu plus appuyées et un peu profondes de son anus, jusqu’au moment où…
◦Valentin… monchéri !
◦Oui ma poulette.
◦Qu’est ce que tu mefais là ?
◦Ça teplaît ?
◦Heummm, oui… !
◦Dis moi Valentine !
◦Oui Valentin !
◦Ça te diraitsi on essayait de…,
◦Tu veux me lamettre dans… ;
◦Ton petit trou, machérie.
◦Ben pourquoi pas !
◦Tu l’as déjàfait ?
◦Non Valentin.
◦Mais, tu veux qu’onessaye quand même ?
◦Oui, mon chéri.Tu seras gentil ?
◦Bien sûr. Jene suis pas un sauvage. Tu me connais ?
◦Oui mon amour.
Mais, tout en parlant, j’ai poursuivi la préparation de son petit trou.
A présent, il est bien dilaté. Mais, comme nous n’avons pas de produit pour lubrifier, nous allons nous contenter de ma salive et de son jus de femme. Car Valentine est une vrai fontaine à cyprine. Pour ça, ça ne manque pas.
Une fois la dernière dose de salive déposée à l’entrée de son anus et pour moi, deux va et vient dans sa chatte pour l’enduire de son lubrifiant naturel, je prends ma queue en main, insère mon gland entre sa paroi annale, pousse tout doucement et, très progressivement, mon sexe lui investit son trou du cul.
Et là.
◦Hoouuhouaaa… !
◦Ça va… !
◦Heu heu, oui,bien ! Mais, tu sais que ton joujou est bien bien gros !
◦Et oui mon cœur,je sais. Je peux y aller ma poupée ?
◦Oui mon chéri.Mais doucement s’il te plaît.
◦D’accord mapoulette.
Alors, les premiers aller retour, je les fais en mode « moderato ».
Là, Valentine me dit comme ça.
◦Oh que c’estbon…, mais tu sais que…,
◦Oui je sais. J’aiun gros sexe.
◦Oui mon chéri.Il ma ramone bien. J’adore… !
◦Et, ton trou du culaussi, ma chérie… !
Alors, nous nous affairons au mieux. Valentin c’est mise à jouir depuis un bon moment déjà et moi, ces aller retour dans son anus me comblent de plaisir et m’excite encore plus. Je n’ai pas vraiment envie que ça se termine. Mais, quand même, au bout d’une bonne dizaine de minutes, je commence à ressentir les frémissements d’une éjaculation montante.
Encore quelques aller retour et, cette fois, ça se précise vraiment. Alors.
◦Val ma chérie.
◦Non, ne me dit pasque…,
◦Si si, je vaisgicler !
◦Dans ma bouche s’ilte plaît… !
Alors, je me retire aussitôt. Elle se retourne, se met à genoux devant ma queue, l’empoigne, la masturbe vigoureusement et quelques secondes après.
◦ouiiii, çavient !
Alors, en bonne cochonne qu’elle est, elle approche sa bouche, insère le bout de ma queue entre ses lèvres et dans la foulée, reçoit au moins quatre giclées de sperme, qu’elle s’empresse d’avaler.
A ce moment là, elle me regarde droit dans les yeux et, après avoir déguster ma liqueur d’homme.
◦Heummm… !
◦C’est bon machérie ?
◦Aïe aïeaïe…, ha oui c’est bon ! Tu m’as bien faite jouir et taliqueur… ! Si t’en as encore un peu…,
◦t’en prendraisencore un peu… !
En se léchant les lèvres.
◦Bien sûr… !
◦Ce soir, dans lacabine, ça te va ?
◦Et comment !
◦Bon, en attendant,on va piquer une tête et après, on ira rejoindre legroupe au resto.
◦D’accord mon chéri.
Le soir venu, après le repas, nous rejoignons notre cabine. Et, c’est bercés par le clapotis de la Méditerranée, que nous remettons le couvert.
Qu’est ce que c’est agréable de faire l’amour comme ça… !