Bangkok, temple du sexe et des massages. Avec deux copains nous passons quelques jours à la découverte de cette région. et bien sûr, nous sommes allés gouter au plaisir du massage Thaï. La suite, vous la découvrez dans ce récit…
Comme, certainement beaucoup d’entre nous, vous ne faites pas seulement que lire les récits érotiques, vous êtes aussi des inconditionnels des vidéos x en tous genres, et notamment des vidéos de « Massagerooms ». Pour ma part, c’est le cas. Mais cette fois, le virtuel se rejoint avec le réel…
Avec deux amis, nous sommes partis pour un séjour d’une dizaine de jours à la découverte de Bangkok et sa région. Un soir, nous avons envie de découvrir la vie nocturne et agitée de cette mégalopole bruyante. Alors, sur les conseils d’un Français que nous avons croisé, nous nous faisons conduire à Patpong, un des quartiers où le sexe est pratiquement dans la rue.
Nous entrons dans une des nombreuses boites de nuit, où nous passons une très agréable soirée en compagnie de go go girls, qui sont là pour que les clients ne s’ennuient pas… Et c’est le cas.
Plus tard dans la soirée, un serveur de la boite vient à notre table et, s’adresse à nous dans un français impeccable.
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Bonsoir messieurs. Vous savez, si vous le désirez, je peux vous faire rencontrer des filles qui font de très bons massages Thaï. Nous avons des masseuses très expérimentées, ici à Bangkok !
Alex, François et moi, nous nous regardons et dans les secondes suivantes.
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Oui bien sûr, nous sommes très intéressés, mes amis et moi… ! Ça peut se faire maintenant ?
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Oui bien sûr. Si vous voulez, je vous présente les filles !
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D’accord !
Quelques minutes plus tard, le jeune homme revient accompagné par trois jeunes femmes qui ne doivent pas avoir guère plus de vingt ans. Ces trois jeunes femmes sont charmantes et particulièrement sexy. Trois jeunes créatures au sourire ravageur, aux cheveux bruns assez longs et aux yeux en amandes, simplement vêtues d’une mini jupette et d’un débardeur laissant imaginer de jolies paires de nichons. Nous nous levons et nous quittons la discothèque accompagnés par les trois demoiselles. Elles nous conduisent dans une ruelle voisine, où nous entrons dans un petit salon et là, nous échangeons quelques mots, dans un français assez correct avec l’une d’entre elle.
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Bonsoir messieurs !
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Bonsoir madame !
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Merci beaucoup. Je vous présente mes deux amies. Agun, Anong. Moi je suis Chanthra.
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Moi, je m’appelle Vincent et mes amis Alex et François.
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D’accord. Maintenant, si vous voulez, nous pouvons aller dans les cabines… !
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Ok. nous vous suivons.
Alex part avec Chanthra, François avec Agun et moi avec Anong…
moi.
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A tout à l’heure les copains ! Bon massage… !
François.
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Merci mon pote, toi aussi !
Alex.
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Bon… à plus, bonne nuit !
J’entre accompagné de ma masseuse dans une petite pièce où, il n’y a en tout et pour tout, une table de massage recouverte d’un drap blanc, un petit meuble avec tout plein de fioles, qui doivent être des huiles de massage, et dans un coin, une plante verte. Sur la table se trouve un linge blanc bien plié, qui doit être une serviette.
Là, Anong s’approche de moi et m’invite à ôter mon tee shirt, mon pantalon et mon caleçon. Puis, elle me demande de m’allonger sur le ventre. Ce que je fais aussitôt. Et là.
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Voulez vous un massage complet ?
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Je veux bien. Mais c’est quoi un massage complet ?
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Tout le corps et aussi le sexe… vous voyez !
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Oui d’accord. Je vous laisse faire. Je vous confie mon corps et mon sexe… (rires)
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Oui monsieur, je comprends.
Elle prend un flacon d’huile, en fait couler une bonne quantité dans ses mains, pour la réchauffer, et l’applique sur mon dos, puis elle commence le massage. Après m’avoir massé le dos, les cuisses et les mollets, elle me demande de me retourner sur le dos. La deuxième phase du massage se ressemble avec la première en tout point, mais avec une variante particulière.
Une fois qu’elle s’est occupée de mon corps et de mes jambes, elle commence à s’occuper de mon sexe. C’est là que ça devient intéressant. Se faire enduire le sexe d’huile et se faire masturber longuement est un plaisir fantastique. Une fois qu’elle m’a bien fait bander et masturbé, Anong quitte son débardeur et vient s’allonger sur moi et me masse avec ses seins, en montant et descendant lentement. C’est le début de l’extase. Puis quelques instants après, elle ôte sa micro jupette. Sous la jupette, aucune trace de slip ou de string. Elle est nue comme un vers et, à la vue de cette silhouette à la chatte totalement imberbe, ça me donne encore plus envie. Puis, elle revient se mettre à califourchon sur moi et cette fois, et elle masse longuement ma queue raide, comme un manche de pelle, avec sa chatte. Très vite, je sens sa chaleur m’envahir. Et, au plus elle se frotte sur mon pénis, plus j’ai cette fabuleuse sensation d’être dans un autre monde. Ensuite, elle se penche au dessus de ma queue, la prend et me la suce avec une délicatesse déconcertante. A ce moment là, je n’ai qu’une envie lui planer ma queue dans sa fournaise et la faire crier de plaisir. Mais pour elle, ce n’est pas dans son programme. Ce massage va durer longtemps, très longtemps. D’autant que j’ai totalement perdu la notion de temps. Elle ma masse ou plutôt me masturbe et me suce jusqu’à l’éjaculation. Et puis.
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Alors monsieur Vincent, ça vous plaît comme ça ?
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Oui… et même plus que ça !
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Merci Anong. Tu m’as fait passé une très agréable soirée !
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Moi aussi, monsieur Vincent j’ai passé une belle soirée.
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Merci pour le massage et pour le reste aussi !
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Mais le reste fait parti du massage aussi !
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Je m’en doutais bien un peu. En tous cas, ça a été super excitant.
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Est ce que vous restez longtemps à Bangkok ?
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Non… encore cinq jours. Pourquoi ?
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Parce que, si vous voulez encore un massage, je suis ici tous les soirs. Vous pouvez me demander à monsieur Chang le serveur.
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OK ! Mais dit moi Anong, j’ai bien envie de faire l’amour avec toi.
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Ici, c’est pas possible. Je n’ai pas le droit de coucher avec mes clients. Mais si vous voulez, nous pouvons nous retrouver à votre hôtel ?
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Oui bien sûr. Si tu veux demain après midi ?
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D’accord. Il est dans la rue un peu plus loin. On se retrouve au bar à côté de la boite, et après nous irons à l’hôtel !
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D’accord Vincent. Je peux vous appeler Vincent ?
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Bien sûr, il n’y a pas de problème !
Alors, elle prend une petite cuvette d’eau et me lave un peu pour enlever les traces de sperme. Puis, une fois habillés, nous quittons la petite chambre et rejoignons la discothèque où, nous attendent Alex, François, Agun et Chanthra. Nous commandons des boissons que nous buvons tranquillement tout en discutant de notre soirée.
Une fois les filles parties.
Alex.
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Alors les copains… ça a été comment pour vous ?
Moi.
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Si je veux te raconter, il y en a pour la nuit ! Les Thaïlandaises sont des expertes. Elle m’a mis complètement à l’envers. Elle m’a fait des trucs comme jamais !
François.
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Moi c’est pareil. Elle m’a masser comme ça m’est jamais arrivé. Et après !
Alex.
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Après, raconte… !
François.
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Après le massage, elle m’a proposé de faire l’amour ! Mais pas ici. Car par principe, c’est interdit.
Moi.
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Toi aussi ? Enfin… c’est plutôt moi qui lui ai proposé de venir demain à l’hôtel !
Alex.
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Mince… Je me suis débrouillé comme un bleu !
François.
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Il te restera plus qu’à te taper la veuve poignet… ! Ou alors, tu la retrouves et tu t’arranges pour qu’elle passe l’après midi avec toi… !
Sur ces mots, Alex se lève du siège et part bien décidé de retrouver sa masseuse. François et moi, nous nous mettons à rire. Mais, je pense que si ça m’était arrivé, j’aurai fait la même chose.
Bref, un quart d’heure plus tard, Alex, nous rejoint, un large sourire aux lèvres et…
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Ça y est, je l’ai retrouvé. Demain, vous serez pas les seuls à passer uns bonne après midi.
Moi.
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Alors, tout est bien qui finit bien… En attendant, il se fait très tard. Moi, je vais rentrer à l’hôtel. Il faut que je sois en super forme demain… Je pense que l’après midi sera chaude et bien chargée.
François.
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Tu as raison… Attends, il faut qu’on soient à la hauteur, vous croyez pas ?
Alex.
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Si. On prends un dernier verre, et on rentre !
Le lendemain vers seize heure Anong me retrouve à la terrasse du bar. Elle est encore plus belle qu’hier soir. Il faut dire que dans la pénombre de la boite de nuit, je n’ai pas vraiment prêté attention et puis, dans le salon de massage, le principal n’était pas de savoir si la demoiselle était charmante ou pas…
Après avoir pris un verre, nous rejoignons l’hôtel. Dans l’ascenseur qui nous conduit vers le septième ciel, nous commençons par échanger un doux et long baiser. Çà commence plutôt bien, c’est très agréable.
Arrivés dans la chambre, nous nous jetons sur le lit et le début du premier round est lancé. Elle m’invite à me déshabiller et à m’allonger sur le dos. Du temps que je me mets à poil, elle ôte sa jupette, son chemisier blanc à fleurs et le petit bout de tissu qui lui masque et protège sa belle chatte, source de bonheur à laquelle je vais boire tout à l’heure. Je me trouve face à un corps de déesse. Elle a une taille fine, de belles hanches, deux jolies fesses que je vais, certainement, caresser longuement tout à l’heure, un ventre légèrement bombé, une paire de seins pas bien gros, mais fermes avec deux tétons qui pointent déjà et pour terminer un mont de Vénus dénué de tout poil qui laisse bien apparaître une superbe fente aux lèvres brunes. Avec ça, comment peut on ne pas avoir envie de faire l’amour.
Après de très longs préliminaires, caresses mutuelles, masturbation et fellation pour elle et cunnilingus pour moi, nous achevons cette mise en œuvre par un délicieux 69 qui finit, par nous conduire à une jouissance commune et une première éjaculation, que la belle Anong avale dans son intégralité.
Quelques minutes plus tard, après qu’elle ait remis mon jouet en forme, elle vient se remette à califourchon sur moi, mais en m’offrant sa merveilleuse chatte, que je m’empresse de dévorer encore une fois comme un mort de faim, et elle, recommence une fellation extraordinaire. Quelques cinq minutes plus tard, elle abandonne ma queue, se retourne, prend un préservatif, qu’elle avait déposé, sur la table de nuit, me l’enfile avec une dextérité déconcertante et vient, toujours à califourchon, s’y empaler dessus. Cette fois, les préparatifs sont bel et bien terminés. Nous sommes dans le vif du sujet. Elle monte et descend avec une grande amplitude sur mon pénis et avec un tempo très lent. C’est absolument démoniaque. Elle, elle commence très vite à jouir, et moi, c’est tout comme. Puis, elle accélère progressivement le mouvement. Et, sa jouissance s’accélère aussi à chaque changement de rythme.
Pour la suite, je lui propose de la prendre en levrette. Elle se met à quatre pattes sur le lit, écarte largement ses jambes et m’offre sa belle fente brûlante. Je prends ma queue et lui plante jusqu’à la garde. Trois vas et viens plus loin, Anong recommence à gémir. Cette fois, c’est elle qui me demande d’accélérer le mouvement. Ce que je fais aussitôt. Plus le tempo s’accentue, plus elle jouit.
Après cette très longue chevauchée, commence à monter, en moi, une terrible envie d’éjaculer. Encore deux vas et viens et je lui décharge tout le contenu de sperme que contiennent mes testicules. Et là. Elle ôte le préservatif qu’elle jette sur le sol, prend ma queue dans la main et la suce pour déguster les dernières gouttes. Puis…
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Merci Anong. C’était trop bon ! Tu m’as offert un moment de bonheur que je n’oublierai pas !
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C’est très gentil Vincent !
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Si je pouvais, je t’emporterai avec moi, dans mes valises… !
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Ça serait magique. J’aimerai tellement aller dans ton pays. Mais, je crois que ce n’est pas possible.
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Malheureusement oui ! En attendant, je vais partir. Ce soir, je dois travailler. Je vais masser d’autres hommes !
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D’accord ma belle. Je te laisse partir. Mais demain ou après demain, je pense que je viendrai te voir pour un dernier massage avant de repartir.
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OK, je peux de donner un dernier baiser ?
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Bien sûr !
Alors,, elle se jette dans mes bras, se pend à mon cou et, nous échangeons un très long baiser. Puis, nous allons à la salle de bains pour, prendre une petite douche. Nous nous habillons, nous quittons la chambre, prenons l’ascenseur pour l’accompagne jusqu’à la porte de l’hôtel.
Voilà une superbe rencontre au bout du monde, qui restera gravée dans un coin de ma mémoire.
Histoire de Zizoulabellequeue.