Souvenir d’une journée mémorable

Résumé: Une journée au bord de la mer ave des jeux coquins… ça donne une belle aventure qui se traduit par des caresses bien appropriées sur trois jolies et jeunes filles de dix huit, dix sep ans et demi et seize ans, qui se donnent et s’abandonnent jusqu’à une belle partie de baise avec la plus âgée et à la défloration de la plus jeune. Que du BONHEUR…!

En cette fin de vacances scolaires d’été, j’ai invité mes amis Christian, Caroline sa femme et leurs filles respectives Joanna et Angélique, ainsi que la nièce de Caroline Eve à venir passer deux semaines, dans ma demeure à quelques kilomètres du bord de la Méditerranée. Mais mercredi soir, après un appel téléphonique, Christian me dit comme ça.

  • Vincent, demain nous devons nous absenter Caro et moi. Il nous faut rentrer pour régler un petit problème à la société !

  • Mais Christian, il n’y a pas de problème. Demain, je ferai le baby-sitter ! (rires)

  • Merci. C’est sympa.

Donc au matin, après le petit déjeuner, Caroline et Christian quitte la maison. Je reste avec Joanna, la fille de Christian, Angélique, la fille de Caroline et Eve la cousine de Joanna. Trois adolescentes de dix huit, dix sept ans et demi et seize ans passé depuis peu, très charmantes. Joanna est une jeune fille blonde aux cheveux mi-longs et aux yeux bleus comme le bleu de l’océan. Quand à Angélique, elle est l’opposée. Vue les origines de sa maman Antillaise, elle a le teint mat, un peu couleur cannelle, les yeux d’un noir profond et les cheveux ondulés aussi noirs que ses yeux. Et, Eve elle, bien qu’elle ait des origines britanniques aussi, elle a de beaux cheveux châtains clairs avec des reflets dorés qui lui descendent jusqu’à la naissance des fesses. Avec ses yeux noisettes, elle est encore plus craquantes qu’ Angélique et sa cousine Joanna.

Bref, quelques instants plus tard, me vient une idée à l’esprit et leur propose… !

  • Dites moi les filles… Ça vous dirait si on allait passer la journée à la mer ?

Joanna.

  • Ah oui… c’est une bonne idée Vincent. On va se préparer !

Pas besoin de leur dire deux fois… Aussitôt, Angélique, Joanna et Eve rejoignent leur chambre où elles prennent maillots et serviettes de bains. Moins de cinq minutes après, les voilà prêtes, moi aussi. Je récupère le parasol sur la terrasse et Joanna prend la glacière de maman dans laquelle elle place quelques bouteilles d’eau fraîche et de soda.

Nous passons à la supérette du village pour acheter de quoi nous restaurer à midi, puis nous prenons la route en direction d’un petit coin de paradis que je connais depuis fort longtemps. Un endroit encore sauvage où les dunes sont encore là et où la plage s’étend à perte de vue. Moins d’une demie heure plus tard, nous arrivons à destination. Il est encore tôt et, il n’y a personne, ni sur le sable, ni dans l’eau. Après avoir repéré un endroit sympa où nous installer, je me gare et venons vers la plage en traversant les dunes, et là…

Angélique.

  • Dis moi Vincent, où on va se changer ?

Moi.

  • Dans le creux des dunes, là ! Pourquoi ? Et en plus ça risque rien, il n’y a personne !

Angélique.

  • Oui c’est vrai… ! tu as raison.

Joanna.

  • T’as peur de faire voir tes fesses ?

Angélique.

  • Arrête de te foutre de moi !

Joanna.

  • T’inquiète pas. Vincent est là pour nous protéger ! On sait jamais, s’il y avait un loup-garou… qui vienne nous chatouiller les fesses ! (rires)

Nous récupérons les affaires dans le coffre de la voiture et rejoignons un petit coin creux entre deux dunes. En deux secondes, nous sommes tous les quatre nus comme des vers. Mais en vieux coquin que je suis, du temps que je me change, je profite pour mâter ces trois demoiselles à poil. C’est très agréable à regarder, et même plus…

Bref, quelques instants après nous rejoignons l’eau. Elle est bien tiède déjà. Nous nous y jetons sans même attendre. Les filles, tout comme moi, nous nous en donnons à cœur joie. On s’arrose, on nage un peu, on saute les vagues qui montent vers la plage, on se court après, on s’attrape et moi, à chaque fois, j’en profite pour laisser traîner mes mains un peu partout, sur ces trois corps juvéniles. C’est très excitant. Car il faut dire que ces trois demoiselles, malgré leur age, à part Joanna qui est majeure, sont bien faites, même Eve qui est la plus jeune. Bien que petite de taille, Eve possède déjà de jolis atouts, des jambes aussi fines que sa taille, deux adorables petites fesses et deux petits nichons hauts perchés, certainement un petit bonnet A mais, très agréables à touché. Quand à Angélique, elle est un peu plus grande et a un corps plus développé, des seins bien ronds et fermes d’un bon 80 B et de jolies fesses bien galbées et fermes à souhait. Quand à Joanna elle, elle a déjà un corps de femme, une belle paire de fesses et une superbe poitrine ferme, que mes mains ont peine à contenir, certainement 85 C, que je tripote avec bonheur à chaque fois qu’elle se jette dans mes bras et qu’elle m’offre avec une certaine désinvolture, tout au long de nos jeux coquins.

Quelques instants plus tard, Joanna vient près de moi, se pend à mon cou, me donne un petit baiser sur le coin des lèvres, se serre contre moi et discrètement me glisse à l’oreille.

  • Tu as l’air d’aimer mes seins et mes fesses… ! Comment tu les trouves ?

  • Pourquoi tu me dis ça ?

  • Parce que tes mains s’y posent volontiers dessus ! (rires)

  • Ma chérie, c’est toi qui me les offre… ! Oui elles sont très mignonnes tes fesses et tes seins sont très doux. Ça me donne envie d’autre chose, même… !

  • Pourquoi tu dis ça ?

  • Plonge ta main dans mon short, tu vas voir et, tu vas vite comprendre !

A ces mots, Joanna glisse, discrètement, une main dans mon short, empoigne ma queue, constate mon érection et…

  • Heum ! Ça a l’air bon. J’aimerai bien m’amuser un peu avec ce jouet ?

  • Heu… oui si tu veux. Mais pas maintenant. Il y a ta sœur et ta cousine.

  • Tu as raison. Elles sont encore un peu jeunes pour ce genre de jeux !

  • Tu crois ?

  • Heu , je pense… !

La matinée avance et nos jeux restent toujours aussi chauds. Mais, je ne me contente pas seulement de tripoter Joanna, qui désormais apprécie de plus en plus. Quand l’opportunité se présente, c’est autant les seins, les fesses ou même le pubis d’Angélique ou d’Eve que je tâte avec autant d’application et d’excitation. Elles, ça les faits rires aux éclats. Moi, ça me fait triquer comme un malade. Mais ces deux petites coquines n’y voient pas vraiment d’inconvénients non plus… Elles, se prêtent aussi volontiers à ce jeu pervers que leur aînée. Alors, j’en profite. Nous nous amusons comme des gamins ça jusqu’à l’heure du déjeuner. Mais moi, je n’ai qu’une envie, pouvoir aller un peu plus loin dans cette aventure sympathique. Car les trois filles sont autant excitées que moi.

Bref, après un déjeuner sommaire pris sous le parasol, l’après midi se déroule sur la même base de jeux coquins. Après avoir manger, nous nous allongeons sur le sable pour faire bronzette. Un peu plus tard, je décide d’aller à l’eau, pour nager un peu. Donc, je quitte ces demoiselles. Mais, Eve se lève et vient avec moi. Nous laissons Angélique et Joanna sur le sable. Nous retrouvons ce même jeu que le matin. Mais cette fois, nous ne sommes que tous les deux. C’est encore plus intime. Pourquoi abandonner un plan qui fonctionne bien… Donc, après un bon quart d’heure où j’ai bien tâté, palpé, tripoté toutes les courbes de son corps juvénile, et où l’on s’est même bien enlacé l’un et l’autre, une importante déformation apparaît dans mon caleçon de bain. Eve s’aperçoit de la chose et vient me chuchoter à l’oreille.

  • Vincent… Tu as vu, tu as une bosse, là, dans ton caleçon ?

  • On quelle bosse… il y a une bosse dans mon short ?

  • Je crois bien… ! (rires) et même, j’en suis sûre !

  • Coquine… Tu veux voir ?

  • Oui !

Alors, j’écarte un peu l’élastique de mon maillot et je l’invite à y jeter un œil. Et là.

  • Wahoo ! Il est gros ton zizi ! Pourquoi il est gros comme ça ?

  • Parce qu’à force de caresser et de tâter tes fesses, tes seins et ta petite moule, ça m’a donné une érection !

  • Mais, ça te fait pas mal ?

  • Non ma chérie… et même si tu veux, tu peux faire quelque chose pour soigner mon pauvre zizi, comme tu dis !

  • Je peux faire quoi pour soigner ce pauvre zizi ?

  • Viens, on va s’éloigner un peu. On serra plus tranquille ! Je vais te faire voir ce que tu pourras faire.

Alors, nous nous déplaçons d’une bonne cinquantaine de mètres. Il n’y a pas plus de baigneurs que le matin. Mais au moins, nous sommes sûr de ne gêner personne dans la suite de notre passe-temps. Là, je baisse mon short de bain et je lui demande de me masturber.

Je prends sa main et lui confie mon jouet. Tout doucement, elle commence par la caresser, et petit à petit, me masturbe délicatement mais délicieusement. Quelques instants après, je l’invite à accélérer un peu plus la cadence de ses mouvements. Ce qu’elle fait aussitôt. Maintenant, elle fait ça très bien. Je me régale, et quelques minutes plus tard, la petite main qui a bien agité le flacon, finit par le faire déborder. Une généreuse giclée de sperme s’échappe de ma verge et vient faire comme une traînée de fumée dans l’eau. Là, Eve éclate de rire et me dit.

  • T’as vu Vincent, ça fait comme de la fumée ! C’est la première fois que je vois ça !

  • Et, ça te dirait de la goûter la fumée ?

  • Pourquoi, on peut y goûter aussi ?

  • Oui bien sûr ma chérie !

  • Comment on fait ?

  • Si tu veux, je t’expliquerai tout à l’heure !

  • D’accord.

S’amuser c’est bien sympa. Avec Eve, nous avons passé un très long moment où nous nous sommes bien régalés, l’un et l’autre. Mais l’heure avance et, malheureusement, il nous faut rentrer chez les parents. Nous sortons de l’eau, Eve et moi et, invitons au passage Joanna et Angélique à revenir entre les dunes, nous changer. Dans un tout petit creux où cette fois, nous sommes très proches à pouvoir, même, se toucher, nous nous remettons à poil, tous les quatre, et du temps que nous nous changeons, je profite encore une fois de masser les belles formes de ces trois demoiselles, puis, nous quittons la plage et retournons au village.

Dès notre arrivée, nous nous retrouvons, tous les quatre, sous la douche que j’ai installé dans un coin du jardin. C’est plus facile pour l’été. Moi, j’aime bien. Ça évite d’entrer dans la maison. L’espace y est restreins et de ce fait, très intime. Voilà encore une bonne occasion de m’occuper encore de ces trois demoiselles. Ce que je fais volontiers et avec beaucoup de plaisir. car, maintenant, il n’y a plus trop de gènes entre nous. Mais, à ce petit jeu je te frôle, tu me touches, je te caresse, je me retrouve une nouvelle fois avec le sexe à midi. Ni Joanna, ni Eve sont surprises. Mais, Angélique regarde ce spectacle un peu surprise. Sa cousine Joanna se met à rire et lui dit.

  • Ma cousine, tu n’as jamais vu un mec bander ?

  • Non Joanna. C’est la première fois… !

  • Ok… Mais, ne t’en fais pas, il ne va pas te sauter dessus !

Moi.

  • Tu veux le toucher ? C’est excitant, tu sais ! Aller viens, n’ait pas peur… !

  • Je peux, Vincent, tu crois que c’est bien ?

  • Bien sûr que c’est bien et, surtout c’est très bon ! Tu vas voir !

Alors, elle s’approche, quand même, un peu gênée devant ses cousines. Discrètement, elle le prend dans sa petite main. Et là…

  • C’est vrai, c’est délicieux. J’aime bien… !

Joanna.

  • Maintenant tu peux le masser si tu veux !

  • Comment ?

  • Attend, je te fais voir !

Alors elle prend ma queue en main et commence à me masturber et lui dit.

  • Tu vois Angélique, c’est comme ça qu’il faut faire !

  • D’accord madame le professeur. Merci, je crois que j’ai compris !

Alors, Angélique reprends ma queue dans sa main et recommence à me masturbe, devant ses cousines, qui la regardent faire, tout en se masturbant elles aussi. Puis quelques instants plus tard.

Joanna.

  • Attends, je te fais voir encore autre chose !

Alors, elle s’accroupit devant moi, prend à nouveau ma queue en main, la porte à sa bouche et commence une fellation. Là, je dois dire que c’est excellent. En fait, c’est ce qu’elle attendait depuis ce matin. Résultat, moins de trois minutes plus tard, je lui décharge une bonne dose de sperme dans la bouche. Après s’être bien léchée les lèvres.

  • Heum Vincent, c’est bon !

  • Tu sais, ma chérie, tu suces divinement bien… ! Si tu fais aussi bien l’amour, ça doit être le paradis !

  • Ça, tu verras bien… Si on peux le faire !

  • D’accord ma belle, il n’y a pas de problème !

Bref, après ce doux moment, nous quittons la douche et, à peine arrivé à la maison, mon téléphone sonne. C’est Caroline qui m’appelle pour me dire qu’ils ne rentrent pas, car les problèmes ne sont réglés. Je dois dire que ça m’arrange assez. J’annonce ça aux filles. Et leurs réactions sont très franches. Elles ont, toutes les trois, encore envie de s’amuser avec mon jouet qui crache de la fumée…

le soir venu, après le repas nous restons sur la terrasse à regarder, une fois la nuit tombée, les étoiles dans le ciel. Vers vingt deux heures trente, nous retrouvons nos chambres après nous être souhaités une bonne nuit. Pour ça, quelques petites caresses et un gros smack sur la bouche de chacune. Mais, un quart d’heure après m’être couché, j’entends la porte de ma chambre s’ouvrir et, quelques secondes après quelqu’un se glisser sous mon drap sans faire de bruit.

  • Chut… Vincent, c’est moi. Tu veux bien. J’ai envie qu’on fasse l’amour ensemble ? Comme ça tu verras si je fais aussi bien, que je t’ai sucé tout à l’heure !

  • Tu as de la suite dans les idées ma chérie ! Mais, c’est d’accord ma chérie. Moi aussi, j’ai très envie de faire l’amour avec toi !

A ma surprise Joanna est déjà toute nue, tout comme moi, d’ailleurs. C’est vrai qu’il fait encore chaud la nuit. Mais, malgré la chaleur, elle vient se coller à moi. Même, elle vient s’allonger sur moi. Je sent ses seins s’écraser sur ma poitrine et la chaleur de son pubis m’envahit le bas du ventre. Nous échangeons un très long baiser, et pendant ce baiser, je sent mon sexe se durcir à toute vitesse. Aussitôt, Joanna se laisse glisser jusqu’à sa rencontre, le prends aussitôt dans sa bouche et me refait une fellation d’enfer. Puis.

  • Joanna, viens te mettre à califourchon sur moi, j’ai très envie de te lécher ta petite chatte !

Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle se retourne, me colle son minou sur la figure. Comme ça, je peux lui lécher sa délicieuse fente et elle, reprendre sa fellation. Puis, après l’avoir emmenée une première fois à l’orgasme, je l’invite à la première position. Elle vient s’allonger sur moi et se laisse glisser jusqu’à la rencontre de nos deux sexes. Elle s’y plante jusqu’à la garde et commence de doux vas et viens. Ce n’est que du bonheur.

Ensuite, je l’invite à se mettre à quatre pattes pour une levrette. C’est une nouvelle fois l’extase. Je lui plante mes dix sept centimètres de sexe dans sa moule en fusion et, à chaque va et vient, elle gémit de plaisir.

Après la levrette, je l’invite à faire un tour de balançoire et encore l’Andromaque, l’éléphante et la missionnaire. Et, à chacune de ces positions, c’est le Graal. Ma partenaire se donne et prend un plaisir absolu. Elle n’est pas la seule d’ailleurs. Cette petite me faire exploser le turbo aussi. Enfin, après cette chevauchée fantastique, qui a certainement durée près d’une heure, elle vient se recoucher sur moi et, nous finissons par cette sublime position qui est « la belle endormie ». Emma se laisse à nouveau glisser jusqu’à mon pénis et s’y plante encore une fois dessus. Là, c’est elle prend les commandes des opérations. Car moi, je ne peux que l’accompagner. Et comme ça, nous irons jusqu’à la délivrance. Je lui inonde, encore une fois, sa petite chatte. Et là…

  • Oh ma chérie, tu sais, c’est vraiment bon de faire l’amour avec toi !

  • Merci Vincent. Tu m’as fait jouir comme jamais !

  • Tu sais ce que je t’ai dis après midi. Je confirme… Même, tu fais encore mieux l’amour que ce que tu suces. C’est magique !

  • Merci Vincent pour ce beau compliment. Maintenant que je suis comblée, je vais retourner me coucher avec ma sœur et ma cousine. Je te dis bonne nuit mon amour.

  • Bonne nuit ma chérie et à demain matin.

Nous échangeons un dernier baiser puis, elle quitte la chambre. Mais, mon esprit reste troublé par ce que je viens de vivre avec cette jeune fille. A tout juste dix huit ans, elle fait l’amour divinement bien. Bon, que cela ne tienne, tant bien que mal, j’essaye de m’endormir.

Guère plus d’un quart d’heure plus tard, j’entends à nouveau ma porte s’ouvrir. Cette fois, j’allume la petite lampe sur la table de nuit et surpris.

  • Qu’est ce que tu fais là Eve ?

  • Je n’arrive pas à dormir. Je pense encore à ce qu’il c’est passé tout à l’heure !

  • Et bien, explique moi un peu ma puce !

  • Après midi, j’ai joué avec ton zizi… ! Je voudrai bien recommencer. Est ce que tu veux bien ?

  • Tu crois que c’est bien raisonnable ma chérie ? Tu sais que tu as guère plus de seize ans !

  • Vincent, s’il te plaît !

  • Bon c’est d’accord. Couche toi avec moi.

A peine arrivée dans la chambre, elle ôte sa chemise de nuit, pour être aussi nue que moi. Puis, elle vient s’allonger à mes côtés. Tout doucement, je commence à la caresser. Ses petits seins sont fermes et ses tétons encore minuscules, pointent à la moindre de mes caresses. Ensuite, je lui demande de venir s’allonger sur moi. Comme l’a fait tout à l’heure Joanna. Comme ça, je peux lui caresser le dos et ses petites fesses. J’en profite aussi pour lui cajoler sa petite rondelle étoilée. Même que ça commence à lui donner chaud dans tout le corps. Quelques minutes plus tard.

  • Oh Vincent ça me fait tout drôle, tes caresses. J’ai l’impression que j’ai le feu dans tout le corps !

  • Alors, c’est bon… ?

  • Oh oui, c’est bon !

  • Alors, tu veux que je continue ?

  • Oui Vincent .

Mes caresses portent vraiment leurs fruits. A présent Eve gigote sur moi tant et si bien que, quelques instants plus tard, je bande encore comme un cochon. Je l’invite à venir me masturber comme elle l’a fait tout à l’heure. Alors, elle prend ma queue en main et commence à me masturber. Deux minutes après, elle approche, sans même que je lui demande, sa bouche et commence à sucer mon gland puis, insensiblement, prend goût à la chose. Elle me suce, presque, aussi bien que sa cousine, tout à l’heure. C’est excellent.

Maintenant qu’elle a bien pris goût à cette friandise, je voudrai lui faire découvrir autre chose. Alors, je lui demande de s’allonger sur le lit. Je lui remonte et lui écarte ses jolies jambes fines. Je viens déposer sur sa petite fente un baiser et, en profite aussi, pour y faire pénétrer ma langue. Et là.

  • Vincent, qu’est ce que tu me fais ? C’est bon ça aussi !

  • Je te fais comme tu viens de me faire ! Je te suce ton petit bouton d’amour !

  • Heum… Tu peux continuer stp… c’est bon, j’aime beaucoup !

Alors, je recommence à lui lécher sa petite fente et son délicat petit bouton d’amour. Quelques instants plus tard, elle recommence à gigoter, sur le lit et se met même à gémir. Alors, je lui écarte les lèvres de sa minette, et là je remarque que le petit bijou est encore vierge. Je m’en doutais bien un peu… Il n’a jamais reçu l’assaut d’une grosse queue comme la mienne. Alors, je lui demande.

  • Ma chérie, est ce que tu veux qu’on aille un peu plus loin dans notre aventure ?

  • Qu’est ce que tu veux dire ?

  • Je vois que tu n’as jamais fait l’amour. Ta petite chatte est encore vierge ! Tu veux qu’on essaye… ?

  • Je sais pas Vincent… ! Tu crois qu’on peut ?

  • Oui, on peut. Mais, c’est toi qui décide ! C’est très important pour une jeune fille, tu sais !

Après un petit moment de réflexion.

  • Oui c’est d’accord. Je veux bien !

Alors, je commence le délicat travail de préparation de la défloration de cette beauté. Car, Eve est une vraie beauté. Tout doucement, j’apprivoise le petit oiseau. Mes douces caresses se font, petit à petit, de plus en plus insistantes. Eve ne les refuse pas, au contraire. Ce qui me donne confiance pour la suite des événements.

Après ce très long moment d’adaptation, j’approche lentement ma verge raide, comme un manche de pioche, à l’entrée de sa minuscule grotte, encore verrouillée par un hymen total. Lentement, je fais coulisser mon pénis entre ses lèvres en insistant un peu plus sur son clitoris. Après quelques vas et viens, ça commence à la faire jouir pour du bon. A cet instant, je pense que le bon moment est arrivé. Alors, avec précaution quand même, je présente mon engin à l’entrée de sa petite grotte, et commence à vouloir lui faire pénétrer. Mais là, ça ce complique un peu plus. Ce que je craignais, forcément se produit.

  • Aïe Vincent… ça fait mal !

Alors, je stoppe l’approche un long moment. Puis, je reviens à la charge, avec encore plus de délicatesse. Je recommence à lui masser sa petite fente avec ma verge, toujours aussi raide. Cette fois, elle accepte un peu mieux la présence de cet objet inconnu et énorme, de surcroît, pour sa minuscule chatte. Bref, après plusieurs tentatives, toujours infructueuses, le bout de ma verge finit par pénétrer et déchirer son hymen. Là, Eve pousse un nouveau cri. Mais cette fois, c’est trop tard, nous ne pouvons plus faire marche arrière. Alors, j’arrête, à nouveau, la progression du marteau piqueur, et nous attendons que la douleur de la défloration s’estompe. Quelques instants plus tard.

  • Ça va mieux maintenant. J’ai plus mal !

  • Tu veux qu’on continue, ma chérie ?

  • Oui Vincent s’il te plaît ! J’ai envie de découvrir comment ça fait quand on fait l’amour… maintenant !

Alors, puisque elle m’y autorise, je présente à nouveau mon gros bâton à sa petite minette. Maintenant, que la douleur est oubliée, la pénétration se fait facilement. Délicatement et tout progressivement, j’opère les premiers vas et viens. Et, après cette approche prudente, Eve recommence à gémir. Alors quelques vas et viens plus tard…

  • Ça va bien ma chérie ?

  • Oui Vincent. C’est trop bon !

  • Tu n’as plus mal maintenant ?

  • Non, pas du tout.

  • Je peux aller un peu plus vite, si tu veux ! Tu vas voir, c’est encore meilleur !

  • D’accord Vincent.

Alors, je la pénètre à nouveau et j’accélère, peu à peu, la cadence. Pas plus de trente secondes après, Eve se remet à jouir de plus belle. Je recommence à lui limer sa petite chatte comme un mort de faim pendant plus d’un quart d’heure. Et après ce délicieux coït, où l’un comme l’autre, avons pris un plaisir fou, une furieuse envie d’éjaculer me monte dans le pénis. En moins de trois secondes, je dois résoudre le problème de savoir si je peux décharger dans sa chatte ou pas. Je choisis la seconde solution. Alors, je retire, rapidement, ma queue de sa petite moule et.

  • Eve, relève toi vite et approche ta bouche !

Elle se met à genoux devant moi. Je me masturbe encore quelques instants. Elle est là qui attend, bouche ouverte, ce délicieux breuvage qu’elle n’a pas encore goûté. Enfin, la délivrance… Une bonne giclée de mon sirop vient lui emplir la bouche. Elle me regarde un peu surprise. Mais, visiblement, elle aime son goût. Car après avoir bien avalé toute la gorgée, elle se lèche les lèvres… Puis me dit.

  • Heum… il est bon ton sirop !

  • Alors, tu aimes !

  • Oui Vincent.

  • Tu recommenceras ? Ça te fait plus peur maintenant ?

  • Mais, je n’ai pas eu peur ! Avec toi, j’avais confiance.

  • Bon… ! Si tu veux maintenant, on va aller se laver un peu !

  • D’accord !

Donc, nous allons à la salle de bains faire une petite toilette, afin de faire disparaître les quelques traces de sang de la défloration. Puis, je la prends dans mes bras et la porte jusqu’à la chambre. Je l’allonge sur le lit, la câline, la caresse et la couvre de baisers pour, encore, la remercier de ce fabuleux moment de complicité. Puis, la fatigue venant, ma belle petite poupée vient se rallonger sur moi. Je l’enlace et la serre tout contre moi. C’est très agréable de sentir son petit corps chaud et ses petits seins pointus se coller à ma peau. Ça me donne encore des envies… J’ai une nouvelle érection qui se profile. Mais, moins de deux minutes après, ma belle Eve est endormie. Moi, je reste là, avec mon érection, à la regarder dormir en me posant la question de savoir, qu’est ce qu’il a pu se passer, pour que cette jeune ado de seize ans se donne à moi aussi facilement… Bref, je la couche à mon côté. Je recommence à lui caresser ses jolis petits seins et son ventre chaud. Ma main finit pas atteindre son entre cuisse, où elle retrouve sa petite chatte, qu’elle cajole longuement. Dans un demi sommeil Eve me dit.

  • Oh Vincent, qu’est ce que tu fais ?

  • Ma chérie, je te caresse, tu vois !

  • Heum c’est bon. Tu peux continuer !

  • Tu n’as pas envie de refaire l’amour ?

  • Après ces caresses… Si… ! Fais moi, encore, l’amour stp !

Alors, je recommence à lui caresser sa petite fente et son petit bouton d’amour. Quelques instants plus tard, elle se met à mouiller abondamment et, commence à gémir. Alors, je me mets à genoux devant elle, lui replie les jambes vers elle, et lui présente le jouet qui l’a tant fait jouir tout à l’heure. Cette fois encore, Eve, soupire, gémit à chacun de mes vas et viens. Ce dernier coït est interminable. Même si pour elle, ce n’est que la deuxième fois qu’elle fait l’amour, elle y prend un plaisir fou. Alors, pour changer un peu, et lui faire découvrir d’autres façons de pratiquer, je lui fais découvrir, juste pour cette fois, une autre position « la levrette ». Je l’invite à se mettre à quatre pattes. Je lui plante, à nouveau ma banane rose dans son écrin à bijoux et, ça se déroule à merveille. L’un comme l’autre, partons pour le grand voyage ensemble. Au bout d’une bonne demie heure de jouissance commune, je finis par avoir les fourmillements de l’éjaculation qui me parcourent tout le sexe. Et paf, cette fois c’est parti. Je n’ai même pas le temps de me retirer. Je lui décharge mon sirop d’homme, et lui inonde sa petite chatte.

  • Ma chérie, excuses moi. J’ai déchargé dans ta mounette !

  • Pourquoi, il faut pas ?

  • Non… Ce serait mieux d’éviter !

  • Pourquoi Vincent ?

  • Parce que si tu es en fécondité, ça peut être dangereux !

  • Et, comment je peux savoir ?

  • Est ce que tu sais quand tu as eu tes dernières règles ?

  • Oui Vincent. Il y a quatre ou cinq jours !

  • Alors, tu ne risques rien !

  • Mais, je risque quoi, Vincent ?

  • Que je te fasses un bébé… ! (rires)

  • Quand même pas ?

  • Si ma chérie. Il suffit de quelques gouttes de sperme, une seule fois, pour qu’une femme soit enceinte !

  • Oui, ça je savais ! Ma prof, nous l’avait dit au collège.

  • C’est déjà bien ! Dis moi mon petit poussin, est ce qu tu as sommeil maintenant ? Je vois que tu bailles… !

  • Oui Vincent !

  • Bon, alors, on va se laver et, on revient se coucher. Tu veux toujours dormir avec moi ?

  • Ça oui. Comme ça, tu pourras encore me caresser et me refaire l’amour ! (rires)

  • Mais, dis donc… Tu y prends goût à ce sport de chambre ?

  • Oui… Et avec un prof comme toi… c’est normal !

  • Alors, c’est comment ?

  • Super…

cette fois-ci, nous nous couchons, encore collé l’un à l’autre. Eve s’endort pratiquement tout de suite, et moi, je finis, quand même par m’endormir aussi. Et au lever du jour, j’ai encore le bonheur d’avoir, ma petite poupée à mes côtés. Vers neuf heures, elle finit par se réveiller et là, nous refaisons un très long câlin, avant de nous lever. De quoi bien commencer cette journée, avant que Christian et Caroline ne rentre à la maison, peu avant midi. En tous cas, cette journée, passée à la plage et cette folle soirée, avec Joanna et Eve, ont été, pour moi et certainement pour ces deux demoiselles, aussi, merveilleuses. Dommage qu’Angélique, n’ait pas participé d’avantage à cette folle aventure…

Zizoulabellequeue.