Souvenirs de deux puceaux

Il y a maintenant fort longtemps que cette petite histoire a été vécu entre une de mes cousines et ma pomme et, je viens vous la narrer aujourd’hui parce qu’elle vient de remonter dans ma mémoire.

Deux ou trois ans après leur retour du Québec, nous nous sommes retrouvés, une nouvelle fois, pour les fêtes de fin d’année. C’est dans le grand appartement de mon oncle et ma tante que toute la famille cohabite tant bien que mal, à l’occasion de ces retrouvailles festives. Mais avec quelques efforts, tout le monde arrive à se loger. Là, où c’est plus ardu, c’est pour dormir. Alors, nous les plus jeunes, dormons sur des lits de camp, serrés comme des anchois dans la salle à manger.

Bref, j’ai choisi de me coucher à coté de ma cousine France. Car, elle et moi, avons commencé a flirter ensemble l’année passée et, sommes bien décidés de continuer, cette expérience, cette année, pendant ces brèves vacances de Noël.

Alors ce soir là, comme tous les soirs précédents, après quelques bécots langoureux, cachés dans la salle de bains, comme un chacun, nous venons nous couchés sur nos lits de camp collés l’un à l’autre, histoire d’être au plus près l’un de l’autre.

Nous attendons patiemment que ses deux frangines et son frangin qui sont juste à côté de nous et, les grands parents qui dorment sur le canapé du salon, soient endormies, pour commencer notre aventure découverte.

C’est, bien sûr, dans le plus grand silence, que nous opérons. Nous essayons de nous coller l’un à l’autre, autant que possible, pour pouvoir nous câliner. Tant bien que mal, je lui déboutonne sa chemise de nuit. Ce qui me donne un accès plus facile à sa poitrine. C’est bien meilleur de caresser sur la peau, plutôt que sur le tissu. Elle a deux petits nichons tout doux, que je pétris avec application et délicatesse.

Quelques instants plus tard elle me chuchote.

  • Oh cousin… ! C’est, je sais pas comment dire, c’est bon quoi… ! C’est la première fois… !

Ce à quoi, je lui répond, toujours en chuchotant moi aussi.

  • Tu sais France, moi aussi c’est la première fois… ! On continu ?

  • Oui cousin, si tu veux. C’est trop bien… !

Alors, je recommence à lui peloter ses deux petits monts blancs. C’est très agréable. Et, après quelques caresses, ses deux tétons commencent à se durcir. Puis, très vite, j’entends sa respiration s’accentuer et moi, je commence à avoir le sexe qui durcit petit à petit. Je bande quoi ! Je ne savais pas que, peloter les nichons d’une fille, en plus ma cousine, pouvait faire bander comme ça. En tous cas, c’était vachement bon.

Après ces premières caresses qui nous ont mis, l’un et l’autre, dans cette situation, je me rapproche un peu plus d’elle et lui chuchote au creux de l’oreille.

  • France… ! Tu veux bien passer ta main dans mon pyjama !

  • Pourquoi, qu’est ce qu’il y a ?

  • tu verras bien !

Alors, avec une hésitation, quand même, elle fait glisser sa main gauche sous l’élastique de celui-ci, et vient timidement empoigner ma verge. Puis me dit.

  • Cousin… !

  • Qu’est ce qu’il y a ?

  • Pourquoi ton sexe est gros comme ça ?

  • Je sais pas… ! C’est peut être parce que je te chaspe… tes nichons ! Si tu veux, tu peux me branler !

  • Mais cousin, comment je fais ?

  • Attrapes le dans ta main. Tu le serres pas trop fort et, tu fais des aller retour… !

Bref, après cette brève explication, elle commence à me branler et me dit.

  • C’est comme ça cousin ?

  • Oui cousine, vas y, c’est bon.

Alors, nous continuons cette première expérience. Ma cousine me masturbe bien. Mais, pour lui faciliter la tâche, je me tourne un peu sur le côté. C’est encore mieux, et comme ça, ça me donne la possibilité de pouvoir venir lui caresser sa vulve.

Tout en me faisant masturber, je retrousse sa chemise de nuit le plus haut possible pour pouvoir approcher l’objet de mon désir. Et là.

  • Qu’est ce que tu fais cousin ?

  • J’ai remonté ta chemise… !

  • Pourquoi faire ?

  • Te chasper ta chouchoune… ! Pourquoi, t’as pas envie ?

  • Je sais pas… ! Tu crois qu’on peux ?

  • Bien sûr ma cousine. Tu me branles et moi, je te chaspe ta chouchoune !

  • Bon d’accord.

Alors, puisque j’ai son autorisation, je reprends, là, où je viens de m’arrêter. Ma main droite vient à la rencontre de son pubis. Et là, surprise…, ma cousine est à poil sous sa chemise de nuit.

En moi même, je me fais cette réflexion. Tiens, il n’y a pas de petite culotte. Ma cousinette dort le cul nu. C’est chouette. Ça fait un obstacle de moins.

Doucement, je lui caresse son pubis. Puis, après quelques caresses lentement, un de mes doigts glisse entre ses cuisses, le long de sa vallée des merveilles. Elle est chaude. Ça me donne envie de la posséder. Mais ça, je ne sais pas si je peux l’envisager. En tous cas, dans les conditions dans lesquelles nous sommes, ça ne l’est pas. Nous sommes tous les deux puceaux et en plus, nous sommes chez les parents. Alors, nous devons nous contenter de caresses l’un et l’autre.

Alors, nous continuons, elle et moi, dans la découverte de nos sexes respectifs. France a bien saisi la pratique. Elle me branle comme il faut et moi, je lui masturbe sa fente. Mon doigt se promène entre ses lèvres chaudes qui, insensiblement, deviennent du plus en plus mouillées. Je ne sais pas trop pourquoi. Mais, en tout cas, c’est vachement bon.

Quelques minutes plus tard, elle se met à gigoter sur le lit de camp. Heureusement qu’il ne grince pas. Ça pourrait, certainement, mettre la puce à l’oreille de ceux et celles qui dorment à côté de nous. Mais en tout cas, autant France que moi, nous sommes entrain de vivre une expérience que nous n’oublierons certainement pas. Pour preuve, je vous là narre aujourd’hui, plus de quarante ans après.

Bon, je continue. Avec mon expérience d’aujourd’hui, ma petite cousine chérie était tout simplement entrain de jouir. Quand à moi, à force de me branler la queue, je me suis éjaculé dessus et, ma douce France en a pris plein la main.

Alors, nous nous levons sans faire un bruit. Nous allons à la salle de bains. Nous fermons discrètement la porte. Car, celle-ci, est juste en face de la chambre de mon oncle et ma tante. et, toujours sans bruits, j’ôte mon pyjama, exhibant mon sexe encore bandé à ma cousine. Puis, je me lave le sexe et France les mains. Puis, avec un petit sourire, elle me dit au creux de l’oreille, avec son accent Québécois.

  • Hé cousin, tu as un sacré machin… ! C’est la première fois que j’en vois un. Je savais pas que ça pouvait être aussi gros… !

  • Merci pour le compliment. Tu sais ma cousine, j’espère qu’un jour, nous nous dépucellerons ensemble ?

  • Peut être cousin… ! Pourquoi pas ?

  • Oui, pourquoi pas !

Mais voilà, les années sont passées. Nous avons pris des chemins différents et nos virginités nous les avons perdues chacun de notre côté.

Laisser un commentaire