Résumé: Ici, bien que nous soyons au mois de décembre, c’est la période estivale pour nous. Alors, nous pouvons profiter de chaque instant. Car la température de l’océan est toujours entre 25 et 27°. C’est ce que je raconte dans cette nouvelle aventure avec une bien charmante jeune femme…
Après cette virée en Thaïlande, il y a déjà trois ans, le voyageur Vincent pose ses valises définitivement sur la grande île de l’océan indien, dans une petite ville sur les bords du canal de Mozambique. Mais, ce n’est pas pour autant, que mes belles aventures vont s’arrêter.
Il y a déjà plus d’un an, j’ai fait la connaissance d’une très charmante jeune femme, au délicieux prénom de Camille, avec qui j’entretiens une relation très amicale, voire un peu plus, mais dans le respect. Je la trouve très sympa, et depuis quelques temps nous partageons la passion de la voile que, je lui ai fait découvrir. Une passion qui m’a pris en sortant, en mer, avec des pêcheurs en pirogue. Alors, depuis quelques temps, nous partons régulièrement en mer avec le trimaran que je me suis fait moi même.
Pas plus tard qu’y hier, nous sommes partis avec la marée pour prendre, une nouvelle fois, un bon bain et pécher quelques poissons pour le soir. Arrivés sur le lieu où nous avons l’habitude de nous rendre, j’affale la grand voile, jette l’ancre en prenant soin qu’il n’y ait que du sable autour du bateau. Camille enfile un petit maillot deux pièces tout mini, qui ne lui cache pas grand chose et se jette à l’eau. Je la suis dans la foulée muni de mon masque, un harpon et mon tuba, pour faire une petite plongée dans le lagon et si possible ramener une belle prise.
Après une bonne heure, je rejoins le voilier bredouille, pas même la queue d’un seul poisson. Et, lorsque j’arrive au bord du bateau, je vois ma belle Camille allongée, entièrement nue, sur le pont. Et là…
- Tu es déjà là ?
- Oui. Je t’attends depuis un moment ! Dis moi Vincent, tu veux me faire le dos stp ?
- Oui ma belle… Je te fais le dos et même plus si tu veux !
- Vincent… !
- Pourquoi ? Il n’y a pas de mal… !
Et là, elle se retourne, offrant à mes yeux ce qu’elle a de plus beau, ses superbes seins, son ventre légèrement bombé, et le meilleur de tout ça, sa petite fente bien épilée juste surmonté d’un petit trait de poils noirs en forme de ticket de métro. Bien sûr que comme ça, je vais lui passer l’huile dans le dos, et pas que… Il faut dire que cette jolie demoiselle est véritablement une petite bombe. Un mètre cinquante, sans les talons, de très belles hanches sous une taille assez marquée, qui lui fait rebondir ses majestueuses fesses rondes et bien pleines, comme la quasi totalité des jeunes femmes Malgaches. Elle a aussi une superbe poitrine, que je n’ai pas encore eu le bonheur de caresser. Quand à sa beauté, il n’y aucune critique à lui faire. Bien sûr avec une peau couleur cannelle, elle est belle à croquer. De longs cheveux bouclées, d’un noir à reflets bleutés, de grands et beaux yeux noirs, une très belle bouche aux lèvres pulpeuses et un sourire ravageur, font de Camille une créature de rêve.
- Vincent, viens me passer mon huile stp ?
- Oui, mais par où je commence, derrière ou devant ?
- Comme tu veux !
- OK… !
Alors, elle s’allonge sur le dos, je fais couler une bonne quantité d’huile dans le creux de ma main et viens instantanément lui appliquer sur ses deux superbes monticules doux et fermes à la fois. Puis.
- Oh Vincent, tu as les mains douces !
- Ça te plaît ?
- Ah oui, et en plus tu masses super bien !
- Si tu veux, je te fait tout le corps ?
- Comme ça, oui. Je te donne tout mon corps !
- Tout ? Partout ? Même ta petite fente ?
- Oui Vincent… Ça fait un moment que j’en avais envie. Mais, je savais pas comment te le dire !
- Bon d’accord. Tu vois, ça n’est pas compliqué. Tu n’as pas eu à faire d’effort pour me le demander. Aujourd’hui, tu as trouvé comment me le demander ! Et après, on fait l’amour… !
- Si tu veux. Ça aussi, j’en ai très envie !
Alors, puisque les choses sont claires, je reprend le massage de ma beauté, là où je venais de m’arrêter. Puis, insensiblement mes mains lui parcourent son ventre, ses hanches, ses cuisses, ses jambes et remontent lentement vers sa vallée des merveilles. Ensuite, elle se retourne, pour que je lui enduise le dos. Le processus ne diffère guère. Des épaules jusqu’à la pointe des pieds, aucune zones, n’est négligée. Finalement, je remonte tout doucement vers ses fesses pour arriver au meilleur. Là, je fais couler un peu d’huile entre sa croupe et, commence la phase la plus importante de ce massage. Mes doigts parcourent, lentement, sa raie et viennent, progressivement, plonger vers son écrin à bijoux. Un doigt prend, lentement, la direction de cette petite chatte brûlante et déjà bien humide, et s’y introduit sans aucun souci. El là :
- Heum Vincent, c’est bon… ça me fait jouir !
- Ma chérie… Toi, ça te fait jouir et moi, ça me fait bander !
- Est ce que je peux faire quelque chose pour toi ?
- Oui ma belle. Ça ferait du bien à mon pauvre Popol… ! Et puis … !
- Alors, pour le guérir, nous allons faire l’amour toi et moi… !
- Là maintenant ?
- Oui Vincent. J’en ai trop envie ! Ça m’excite trop… tes caresses !
Alors, nous abandonnons ce massage. Camille se retourne, se met à genoux sur le pont de voilier, arrache mon maillot de bains et se retrouve face à face avec mon sexe qui lui saute devant la bouche, comme un diable qui sort de sa boite.
- Heum Vincent, quel beau jouet… ! Elle est bien grosse et bien raide, comme j’aime. Je vais me régaler.
Après ces paroles, elle empoigne ma queue. Pas besoin de la masturber pour me faire bander. Elle est déjà raide comme un manche de pioche. Elle l’enfourne instantanément dans sa bouche et me suce comme une morte de faim. Un peu plus tard, je lui propose de faire un 69. Moi, c’est le moment des préliminaires que je préfère.
Pas de problème. Elle lâche son bâton à la purée de vanille, je m’allonge sur le dos, elle vient se mettre à califourchon et me colle sa chatte sur le nez. Elle reprend sa fellation et moi, je lui fourre ma langue entre ses grandes lèvres ; brûlantes et déjà bien humides de sa mouille, pour venir y déguster sa moule et surtout son bouton d’amour qui, sous mes caresses se gonfle et la font jouir à nouveau.
La suite vient tout naturellement. Mais pour cela, nous rejoignons, en vitesse, la cabine pour être un peu plus dans l’intimité et surtout, ne pas nous exposer aux regards de pêcheurs qui pourraient passer par là.
Elle s’allonge sur la couchette, ouvre largement ses jambes pour m’offrir cette si belle fente aux lèvres brunâtres et au vagin d’un rose vif qui, me donne encore bien plus envie de lui faire l’amour.
Pour facilité un peu plus la pénétration, je lui donne, encore, quelques petits coups de langues, même si ce n’est pas vraiment utile. Car sa petite moule est déjà bien baveuse.
Je prends le manche de pioche et le présente au seuil de sa petite chatte. Je ne sonne pas pour, lui demander si je peux entrer. Car, je sais qu’il est inutile de le faire. L’accès à ce très beau joujou m’est offert avec beaucoup de passion et certainement un peu d’amour.
Bref, dès l’introduction et les premiers vas et viens, Camille se met à manifester bruyamment sa jouissance. Et, entre les gémissements… :
- Oh Vincent… c’est bon !
- Tu l’aimes, ma banane rose ?
- Oui Vincent, je l’aime. Elle me fait du bien… vas y mon chéri…
Après ce premier acte, c’est elle qui vient me chevaucher. Ça commence par la position de l’Andromaque. Et encore une fois, à chaque fois que Camille monte et descend sur mon pénis, elle pousse un petit cri de satisfaction qui, veut dire tout simplement « Vincent c’est bon. Vas y encore ».
Puis après l’Andromaque, elle se retourne et revient s’empaler sur mon sexe pour une long tour de balançoire. Ce n’est pas comme au manège de la fête foraine. Ici, le tour de balançoire est gratuit, et à chaque fois, on attrape la pompon pour faire un nouveau tour gratuit.
Bref, après un dernier tour gratuit, et pour qu’elle récupère un peu, je lui demande de s’allonger sur le côté. Je me glisse derrière elle pour la prendre par derrière, dans la position des petites cuillères.
Après le premier va et vient, Camille se remet à chantonner. Et là…
- Vincent c’est bon comme ça aussi. C’est la première fois… !
Puisqu’elle aime, je m’applique encore un peu plus, pour lui donner un plaisir maximum. Tout en lui offrant ce merveilleux moments, je lui caresse ses seins, et même je lui titille son petit bouton d’amour. Ce qui la fait jouir encore plus fort. Après une dizaine de minutes :
- Vincent, j’en peux plus… !
- Tu veux qu’on s’arrête ?
- Non mon chéri, non… Mais c’est tellement bon… !
- Que tu en peux plus… ! (rires).
- Oui, c’est ça… !
Mais après avoir bien astiquer les petites cuillères, je lui propose, pour terminer en beauté, une petite levrette. Moi, j’aime beaucoup ça. Mais elle… Est ce qu’elle va aimer ?
Alors, nous nous dégageons de cette position. Puis, je lui demande de se mettre à quatre pattes sur la couchette. Je viens me remettre derrière elle. Elle ouvre ses belles fesses et je viens lui planter mes dix sept centimètres de queue dans sa chatte dégoulinante de mouille. Et, une nouvelle fois, dès le premier va et vient, Camille repart dans un tourbillon de Ah…, de Oh…, de Heum c’est bon, encore… Et moi, plus elle jouit, plus je m’emploie à la faire jouir.
Bref, je ne sais pas combien de temps a duré cette chevauchée. Mais, après ces différentes positions, où j’ai autant pris de plaisir qu’elle, ça commence à fourmiller à l’intérieur de ma verge. J’ai une grosse envie d’éjaculer qui est entrain de monter. Et là.
- Camille ma chérie, je crois que le train arrive en gare… !
- De quoi ? Qu’est ce que tu veux dire ? (rires).
- Que je vais bientôt éjaculer ! Comment on fait ?
- Tu peux cracher dans ma mounette. J’ai trop envie de sentir ton jet de sperme chaud dans moi !
Alors, puisqu’il en est ainsi, je continue, comme un damné, à lui tamponner les fesses jusqu’au bout du bout. Et, c’est dans un grognement presque bestial, que dans un dernier va sans retour, je lui décharge en trois ou quatre saccades, l’intégralité de ce que mes testiculaires contenaient de sperme.
- Oh Vincent… merci… qu’est ce que c’est bon !
- Moi aussi, je te dis merci ! Tu as été merveilleuse !
- Tu sais Vincent… C’est la première fois que quelqu’un me fait l’amour comme ça ! Tu vois, on aurait dû le faire avant…, depuis le temps qu’on se connaît !
- Qu’est ce que tu veux… Si ça c’est pas fait, c’est que ce n’était pas le bon moment… !
- Oui… Tu as raison ! Mais en tout cas, c’était très bon. Tu me promets qu’on recommencera ?
- Bien sûr ma chérie… Je peux te dire ma chérie ?
- Oui Vincent. J’aime beaucoup ! Moi aussi, je peux te dire mon chéri ?
- Bien sûr !
- Dis moi… Tu veux me donner un baiser, mon chéri… !
- Bien sûr, ma chérie !
Alors, elle vient se blottir dans mes bras, je la prends par le cou et, nous échangeons un très doux et longs baiser. Puis, nous quittons la cabine et nous nous jetons à l’eau pour nous rafraîchir un peu. Si tant est possible. Car, la température de l’eau est aux alentours de 25°. Mais, après ce bain délicieux, tout nus dans l’océan, je remonte l’ancre, nous hissons la grand voile et mettons le cap sur le large, pour terminer notre belle sortie en mer.
Voilà une bien belle journée qui a commencée, pas du tout, comme je l’avais envisagée. Mais qui aura le mérite d’avoir forgé un nouvel amour entre cette très belle jeune femme et le vieux loup de mer que je suis.
Récit de Zizoulabellequeue