Quelques jours plus tard.
Rémi s’apprête à baisser de rideau métallique de sa boutique. Il est dix neuf heure, lorsque passe la belle Julie qui allait faire une course au village. Il l’interpelle.
Bonsoir ma beauté. Tu sais que je viens juste de penser à toi !
Aah… ! bonsoir Rémi… ! Qu’est ce qu’il y a ?
J’ai peut être une proposition encore plus intéressante pour toi, ma chérie… !
Dis moi vite s’il te plaît ?
Voilà… ! Hier, j’ai rentré un Chappy, c’est Perrine la fille du pharmacien qui vient de passer son permis moto, qui me l’a laissé en dépôt vente. Il est quasiment neuf. Il a, tout juste, un an et il est en super état. Il n’y a même pas une rayure et en plus, il est aussi jaune. Qu’est ce que tu en penses ?
Waouh… ! Et, je peux le voir ?
Oui ma belle. Entre…, il est là, regarde !
Il baisse le rideau et ferme son magasin. Ils entrent ensemble. Elle jette un coup d’œil rapide et effectivement ce Chappy est là, juste à côté de l’autre, qui l’attend. Elle lui prend la main et, aussitôt devant l’engin, lui saute au coup et lui tend ses lèvres. Il ne peut pas lui refuser ce baiser qu’elle lui réclame. Alors, il lui offre.
Puis, après ce baiser partagé.
Ah oui… ! Il est vachement beau. Et, dis moi Rémi… ! Tu me le vends combien celui-là ?
Celui-là je te le vends pas… ! Ma chérie, je te l’offre !
T’es sérieux Rémi ?
Oui ma belle, je suis sérieux. Ce sera ton cadeau d’anniversaire…, voilà tout !
Et…, il n’y a pas une petite contrepartie, comme faire comme l’autre jour sur le bord de la Durance ?
Ils se mettent à rire tout en se regardant droit dans les yeux et.
Julie, tu sais que j’en ai autant envie que toi. Tu m’as mis le feu dans le corps, l’autre jour… ! Voilà la contrepartie. Maintenant que la boutique es fermée, on grimpe vite chez moi et on fait l’amour.
Oui oui… ! Tout de suite. Je ferai ma course demain.
C’était pas important ?
Non… ! Juste à la supérette pour acheter une crème pour mon visage. Je ferai demain.
A peine arrivés dans le salon, Julie se pend, à nouveau, à son cou et ils partagent un très long baiser. Puis, en un clin d’œil, il lui arrache ses vêtements et commence à lui peloter ses deux magnifiques lolos dont les tétons s’érigent quasi instantanément.
Après ces premières caresses qui émoustillent la belle demoiselle, il la prend dans ses bras, la couche sur le canapé, lui écarte les jambes et se jette, comme un mort de faim entre ses cuisses pour venir se délecter de sa chatte et de son clitoris qu’il dévore. Julie ne résiste pas plus de deux minutes. Elle se met à jouir et à gigoter sur le canapé puis.
Rémi…, prend moi, j’ai trop envie… ! S’il te plaît, fais moi l’amour !
Alors, ce brave garçon qui a déjà le mandrin bien raide dans son futal, se débarrasse de celui-ci et de son tee-shirt qu’il jette sur le sol puis, revient vers le canapé où Julie attend, la chatte grande ouverte, cette queue tant désirée. Elle la prend dans sa main et la masturbe comme elle l’a fait l’autre jour sur l’herbe.
Et là.
Julie… ! Tu veux bien me sucer ?
Elle lève les yeux et lui rétorque.
Comment on fait Rémi ?
Excuse moi ma poupée. Je suis désolé !
Pourquoi ?
Parce que je ne savais pas que tu sais pas… !
Mais dis moi…, je vais te le faire !
Alors, tu prends mon sexe dans ta main, tu le mets entre tes lèvres et tu le suces, un peu, comme tu suces une glace. Et après, tu le fais aller et venir dans ta bouche entre tes lèvres, tu vois ?
Je crois que j’ai compris… ! J’essaye mon chéri !
Tiens, c’est la première fois que tu me dis « mon chéri ». Merci ma belle.
Ben oui… ! Tu es tellement gentil Rémi… !
Sans autres explications, Rémi s’assoit sur le bord du canapé, les jambes largement ouvertes, Julie se met à genoux devant ce membre raide, comme un manche de pioche, le reprend dans sa main, puis l’insère entre ses lèvres et, comme il lui a expliqué, lui lèche le gland puis commence à le faire aller et venir dans sa bouche en l’enserrant entre ses lèvres.
Quelques instants après.
Hé…, dis donc ma chérie, tu sais que tu suces vachement bien ? Tu apprends très vite… !
Elle relâche sa sucette et en rigolant.
Alors c’est bon, mon chéri ! Ça te plaît ?
Ah oui… ! Mais, si tu continues comme ça, tu vas finir par me faire gicler… !
Elle relâche encore une fois sa sucette et en le fixant dans les yeux.
Tu sais que c’est bon… ! Merci Rémi de me faire découvrir tout ça. Tu te rends compte… ! Si j’étais pas venue dans ton magasin, je serai encore pucelle et, je saurai rien du tout de l’amour.
Et oui petite fille… ! Aller viens. Donne moi ta petite chatte maintenant !
Oui Rémi. Elle a bien besoin d’un très gros câlin.
Alors, elle s’allonge sur le canapé les cuisses ouvertes au taquet, lui offrant sa magnifique fente qui, comme l’autre jour, a pris une belle couleur rose vif. Rémi, lui lèche copieusement sa moule, même si elle n’en a pas vraiment besoin, tellement elle mouille. Puis, il se met à genoux devant cette beauté, prend sa queue en main et la pénètre sans problème aucun. Cette fois, pas de douleur mais, un énorme soupir de satisfaction à la pénétration puis.
Oouuuh Rémi… ! C’est bon !
Alors, puisqu’elle est satisfaite de la présence de cette grosse queue dans sa grotte et dans laquelle, un incendie vient de se déclarer, le pompier de service va y mettre tout son cœur pour le circonscrire. Les va et vient se succèdent pour le plus grand bonheur de cette bombinette de Julie qui, soupire, gémit et gigote comme un vers sur le canapé.
Quelques minutes plus tard.
Ma belle, tu veux bien te mettre à quatre pattes ?
Bien sûr Rémi… !
Aussitôt en position, il se remet derrière elle et, sans plus attendre, replonge son phallus entre ses fesses et.
Oh Rémi… ! C’est encore meilleur comme ça ! Pourquoi tu me l’as pas fait l’autre jour ?
Parce que l’autre jour, on avait pas trop de temps et l’endroit n’était pas ce qu’on fait de mieux pour faire l’amour, ma chérie… !
C’est vrai… ! On est mieux ici.
Alors, le mandrin du marteau niqueur se remet en route et après quelques aller retour, la belle demoiselle se remet à soupirer, gémir et à presque chaque pénétration, de lui dire.
Heum… ! C’est bon… ! Vas y…, vas y… !
Alors, ce bon Rémi s’affaire autant qu’il est possible. Il lui bourre sa moule qui mouille toujours que plus, tellement Julie jouit. Et après un bon quart d’heure d’une somptueuse levrette, ce bon Rémi est dans l’obligation de l’avertir que le train va arriver en gare et que la fin du voyage est proche.
Oh ma belle. Je vais éjaculer !
Alors, dans son brouillard de jouissance, elle lui répond.
Si tu veux !
Alors, assied toi sur le bord du canapé.
Rémi retire sa queue. elle s’assoit, il vient se mettre en face d’elle et, tout en se masturbant, lui dit.
Ouvre grand la bouche… !
Pourquoi Rémi ?
Tu vas voir… !
Quelques secondes plus tard, il approche sa queue, tout près, de sa bouche ouverte et trois giclées de sperme viennent se déverser en elle.
Bien qu’un peu surprise par ces trois giclées qu’elle a quand même avalée, et après s’être un peu essuyer la bouche avec la main, lui dit comme ça en regardant fixement sa queue.
Et bien dis donc. C’est bon ça. C’est la première fois… ! Mais je recommencerai bien. Il est bon ton jus !
Merci ma belle. Et si tu en veux encore, je t’en donnerai chaque fois que tu en auras envie.
Oui Rémi, il y a pas de problème. Et, comme ça, je te payerai mon Chappy… !
Puis, elle se met à rire. Et Rémi de lui répondre.
Quand même… ! Ça, c’est pour le plaisir de faire l’amour ensemble. Mais ton Chappy, c’est ton cadeau d’anniversaire, d’accord !
Oui Rémi, d’accord. Mais, dis moi… ! Puisque c’est comme ça, tu me permets de venir te voir très souvent ?
Bien sûr ma petite chérie. Tu passes à la fermeture du magasin. Tu sais que le soir je suis là, chez moi… !
Merci Rémi. Et pour le Chappy, comment on fait.
Demain, c’est samedi, ton paternel travaille ?
Non !
Alors, tu viens avec lui. On fera les papiers, et comme ça, tu l’auras ton Chappy. Il sera à toi… !
Oh merci mon chéri. Je t’aime encore plus là… ! Et, qu’est ce qu’on va lui dire ?
Que je t’en fais cadeau pour tes seize ans, tout simplement… !
Et s’il veut savoir pourquoi… !
T’inquiètes pas, je vais trouver une bonne explication.
Oh merci Rémi. Tu peux pas savoir comment, je suis heureuse… !
Ne dis rien, savoure ton bonheur. C’est bien mieux comme ça… !
Ah oui, je savoure tellement que, ça me donne encore envie de faire l’amour… !
Là, maintenant ?
Oui Rémi.
Mais, tu sais, qu’il te faudrait rentrer chez tes parents, quand même… !
Malheureusement… ! Tu vois, je suis tellement heureuse, que j’ai oublié que j’ai encore des parents. T’as raison. Je vais m’habiller et je vais y aller.
Alors, ils se lèvent du canapé. elle vient se blottir contre lui et, après lui avoir caressé encore une fois sa queue et ses testicules, se met à chouiner.
Ma poupée, ne pleure pas… ! C’est comme ça la vie. Sèche tes yeux. Il te faut y aller maintenant. Je te dis à demain… !
Oui Rémi.
Alors, après avoir séché ses jolis yeux verts, elle s’habille, Rémi aussi. Puis, ils descendent encore enlacés et avant d’ouvrir la porte, ils échangent un dernier baiser.
A demain ma poupée… !
Oui, à demain mon chéri… !