Après une très courte nuit de sommeil, vers six heure je me réveille, comme tous les jours, avec la queue raide comme un manche de pioche. Mais, ce matin, c’est aux côtés de Marianne que, j’ai le bonheur d’ouvrir les yeux. Elle est couchée sur le côté en chien de fusil et, ses fesses sont littéralement collées à mon bassin, et de ce fait, mon pénis se retrouve, bien au chaud, au milieu de sa raie. La chaleur qui se dégage de ses fesses, me donne, vraiment, une envie de lui rendre visite. Continuer la lecture
Marianne 2
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