Valentine et Valentin (1ère partie)

C’est un peu comme dans la chanson « Les Champs Élysées ». Par, une belle après midi ensoleillée du mois de mai, je me baladais dans la grande rue de ma ville, les yeux ouverts à l’inconnu et là, à la hauteur d’un grand magasin de fringues, une jeune fille vient face à moi.

Au moment où nous nous croisons, nos regards se croisent aussi et, je ne sais pas vraiment pourquoi, nous nous sourions.

Une fois dépassé, je me retourne. Elle, en fait de même puis, s’arrête, moi aussi. Et là, nous faisons, chacun, un pas vers l’autre pour, nous rejoindre.

La discussion s’engage.

•Bonjour. Moi, c’estValentin !

•Moi, c’estValentine. Bonjour Valentin !,

•Enchanté… !Et bien, si on avait voulu le faire exprès…,

•On y serait jamaisarrivé ! Heureusement nous sommes pas le 14 févrieraussi… !

•On peut faire unbout de chemin ensemble, si tu veux… ?

•Pourquoi pas.J’avais l’intention de monter au jardin du rocher… !

•Bonne idée.Je peux t’accompagner ?

•Bien sûr, avecplaisir !

Nous repartons, donc, ensemble à travers les rues de la ville, tout en continuant notre discussion.

•Valentin, je peuxvous poser une question ?

•Oui, bien sûr !

•Même directe ?

•Oui !

•Pourquoi, quand ons’est croisés, vous m’avez souri ?

•Peut être pourla même raison que toi… !

•C’est pourquoialors ?

•Parce que, je tetrouve très mignonne et, tu me plais beaucoup.

•Merci Valentin.

•Et toi ?

•C’est un peu pareil.Vous savez, vous avez beaucoup de charme.

•C’est trèsgentil… ! Mais tu sais, je suis un vieux monsieur, parrapport à toi !

•Quelle importance.Du moment qu’on se sent bien avec la personne, l’age ne compte plusbeaucoup, vous savez… !

•Merci beaucoup !A mon tour, je peux te demander quelque chose.

•Oui, quoi ?

•J’aimerai que tu neme vouvoies plus. Ça fait vieux jeu.

•D’accord, Valentin,maintenant c’est tu… !

•Merci ma belle.C’est beaucoup mieux comme ça.

Un bon quart d’heure plus tard, nous cherchons un endroit pour poser nos fesses. Pas facile car, il y a déjà des gens partout et, il n’y a presque plus de bancs de libres.

Après avoir fait un peu le tour, nous finissons par en trouver un. En plus, c’est un petit coin entouré d’une haie de buis. Endroit, très recherché pour les couples qui veulent flirter en paix. Comme ça, nous serons plus tranquille pour bavarder et faire, vraiment, connaissance.

Depuis que nous nous sommes croisés, je ne l’ai quittée pas des yeux. Cette jeune fille est non seulement agréable dans, sa façon d’être et de parler mais aussi, formidablement belle dans son mini short moulant et sa chemise nouée à la taille. Il faut dire aussi que cette brunette, à la peau café au lait, a pas mal d’atouts dans son jeu de carte de la séduction.

Elle a de magnifiques yeux noirs, une jolie bouche aux lèvres charnues, peintes au naturel. Ce qui n’est pas pour me déplaire. Car, pas du tout fan du maquillage. Elle a une longue chevelure noire bouclée qui, lui entoure le visage et, lui fait un visage de poupée. Mais, c’est pas tout. De par les formes que laissent paraître sa chemise, je devine qu’elle doit avoir une très belle paire de seins. Quand au mini short, il lui colle tellement à la peau qu’il lui fait de superbes fesses et, mon esprit n’a pas beaucoup à travailler pour m’apercevoir qu’elle doit avoir un joli mont pubien assez bombé. Il va sans dire, aussi, que malgré sa petite taille, elle a de magnifiques jambes.

Une fois bien installés.

•Valentine… !J’ai très envie de t’embrasser. Tu veux bien ?

Sans rien dire, elle se retourne, me regarde en souriant et approche sa bouche de la mienne. Au premier contact de nos lèvres, c’est une explosion de saveurs et d’émotions. Le trouble s’empare de moi et, j’ai comme l’impression qu’il en ait de même pour elle. Car, ce baiser est la libération de ce sentiment étrange que j’ai eu dès notre rencontre.

•Merci Valentine… !Tu vois, ce baiser, je ne l’oublierai jamais.

•Moi aussi Valentin.

Puis, elle vient s’asseoir sur mes cuisses, me passe les bras autour du cou et aussitôt, me donne un second baiser. Qu’est ce que c’est bon. Je sent sa langue tournicoter et se mélanger avec la mienne. C’est l’extase.

Quelques secondes plus tard, je sent, dans mon caleçon, monter la fièvre du désir charnel. En gros, je commence à bander.

Alors, mes mains viennent se coller sur ses deux seins en même temps. Et là, je me dis. Hou la la, ils doivent être superbes. Là, je m’aperçois qu’elle ne porte pas de soutien gorge. Je les caresse, les malaxe fiévreusement. Ils sont très fermes et, ses tétons commencent, eux aussi, à s’ériger et à pointer vers l’avant. C’est magnifique. En tous cas, moi, j’en ai la queue qui se trouve de plus en plus à l’étroit dans mon futal. Il va falloir que l’on fasse quelque chose pour atténuer ce problème.

Quand à Valentine, ce long baiser, l’a émoustillé pour de bon, puisque.

•Heum, merciValentin. Tu te rends compte que, si on c’était pas croisés,tout à l’heure, je serai peut être là, assisesur ce banc et, toute seule à me faire chier… !

•Ben oui… ! Etmoi, chez moi en me posant la question. Pourquoi, je n’ai rien dit àce belle jeune fille ?

•Ben oui. C’est quandmême mieux comme ça !

•c’est la magie deCupidon… !

A ce moment, elle baisse les yeux puis, me dit comme ça.

•Valentin… !T’as vu la bosse dans ton pantalon ?

•Oui ma belle. J’aivu.

•Je peux fairequelque chose pour ça ?

•Ben oui, mais pasici. Il y a un peu trop de monde autour.

•T’as raison. Qu’estce qu’on fait. ?

•On peut aller chezmoi. Mais c’est un peu loin.

•Où chez moi,à la cité U. c’est juste à coté du vieilhôpital.

• Ben, allons cheztoi.

Ben notre promenade au rocher aura été courte. Mais, nous serons bien mieux dans une chambre pour finir de nous découvrir.

Alors, nous quittons notre cachette, pourtant sympathique et, un gros quart d’heure plus tard, nous nous retrouvons dans sa chambre d’étudiante.

Cette fois, plus besoin de nous gêner. Nous savons pourquoi nous sommes là.

Sitôt la porte refermée, Valentine vient se pendre à mon cou, m’offre, une nouvelle fois, ses lèvres pour partager un baiser.

Tout en l’embrassant et, dans le feu de l’action, je déboutonne et dénoue cette chemise qui, tout à l’heure, m’empêchait de voir ses magnifiques lolos. Je lui ôte et la jette sur le lit. Et là.

•Waouh… !Cette fois, je les vois pour de bon. Ils sont remarquables.

•Merci Valentin.

•T’as une poitrine defolie… !

•Un peu lourde àporter, quand même.

•Je veux bien tecroire. Et, c’est combien la taille de ces beaux lolos ?

•85 D.

•Ah ouiiii… !Ils sont magnifiques.

Puis, elle s’allonge sur le lit. J’attrape sa jupette par la ceinture, la fais glisser jusqu’à ses pieds et l’envoi aussitôt retrouver sa chemise. Là aussi, je constate qu’elle porte un minuscule string en dessous que, j’expédie aussitôt vers le sol. Elle m’offre, ainsi, directement son bijou d’amour.

Le cadeau est si joliment offert que je n’ai qu’à me servir. Alors, je n’attends pas une seconde de plus. Je lui replie ses jambes vers elle et, me jette, comme un mort de faim entre ses cuisses pour venir y déguster sa moule qui, est déjà bien mouillée. Ma langue, va et vient entre ses grandes lèvres et, retrouve au plus vite son bouton d’amour. Je le titille du bout de la langue et le suce abondamment. Alors, comme tout à l’heure, ma queue se remet à se raidir dans mon futal, quand à Valentine, elle, gigote, dans tous les sens, sur le lit et soupire fortement.

Un petit moment après.

•Tu vas bien machérie ?

•Ah oui oui ! Jevais même très bien. Et toi ?

•Aussi. Sauf que maqueue est un peu à l’étroit, dans mon futal… !

•Attend, je viensm’occuper de ça.

Alors, ma belle demoiselle saute du lit, se met à genoux devant moi, me dégrafe et fait glisser mon pantalon jusqu’aux chevilles. Puis attrape à deux mains mon caleçon qui prend la même direction.

Et là.

•Waouh… !

•Qu’est ce qu’il ya ?

•Là, c’estvraiment grave !

•Qu’est ce qu’y estgrave ?,

•Ton sexe Valentin.

•Pourquoi ?

•Il est énorme… !

•Mais non ma chérie.

•Ah si si… !Mais t’inquiètes, on va faire l’amour, quand même.

•Là, tu merassures, j’ai eu peur… !

•Valentin, c’est lapremière fois que je vois un sexe aussi gros !

•Tu vas voir, tout vabien se passer.

Du temps, j’ai retiré mon tee-shirt. Comme ça, nous sommes quittes. Je m’allonge sur le lit et l’invite à me retrouver pour la suite de notre petit jeu sexuel.

Valentine, vient se mettre à califourchon sur moi, m’offre à nouveau sa délicieuse moule que, je m’empresse de dévorer et elle, retrouve ma queue, commence à la masturber puis, la fourre dans sa bouche et me fait une fellation totalement démoniaque. Que cette jeune fille suce bien !

Quelques secondes plus tard, Valentine commence à jouir bien, bien. Elle gigote autant qu’elle peut, tout en me suçant et me masturbant. Quand à moi, je me délecte de sa moule dont le jus, me dégouline dans la bouche. Qu’est ce que j’aime ça. Ce goût de cyprine m’enivre.

Un bon moment après.

•Valentin… !S’il te plaît…, fais moi l’amour.

•Alors, mets toi àquatre pattes sur le bord du lit.

Elle descend de son dada, se met comme je viens de lui demander. Je saute aussitôt du lit, me place derrière elle et après un bon coup de rein, je vois disparaître ma queue entre ses fesses et s’enfoncer au plus profond de sa fournaise.

Aussitôt connectés.

•Waouh…, Valentin !

•Qu’est ce qu’il y ama belle ?

•Ton sexe… !Je le sens bien. Mais c’est vachement bon, tu sais ?

•Ta petite chatteaussi !

•Aller, vas yValentin, vas y.

je n’ai, quand même, pas attendu qu’elle me le demande. J’avais déjà mis en route mon marteau niqueur. Car, moi aussi, j’avais très envie de lui faire l’amour. Et quelques instants plus tard, ma belle demoiselle s’envole pour le septième ciel.

Au plus, je lui bourre sa chatte et lui tamponne les fesses plus, elle jouit et chantonne. C’est de la magie.

Là, je sent que nous avons trouvé le bon tempo et la bonne position. Alors, nous restons dans cette position de levrette. Car, elle et moi, ressentons ce besoin, quelque peu animal, pour faire l’amour.

Cinq minutes plus tard.

•Comment tu te sensma chérie ?

Dans les vapeurs du plaisir, elle me répond.

•Très trèsbien Valentin.

Alors, nous poursuivons cette levrette qui nous donne tant de plaisir. Et, nous allons aller, comme ça, jusqu’à ce que je ressente monter dans ma verge les soubresauts de l’éjaculation toute proche. Mais avant que je lui éjacule dans sa chatte, j’arrête de lui limer sa moule pour, lui demander si oui ou non.

•Valentine… !

•Oui, qu’est ce qu’ily a ?

•Je vais éjaculerma chérie.

•Ben, vas y… !fais moi plaisir. J’en ai trop envie !

Alors, quelques nouveaux aller retour et, dans un râle bestial, je lui expulse, au moins, quatre énormes giclées de mon sperme, tout au fond de sa moule. Puis, je retire ma queue et lui offre pour qu’elle la suce et récupère les quelques gouttes qui restent sur mon gland.

Puis.

•Dis moi,Valentin… !

•Oui ma belle.

•Tu m’as fait passerun moment magique.

•Moi aussi. J’ai riend’autre à ta dire.

•Et, tu vois. toutça, à cause d’un sourire dans la rue. Ça m’estjamais arrivé avant.

•Moi aussi.

•Tu crois, qu’onpourra se revoir ?

•Et pourquoi ça ?Bien sûr… !

•Parce que j’aibeaucoup envie de refaire l’amour avec toi.

•Moi aussi ma chérie.Je peux te dire ma chérie ?

•Oui Valentin. J’aimebeaucoup. Et, est ce que moi aussi, je peux te le dire aussi… ?

•Oui ma Valentine.

•Alors, merci monchéri pour, ce que tu m’as donné cet aprèsmidi.

Puis instinctivement, je jette un coup d’œil sur ma montre et, constatant l’heure tardive lui dis.

•Valentine, il va mefalloir te quitter. Il est tard.

•Pourquoimaintenant ?

•Car, j’étaisvenu en bus en ville et, ça va être bientôtl’heure du dernier.

•Non Valentin… !Reste avec moi. J’ai envie de passer la nuit avec toi, mon chéri.

•Bon, c’est d’accord.On passe la nuit ensemble. Mais, t’as pas un peu faim ?

•Si, un peu.

•Bon, on s’habille eton va à la pizzeria. Ça te va ?

•Oui mon chéri.Avant, je vais me laver un peu le minou.

•D’accord, jet’accompagne. Je vais faire pareil.

Retour du resto.

Il est relativement tard et, c’est quelque peu éméchés, que nous rentrons.

Aussitôt la porte verrouillée.

•Valentin… !J’ai envie de faire l’amour.

•Ah bon ?

•Oui mon chéri.Baise moi, comme tout à l’heure… !

Alors, aussitôt, je la met à poil. Et, comme tout à l’heure, je lui pelote ses nichons jusqu’à lui faire bander ses tétons. Ce qui la fait gigoter et rire aux éclats.

•Valentin, tu me faisjouir. J’ai des frissons dans tout le corps… !

•Alors, c’est bon mapoulette ?

Puis, je viens m’occuper de sa grotte d’amour. Je lui lèche abondamment sa chatte, lui titille et suce son clito. Et, là aussi, elle se remet à gigoter dans tous les sens, soupire, gémit pour finir par me bafouiller.

•Valentin… !C’est trop bon. Donne moi ta queue s’il te plaît ?

•Si tu veux… !Mais vient me sucer un peu. J’aime quand tu me suces… !

Alors, elle me dégrafe mon futal, le fait descendre jusqu’à mes pieds, ôte mon caleçon, prend dans sa main ma queue, la masturbe puis, la fourre dans sa bouche et la suce goulûment. Moins d’une minute plus tard, l’affaire est entendue. Je trique comme un âne.

Alors.

•Allonge toi sur lelit.

Elle, replie ses jambes vers elle, ouvre ses cuisses au taquet. Je me mets à genoux devant cette chatte, prends en main ma queue et lui plante tout au fond de sa grotte.

Et une nouvelle fois.

•Oh Valentin… !

•Oui ma belle.

•C’est boooon… !

Puisque c’est bon. Je n’ai plus qu’à la faire couiner. Alors, de va et viens et d’aller en retour, je lui bourre sa grotte d’amour. Et, au plus je la secoue, plus ma petite chérie gémit et chantonne ces « aaah, oooh, heuuum, et autres vas y, encore » qui, assurément est la preuve de son bien être du moment. Bref, elle jouit et elle est partie pour le septième ciel.

Pour la suite, je lui propose les quelques positions que, tout le monde ou presque, connaît, balançoire, andromaque, cuillères. Et, à chaque changement de positions, c’est un nouveau feu d’artifice que nous tirons. Valentine poursuit son tour de chant.

Plus d’une dizaine de minutes plus tard et, dans un brouillard quasi total, elle me supplie.

•Ma levrette… !S’il te plaît, ma levrette.

Je retire ma queue toute dégoulinante de son jus de femme. Elle se met à quatre pattes sur le bord du lit. Et aussitôt, lui replante ma queue dans son cratère bouillonnant cyprine.

Nous voilà reparti pour, ce qui risque d’être la dernière reprise du match.

Je lui tamponne ses fesses comme un damné et, ma queue qui va et vient dans ce volcan glisse et glisse, tant elle jouit.

Valentine tout comme moi, sommes partis dans une longue randonnée qui nous conduit vers le nirvana. Et, pratiquement une dizaine de minutes plus tard, nous atteignons le sommet.

C’est pour Valentine, dans des gémissements de lionne et moi, dans un grognement de cerf en rut que, je lui inonde sa chatte de mon jus de mâle.

Nous étions venu chercher le Graal et, ce qui est sûr, c’est que nous l’avons atteint.

Une poignée de secondes après que, la tension soit un peu redescendue.

•Valentine ma chérie.Comment tu te sens ?

•Hou la la… !Je sais plus.

•C’était bonau moins ?

•Ah ouiiii. C’était,je sais pas, fantastique. Waouh…, tu m’as fait jouir, comme c’estpas possible… !

•Et pourtant !

•Oui. Mais, commenttu fais ? Moi, je suis épuisée et toi, je te voisen forme là… ! C’est quoi ton secret ?

•Ma chérie,j’ai pas de secret.

•C’est pas vrai… !

•Je te jure… !J’ai pas de secret. C’est juste toi, qui me donne autant envie… !

•Merci Valentin. Entout cas, tu m’as envoyé au septième ciel, comme ilfaut… !

Puis, elle se met à bayer.

•T’es fatiguéema chérie ?

•Oui, je suis cassée.J’ai sommeil.

•Bon, si tu veux, onse fait un gros dodo… !

•Oui mon chéri.

Avant de se coucher, nous nous faisons une bonne douche. Et, au petit matin, je me réveille avec la queue raide comme un bâton de gendarme et, comme Valentine est couchée sur le côté, m’offrant ses fesses et sa vallée toute chaude, je n’ai eu qu’à lui bien mouiller sa fente avant de lui faire pénétrer ma queue entre ses lèvres. Je la baise à fond, jusqu’à ce qu’elle ouvre un œil.

Et là.

•Oh Valentin… !

•C’est bon mapoulette ?

•Ah oui, c’est bon.Un réveil comme ça, c’est la première fois. Vasy mon chéri… ! Fais moi bien jouir.

Alors, je ne vais pas m’en priver. Je vais la limer dans cette position des cuillères jusqu’à ce que je lui décharge, encore, une bonne dose de foutre au fond de sa chatte.

Puis.

•T’es satisfaite mapoupée ?

•Et comment… !J’aimerai bien avoir, tous les jours un homme comme toi, qui meréveille comme ça et qui me fasse l’amour comme toi.Tu penses que c’est possible ?

•Peut être… !Mais, tu sais que je suis un vieux monsieur… !

•Et alors ? Entous cas, le vieux monsieur que tu dis être, me donne duplaisir comme, je n’en ai jamais eu.

•Bon, je vais yréfléchir.

•J’espère,Valentin, que ce sera oui.

En attendant, le soleil s’est levé et, après être allé au bistrot d’à coté, prendre notre petit déjeuner, je quitte Valentine, totalement heureux de cette après midi et cette nuit que nous avons passé ensemble.

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