Ce jour là, nous avions réservé une table dans un restaurant étoilé de la région. Moment « essentiel » pour nous. Nous apprécions en effet tous les deux les bonnes tables, et il nous arrivait régulièrement de nous faire plaisir. Mais cette fois-là, le plaisir dépassa largement mes papilles…
Nous avions réservé sur le temps de midi et avions pris congé l’après-midi pour pouvoir prendre tout notre temps. La probabilité que nous choisissions la formule avec les vins était assez forte, et il valait mieux éviter de retourner au bureau éméchés…
Comme de juste, nous craquâmes pour la formule vin, entamant le repas par une coupe de champagne qui mis en éveil tous nos sens…
Le cadre était parfait, rendant l’atmosphère particulièrement envoûtante. Ma compagne, très sexy, portait une très belle robe, décolletée à souhait, qui laissait entrevoir sa magnifique poitrine. J’ai toujours été très attiré par ses seins, objets de mes fantasmes les plus chauds et de mes pensées les plus osées… de ma bouche se languissant de ses délicieux tétons.. à ces branlettes espagnoles finissant dans des râles de plaisir et des giclées de sperme chaud…
Alors que nous passions un très bon moment gastronomique, je sentais que les effluves d’alcool commençaient à nous faire un certain effet. La conversation jusque là tres polie commençait à dévier sur un sujet que nous partagions également avec énormément de plaisir… le sexe…
D’un geste subtile, ma compagne profitait des moments où le serveur quittait la pièce pour écarter le tissu de sa robe et de son soutien gorge pour que je puisse apercevoir ses tétons, attisant toute mon excitation…
Embuée elle aussi dans les vapeurs d’alcool, elle laissait tous ses tabous au vestiaire, pour me faire une proposition qu’elle ne m’avait jamais faite jusque là…
Se penchant vers moi comme pour m’embrasser, et alors que je lui tendais les lèvres, elle porta sa bouche près de mon oreille pour me chuchoter quelques mots… « je voudrais que tu me sodomises »…
A mon plus grand étonnement. Et mon plus grand plaisir…
Je n’ai jamais pratiqué la sodomie. Et pourtant, comme à mon avis une large majorité de la gente masculine hétérosexuelle, l’idée de glisser ma queue bien dure dans le petit trou serré de ma compagne me titille parfois…
Mes pensées s’affolaient presqu’autant que ma queue décidément bien trop serrée à présent dans mon pantalon. Je n’avais qu’une envie: demander l’addition et rentrer à l’appartement pour prendre le dessert…
Bien que chaude comme son regard de braise, ma compagne me fit comprendre que je devais être patient et terminer poliment le repas. Ce que mon sexe brûlant m’ordonnait, mon côté gentleman me l’interdisait…
Terminant le dernier verre, l’heure était venue de tenir ses promesses…
Arrivés dans la voiture, l’excitation était à son comble. Nous avions un peu trop bu et il n’était pas prudent que je prenne le volant tout de suite. Mais ma queue était sur le point d’exploser et ma compagne glissait déjà mes doigts sous sa robe pour caresser sa chatte brûlante, me disant « tu sens comme je mouille pour toi? T as envie de me baiser tout de suite? »
La voiture était garée au fond du parking, à l’abri des regards. Alors, sans plus attendre, elle sortit ma queue et commença à la sucer pendant que je continuais à glisser mes doigts dans sa fente trempée.
J’étais si excité qu’elle aurait pu m’avaler en quelques aspirations. Mais je voulais que nous puissions jouir ensemble. Alors je lui dis « viens te mettre sur moi, je veux que tu sentes ma queue rentrer dans le bas de ton ventre, profondément ». D’un bond, elle vint s’empaler sur mon sexe bien dur et commença ses va-et-viens endiablés dont elle a la secret, gémissant de plaisir. Je la sentais dégouliner sur moi, ma langue affairée à lécher ses seins, mes mains glissant entre ses fesses, les écartant pour que mes doigts ses posent sur les contours de son anus, le sentant se contracter sous les spasmes de plaisir…
Notre excitation était à son paroxysme. Les mouvements de la voiture trahissant la scène torride qui s’y déroulait. Alors dans un râle commun, sans plus y tenir et sentant le plaisir de ma compagne faire vibrer ma queue, je laissai mon foutre brûlant envahir sa chatte, la remplissant du désir et de l’amour que nous partagions sans mesure…
Le calme étant revenu, elle resta couchée sur moi pendant un long moment. Nous étions tellement bien que nous aurions pu rester comme cela des heures.
Mais, ayant repris nos esprits, elle m’embrassa langoureusement et me dit dans le creux de l’oreille « Retournons à l’appartement mon amour, j’ai une promesse à honorer… »