Souvenir d’une descente de l’Ardèche en canoë

Aven Jo, mon beau frère, nous descendions l’Ardèche en canoë lorsque, au passage du moulin, nous avons fait la rencontre, quelque peu mouvementée, avec deux jeunes files.

A la suite d’une mauvaise manœuvre, elles sont venues nous percuter. Et, forcément, nos deux canoë ont chavirés. Résultat, tout le monde est à l’eau. Les bidons et les pagaies ont pris la poudre d’escampette et, le bateau des filles, a carrément coulé dans la cascade. Elles comme nous, nous en avons été quitte pour prendre un bon bain, un peu frais étant donné, l’heure encore matinale.

Par contre, l’image qui nous a marquée, autant Jo que moi c’est, celle de ces deux nanas aux tee-shirts détrempés, devenus aussi transparents qu’une vitre, leurs collants à la peau, moulant avantageusement leurs poitrines et, quelles poitrines… ! L’une comme l’autre, avaient de magnifiques seins mais, plus particulièrement la plus petite des deux.

Une fois le canoë des filles sorti de l’eau, les bidons récupérés par d’autres personnes qui se trouvaient un peu plus loin, sur le bord de la rivière, tant pis pour les pagaies qui, ont filées on ne sait où, nous revenons sur la berge et, nous cherchons un endroit au soleil pour faire sécher nos vêtements.

Aussitôt sur le bord de l’eau.

Mon beau frère.

  • Bonjour les filles… ! Ça va…, pas de bobos ? Mon prénom c’est Jo.

  • Bonjour Jo. Non ça va. Moi, c’est Christine et ma copine c’est Virginie.

Puis, Christine s’adresse à moi et me demande mon prénom. Je lui réponds. Régis.

Maintenant, que nous sommes présentés, nous allons pouvoir faire connaissance et, ça va être du très concret et du très rapide surtout, pour Christine et moi. Je dois dire qu’avec Jo, nous nous étions mis plus ou moins d’accord, en cas de rapprochement, sur notre choix personnel.

Donc, tout naturellement Jo, c’est rapproché de la grande Virginie et moi de Christine, tout simplement parce qu’elle est petite et moi aussi.

Lorsque nous nous sommes présentés,Christine m’avait déjà adressé un regard et un large sourire qui voulaient bien dire ce qu’il m’avait sembler bien comprendre. Car, elle n’a pas eu besoin de parler, son regard l’a fait pour elle. Alors, nous nous sommes éloignés et, c’est entre deux rochers que, nous avons trouvés refuge.

Aussitôt, je lui quitté son tee-shirt, sous prétexte de le faire sécher au soleil. Mais, entre nous, ce n’était qu’un prétexte. Car, elle aussi, avait déjà compris que, j’avais tout simplement très envie de partager un bon moment avec elle. Une fois débarrassé de ce superflu, j’ai commencer à lui peloter ses lolos, avec sa permission bien sûr. Qu’est ce que c’était agréable… !

Après ces premières et délicates caresses.

  • Heummm ! C’est bon… !

  • Ça te plaît ?

  • Ah oui… ! Heum, t’as les mains douces… !

Puis, après lui avoir bien malaxé ses nénés, et suçoté ses tétons, ce qui l’a passablement émoustillée,e elle me susurre à l’oreille.

  • Régis, tu me donnes l’envie de faire l’amour… !

  • Ben moi aussi… ! Tu sais, tout à l’heure quand, j’ai vu tes seins à travers ton tee-shirt mouillé, j’ai pensé la même chose.

  • Alors, t’es d’accord… !

  • Oui bien sûr.

Même si, l’endroit n’est pas le plus confortable, ni le plus discret, elle s’allonge sur le petit coin d’herbe qu’il y a là. Je lui quitte son bas de maillot. Et là, je crois que je rêve. Cette fille a une chatte magnifique, une fente aux grandes lèvres charnues, d’une couleur rose tendre et un superbe clitoris dont, le capuchon règne en maître au centre de ses lèvres. Je crois, que rien que ça, ma queue a doublé de volume en moins de cinq secondes.

Alors, comme un mort de faim, je me suis jeté sur cette friandise. Je n’ai même pas pris le temps de la caresser. Directement, ma bouche s’y est posée dessus et ma langue a aussitôt trouvé le chemin de l’intérieur de sa chatte. Je l’ai léchée. Je lui ai manger son clito et une poignée de secondes plus tard, Christine s’est mise à gigoter et à gémir.

Puis.

  • Oooh Régis, tu me fais jouir.

  • Tu veux t’occuper de mon pauvre sexe qui, n’attend que ta bouche… ?

  • Oui…, fais voir… !

Elle m’arrache mon maillot et mon ami Popol se redresse aussitôt comme un diable qui sort de sa boite. Et là.

  • Waouh… !

Je la regarde et, la vois qui écarquille les yeux, tout en me lançant un petit sourire malicieux et, lui répond.

  • Qu’est ce qu’il y a ?

  • Quelle belle queue… ! Heummm, je vais me régaler.

Alors, elle se penche vers moi, la prend en main, la masturbe quelques secondes puis, la fourre entre ses lèvres et me suce avec autant d’envie que moi tout à l’heure.

Après quelques minutes, d’une fellation parfaite, je l’interrompt.

  • Chris… ! Appuie toi sur le rocher s’il te plaît… !

Elle relâche ma queue et, sitôt dit, sitôt fait. Elle m’offre ses fesses et sa chatte déjà bien détrempée. Je prends ma queue en main et, pas besoin de forcer pour, qu’elle s’y engouffre jusqu’à la garde, et.

  • Heummm Régis… !

  • Oui Chris.

  • Aie aie aie… ! Qu’est ce qu’elle est bonne… !

Sur ce, les premiers aller retour, pour moi, sont aussi très jouissif. Cette fille a une chatte de folie. Je vais et je viens avec une aisance. Je sent ma queue naviguer, comme, dans un écrin de velours et, dans lequel, règne une chaleur absolument divine. Cette nana est vraiment faite pour la baise. Et, au plus je la culbute, plus elle gigote et s’excite sur ma queue au point même, qu’elle a pris littéralement les commandes et, c’est elle qui, maintenant, s’empale sur ma queue. Ses fesses claquent sur mon bassin, accompagnés par de longs gémissements à chaque coup de reins.

Mais, après cette levrette menée à un rythme d’enfer, je m’allonge sur l’herbe. Elle, elle revient s’empaler, comme Andromaque chevauche sur son cheval et, c’est reparti pour un nouveau tour. Mais, cette fois, j’ai tout le plaisir et, je ne m’en prive pas, de lui peloter ses lolos et ses tétons. Ce qui la fait frémir encore un peu plus et, jouir une nouvelle fois.

Et là.

  • Heummm Régis. Tu me fais repartir… ! Ah, c’est bon ça… !

Alors, puisque c’est bon, allons gaiement. Elle saute sur ma queue, soupire et gémit comme une chatte en chaleur. Pour moi c’est divin. D’autant qu’à part lui caresser ses seins, je n’ai rien d’autre à faire.

Puis, après cette Andromaque, elle se retourne pour, un petit tour de balançoire. Là encore, quel panard. Je sent ma queue aller et venir dans sa moule totalement détrempée. Après quelques aller retour, je sens ma partenaire s’abandonner complètement. Cette fois, elle jouit et rugit comme une lionne. Ça donne du baume au cœur.

Quelques instants après, elle finit par revenir sur terre et là, je lui propose de finir notre partie de jambes en l’air par une position un peu plus cool.

Alors, elle saute de sa monture et, s’allonge sur le côté, m’offrant ses fesses. Elle lève une jambe et, je la pénètre par derrière. Et là encore une fois.

  • Heummm Régis… !

  • C’est bon Chris ?

  • Ah oui… !

  • Et, si tu veux, je te fais péter la rondelle aussi… !

  • Qu’est ce que tu me dis ?

  • Je te fais péter la rondelle, ou je te sodomise, si tu veux… !

  • Heummm… ! Tu ferais ça ?

  • Ben, si tu veux bien, moi y a pas de problème.

  • Ah pourquoi pas… !

  • Parce que, j’ai vu que tu as un trou du cul qui n’attend que ça… !

  • En plus, j’aime bien ça… !

  • Alors, on se la fait.

  • D’ac… !

Alors, je retire ma queue de sa moule. Elle se remet à quatre pattes. Je plante mes doigts dans sa chatte pour récupérer le plus possible de cyprine et, je lui masturbe abondamment sont trou du cul. Après, je lui crache aussi, une bonne quantité de salive entre ses fesses, lui masturbe sa rondelle plissée avec mes doigts jusqu’à ce qu’elle se dilate parfaitement.

Une fois bien dilatée, je prends en main ma queue, la présente et par petites poussées, je la vois s’introduire et, finalement, disparaître dans son fourreau anal. Et là, cette fois, c’est moi qui fait.

  • Waouh… ! Qu’il est bon ton trou du cul… !

Ce à quoi, elle me répond.

  • Ta queue aussi… ! Vas y Régis, encule moi bien… !

  • Y a pas de problème. Si on est là, c’est bien pour ça… ?

  • Oui. Alors fais moi bien jouir encore.

Alors, dans ces conditions là, je ne vais pas m’en priver. C’est vrai qu’une telle occasion ne se présente pas tous les jours. Alors, je lui bourre son trou du cul comme un damné et ma partenaire couine et couine encore, à chacun des coups de queue que je lui assène.

Elle jouit, jouit et, au bout de quelques minutes, je finis par ressentir les prémices de l’éjaculation. Mais là, je ne vais pas me retirer. Encore trois, puis deux et le dernier aller sans retour. Et, dans un râle bestial, je lui inonde son petit trou de sperme.

Après m’être retiré, Chris m’envoie comme ça.

  • Oh mon salaud… ! Tu m’as déchirer le cul. Mais, qu’est ce que c’était bon.

  • Merci aussi Chris… ! Dis donc… ! Avec ta copine, vous avez bien fait de venir nous rentrer dedans.

  • Oui. Mais, je te jure. On l’a pas fait exprès.

  • C’est pas un problème… !

  • Dis moi… ! Il nous faudrait, peut être, aller rejoindre Virginie et Jo et, finir la descente.

  • T’as raison. Mais, est ce que tu crois, qu’ils auront fait comme nous ?Je ne sais pas. Mais, connaissant Virginie, c’est pas sûr. Elle n’est pas comme moi. Moi, j’aime trop le sexe.

  • Ça, j’ai bien vu… ! Remarque, moi aussi.

Sans ajouter un mot de plus, nous retrouvons nos tee-shirts et nos maillots secs, nous nous habillons et venons les retrouver.

Ils étaient en train de discuter et, lorsqu’ils nous ont vu apparaître.

Virginie.

  • Et bien, vous en avez mis du temps ?

Christine.

  • Il faut bien le temps qu’il faut… !

Et là, Virginie se met à rigoler. Car, connaissant sa copine, elle se doute bien que, ce n’est pas que pour faire sécher son tee-shirt, qu’elle a mis près d’une heure et demie. Alors.

Christine.

  • Et si on y allait maintenant ?

Jo

  • Vous savez que vous n’avez plus de pagaies ?

Moi.

  • On va amarrer les deux canoës et, on va rentrer comme ça.

Christine.

  • Tu sais, je te connais pas bien. Mais, t’es un gars qui a , que de bonnes idées.

Alors, nous prenons une corde, que j’avais dans mon sac à dos, attachons les deux canoës et poursuivons notre descente comme ça. Jusqu’au moment où, une personne sur la berge nous appelle.

  • Hey les canoës… ! Vous avez rien perdus ?

Je lui dis, des pagaies.

Le gars me répond. Elles sont ici.

Alors, nous accostons. Jo saute du bateau, va récupérer les deux pagaies. Nous détachons les amarres et finissons notre parcours comme si de rien n’était.

En tous cas, voilà encore une aventure qui, grâce à cet incident, m’a permis une belle partie de baise.

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