Histoire de retrouvailles un peu au hasard, avec ma cousine que je n’avais pas vu depuis plusieurs années. Celle-ci m’invite gentiment à la suivre dans la salle de bains et à lui savonner le dos. Mais la proximité de nos corps dans cette baignoire va faire qu’une bonne érection, suite aux caresses que je lui ai pratiquées, va changer les choses…!
Un dimanche matin, comme bien souvent, je passe faire un petit bonjour à mes parents qui habitent à deux pas de chez moi. Mais, ce matin là, je sonne à leur porte et pas de réponse. Je patiente un instant et retente une seconde fois. Une voix, féminine, que je ne reconnais pas me répond :
-
Oui… qui est là ?
-
C’est moi Vincent !
-
Ah mon cousin, je viens t’ouvrir. Attends cinq secondes, je suis nue !
Cinq secondes plus tard, la porte s’ouvre et surprise, je me retrouve face à face avec ma cousine Sylvie, que je n’avais pas vu depuis au moins cinq ans, simplement entourée d’une serviette de toilette bien trop petite, qu’elle tente de tenir, d’une main, autour de sa poitrine. Cause perdue, car au moment ou elle referme la porte, la serviette lui glisse des doigts et se retrouve au sol. Je me retrouve donc face à ma cousine totalement nue. Mais aussi, face à une super bombe qui n’a même pas l’air offusquée par cette situation. Et là, elle se met à rire et me dit :
-
Oh, je suis maladroite, excuse moi cousin… Bonjour quand même !
-
Bonjour Sylvie… C’est rien… Pourquoi t’excuser ! Qu’est ce que tu as changé. Tu es vachement belle ! C’est plus la fillette que j’ai connue autrefois !
-
Et oui cousin. Moi aussi j’ai grandi. Et oui… j’ai aussi changé !
-
T’as une belle paire de seins, de belles hanches et, toujours tes beaux cheveux noirs. Si j’étais pas ton cousin je te…
-
Et pourquoi pas ! J’allais prendre ma douche, quand tu as sonné. Tu viens avec moi… ! Comme ça, du temps que je me douche, on continu à parler !
-
Oui ma cousine… Je t’accompagne, je viens avec toi… Mais, je te garantis pas de rester dans mon coin, avec une telle beauté à poil devant mes yeux !
-
Qu’importe ! Et puis, ce n’est pas grave… Cousin, cousine ça peut se faire aussi !
Bon. Ma belle Sylvie entre dans la douche et commence à se laver. Derrière ce rideau transparent, où je suis tous les mouvements qu’elle peut faire, je commence à trouver le temps un peu long, même si ça ne fait que quelques secondes qu’elle y est entrée. Ça me donne bien envie de participer aussi. Alors :
-
Dis moi ma cousine… T’as pas besoin d’un petit coup de main ?
-
Si tu veux cousin ! J’allais te le demander. Mais déshabille toi aussi… Sinon, tu risques de mouiller tes vêtements !
-
Tu crois ?
-
Bien sûr !
Alors, sans plus attendre, je me déleste de mes godasses, mon futal, ma chemise et je m’approche de la baignoire. Sylvie sort la tête de derrière le rideau de douche. Me voyant en caleçon, elle me lance…
-
Vincent, le caleçon aussi !
Alors, le caleçon se retrouve aussi au sol. J’entrouvre le rideau de douche et entre dans la baignoire un peu embuée mais tellement agréable. Ma cousine me tend le flacon de gel.
-
Tu me fais le dos stp ?
-
Bien sûr et, tout le reste si tu veux !
-
Y a pas de soucis cousin… ! (rires)
-
Ah je vois… On est bien sur la même longueur d’onde !
-
Oui mon cousin… Tu as bien compris !
-
ok… !
Puisqu’il en est ainsi, je ne lui fais pas répéter deux fois. Je prends du gel dans ma main et je commence à lui badigeonner le dos. Et là :
-
Cousin… T’as les mains douces. C’est agréable, tu sais !
-
Alors, tu m’autorises à faire le reste de ton corps ?
-
Oui, oui !
Alors, je lui savonne le dos puis les hanches et les fesses. Puis, mes mains font le tour par dessous ses bras et viennent se plaquer sur ses deux somptueux monts blancs, qu’elles ont peine à contenir. Je les caresse, les malaxe et, sous ces délicates palpations, ses tétons, commencent à prendre du volume et à se durcir. Alors, ma belle cousine se met, soudainement, à soupirer et me dit d’une voix suave :
-
Oh cousin… C’est bon ça ! Tu sais, tu vas me faire partir dans les nuages.
-
Déjà ?
-
Oui… Mais, continu comme ça. Surtout ne t’arrête pas cousin !
Alors, mes mains poursuivent l’exploration de ce corps de tout juste dix sept ans qui, à mon avis, a grand besoin d’un peu d’amour. Après ses seins, c’est au tour de son petit ventre, légèrement bombé, de son pubis bien renflé et sa petite fente protégée par une minuscule touffe de poils, que mes doigts localisent au touché. Mais, ce que ma belle cousine ne sait pas ou, qu’elle n’a pas encore aperçu, c’est l’érection que je me trimballe depuis quelques instants.
Je poursuis, malgré tout, la découverte de sa petite chatte. Ma main progresse pas à pas. Un doigt, repère l’accès à sa vallée des merveilles et s’y engouffre aussitôt. Elle est chaude et humide à souhait.
Depuis quelques secondes, et sous l’effet de mes caresses, de plus en plus précises, Sylvie commence à se perdre dans des soupirs et de petits gémissements qui, en disent longs sur l’instant de bonheur qu’elle est entrain de vivre.
De mon côté, c’est tout comme. C’est plus qu’agréable de la caresser et de la faire jouir. Puis, insensiblement je me rapproche un peu plus d’elle, jusqu’à venir coller mon ventre, mais aussi ma queue contre ses fesses. Ce qui dévoile la présence de mon érection. Instantanément, elle passe sa main droite par derrière elle et, vient à la rencontre de ma queue qu’elle saisit et enserre aussitôt. Et là :
-
Cousin… ! Wahoo ! Quel beau jouet ! Il est énorme ton sexe ?
-
Pourquoi tu dis ça ?
-
Parce que c’est la première fois que j’en tiens un aussi gros dans la main !
-
Ça te fait pas peur au moins ?
-
Non pas du tout . Tu sais, cousin, au contraire. Je vais bien m’en occuper… Tu vas voir !
-
Moi aussi, je vais bien m’occuper de ta petite fente magique ! Je crois qu’elle en a bien besoin !
-
Mais ça, j’y comptais bien. C’est pour ça que je t’ai invité à venir dans la douche avec moi… !
-
Coquine… !
Alors, puisque nous sommes d’accord sur le principe, je prends la douchette, je rince convenablement ma belle cousine puis, nous sortons rapidement de la baignoire. Bien sûr, je la sèche un peu, moi aussi car j’étais aussi mouillé qu’elle. Une fois fait, ma belle Sylvie se met à genoux devant moi et saisit ma queue pour me faire une majestueuse fellation, qui me conduit presque à la jouissance. Avant que je gicle, je lui demande d’arrêter.
Passé cet instant délicieux. Mais aussi, pour lui rendre la monnaie de sa pièce, je lui demande de se lever. Elle prend appui sur le lavabo et offre à ma langue sa splendide chatte que je m’empresse de lécher. Je la lui lèche très longuement en m’attardant le plus souvent possible sur son bouton d’amour que j’aspire et mordille jusqu’à le faire doubler de volume. Là, ma belle cousine part dans un nouveau tourbillon de bonheur qu’elle ne maîtrise plus vraiment.
Après ce gros quart d’heure de préliminaires, je la sent, vraiment, prête pour le jeu décisif. De mon côté, j’ai la queue toujours aussi raide. Alors, je me relève et viens lui planter entre ses grandes lèvres détrempées par son jus de chatte. Aussitôt pénétrée, Sylvie me susurre avec sa voix sensuelle :
-
Ah cousin…, qu’est ce que c’est bon… Vas y comme ça… tout doucement… Là, tu me fais jouir mon cousin !
Et bien, puisque comme ça, ma cousine prend son pied, j’y mets encore plus le cœur à l’ouvrage. Je vais et je viens, en douceur comme elle me l’a demandé, entre ses cuisses, même si la position n’est pas très confortable. Puis le rythme des va et vient prennent de l’intensité. Et, au plus je lui tamponne sa moule, plus ma belle Sylvie jouit, soupire et chantonne, même, ce refrain que toutes les nanas fredonnent pendant ces moments d’intense plaisir. Quelques minutes plus tard :
-
On peut changer de position ?
-
Oui cousin… Je veux bien. Je commençais à fatiguer comme ça !
-
Tu veux te retourner ma cousine, je te prends par en levrette !
-
D’accord cousin !
Alors, je retire ma queue de sa chatte en fusion, Elle se tourne, se penche vers l’avant et prend appui sur le rebord de la baignoire en écartant très largement les jambes, pour m’offrir, cette fois, ses fesses, sa ravissante raie qui laisse largement paraître son magnifique petit orifice étoilé.
Je reprends ma queue en main et la présente, à nouveau, à cette sublime chatte qui s’offre et s’ouvre automatiquement sous la pression de mon pénis. Nous voilà repartis pour un nouveau tour de manège, plus ou moins bruyant. Car après deux va et vient, la foufoune de ma cousine se met à péter à chacune de mes pénétrations. Aussitôt et en riant… :
-
Cousin… C’est quoi qui fait ce bruit ?
-
Rien de grave ma belle… C’est ta chatte qui pète ! (rires)
-
Pourquoi ça fait ça ?
-
Ça, je sais pas… En tous cas moi j’adore !
-
Bon… Alors on continu comme ça ?
-
Pas de soucis cousine… En plus, ça fait de la musique ! (rires)
Bref, je reprends mes va et vient, et toujours ces petits pets. Moi, ça me donne encore plus envie et je vois que ma cousine, non seulement ça ne la dérange plus, mais en plus, elle prend aussi plaisir à se faire culbuter en musique…
Passé un nouveau gros quart d’heure à la faire péter, gémir de plaisir, et à observer sa splendide rondelle étoilée, une idée me traverse l’esprit et là, je ne peux pas la garder pour moi seulement. Alors, tout en lui tamponnant sa petite moule…
-
Dis moi cousine… !
-
Oui, qu’est ce qu’il y a cousin ?
-
tu sais… Tu as un joli petit trou du cul !
-
Peut être… Je l’ai jamais vu. (rires) Mais, qu’est ce que tu veux dire, cousin ?
-
Et bien, il me plaît beaucoup… Tu veux pas que je te m’en occupe un peu, aussi ?
-
Oh cousin… qu’est ce que tu me dis là ?
-
Que je t’y mette un peu mon pénis… !
-
J’ai jamais fait ça… cousin !
-
Tu veux qu’on essaye ?
-
Non, j’ai pas envie. C’est pas dans mes habitudes…, désolée. Continu à me faire jouir comme ça !
-
D’accord ma cousine… d’accord… Une autre fois, peut être !
C’est un peu frustré que je recommence à lui bourrer sa moule avec application et détermination. Sylvie, elle, retourne dans ses nuages et retrouve, très vite, les paroles de la chansonnette. Quelques minutes plus tard, le voyage approche de sa destination finale. Le train finit par arriver en gare. Et c’est dans un dernier aller sans retour, que je lui décharge une impressionnante giclée de foutre au fond de sa délicieuse moule. Trois secondes plus tard, je retire ma queue de sa chatte. Sylvie vient se remettre à genoux face à moi, reprend mon bâton en main, l’approche et l’enfourne, à nouveau, dans sa bouche pour me le sucer, afin de récupérer les quelques gouttes de sperme qui restent sur le bout de mon gland. Puis :
-
Alors ma cousine… Est ce que ça t’a plu ?
-
Oui cousin… Tu m’as fait grimper aux rideaux. Génial !
-
Dis moi, je peux te poser une question !
-
Oui cousin.
-
Tout à l’heure, c’est le hasard ou voulu que la serviette est tombée par terre ?
-
(rires)… Devine ?
-
Donc, tu l’as un peu fait exprès… !
-
Oui, juste un peu… ! Pourquoi, tu m’en veux ?
-
Non pas du tout, au contraire…, ça a été très agréable de faire l’amour avec toi. Je recommencerai bien… Pas toi ?
-
Si, mais tata et tonton risquent, peut être d’arriver d’un moment à l’autre. Tu crois pas ?
-
C’est vrai. T’as raison. J’y pensai plus. Allez, on s’habillent.
-
D’accord.
Alors, nous nous habillons rapidement, puis nous venons, comme si de rien était, nous asseoir au salon, tout en continuant notre discussion.
-
Mais, dis moi… tu restes combien de jours ?
-
Encore demain. Après, je repars chez moi.
-
C’est couillon… On aurait pu se faire encore du bien, tu crois pas ?
-
Et oui, mon cousin… Mais, tu peux venir toi, jusque chez moi, pour les vacances !
-
Ah oui… C’est une très bonne idée. Mais, tu habites où… Encore chez tonton et tatie ?
-
Et oui…, malheureusement !
-
Alors, ça sera pas simple pour faire l’amour à l’appartement. Avec le gendarme qui sera juste à côté… ! (rires)
-
Non, non… t’inquiètes pas pour ça. Je demanderai à France de te prêter le studio !
-
Ah, ok. Comme ça, ce sera mieux. Parce que, je vois pas ma tante nous laisser faire des câlins chez elle… C’est pas le genre !
A ce moment là, un bruit de clefs raisonne dans l’entée, la porte s’ouvre et, mes parents entrent. Heureusement que nous n’étions encore dans la salle de bains… Nous avons bien failli nous faire prendre par la patrouille. Nous avons vraiment frôlé la correctionnelle…
Conclusion : c’est quand même bon de jouer avec le feu… DE L’AMOUR, bien sûr.
Histoire de Zizoulabellequeue