Rémi e-t Julie 1

Dans une petite bourgade de la périphérie du chef-lieu du département, se trouve un magasin de cycles où le propriétaire, Rémi, n’est pas simplement qu’un vendeur de cycles. Il est aussi le bon copain, près à rendre service, à ses potes motards du club de moto, mais le grand frère de la plupart des ados qui viennent dans sa boutique. Dans les alentours, la plupart l’appelle Johnny, à cause de sa ressemblance avec le rockeur Français et la passion qu’il a pour sa Harley Davidson.

Ceci-dit depuis quelques temps, Julie, une jeune ado qui vient de fêter son seizième anniversaire, vient très souvent lui rendre visite. Car, elle aimerait bien, comme ses copines, avoir aussi un Chappy.

Régulièrement, elle vient, pour constater si l’objet de son désir est encore là. Ce mercredi, elle entre dans le magasin, il s’approche d’elle et, comme la dernière fois, après lui avoir dit bonjour, lui pose la question.

Il te plaît toujours ce Chappy.

Elle lève les yeux et lui répond presque gênée.

Oui Rémi, tu le sais… !
Ah… ! Écoute…, j’ai peut être une idée. Mais d’abord une question. Est ce que ça te ferait plaisir de l’essayer ?

Elle se tourne vers lui, le regarde les yeux grands ouverts et, malgré, un petit sourire gêné.

Tu es sérieux là ?
Oui Julie, je suis très sérieux ! Tu me connais… ? (rires)
Je te crois pas !

Rémi retourne vers le bureau de sa boutique et revient avec deux casques et les clefs du cyclo.

Allez ma belle, on y va.
Et, tu m’emmènes où ?
On va aller vers la digue à côté de l’aéroport. Là-bas, c’est tranquille. Il n’y a pas de circulation. Comme ça, tu seras plus à l’aise. Parce que je pense que tu ne t’es jamais servie de ce genre de truc !
Oui Rémi… ! Ça sera ma première fois !
Ok… ! Bon on y va. Mais aujourd’hui, c’est moi qui conduit.

Sur ces mots, Rémi sort le cyclo sur le trottoir, ferme le magasin en mettant une petite affichette « Fermé pour un instant », donne un casque à Julie, qu’elle met sur sa tête. Lui, enfile le sien, puis met en route le Chappy. Et avant de partir.

Bon, tu te serreras bien contre moi et tu te tiens à ma taille. C’est juste pour éviter que je te sème en route. Parce que là, je me ferai dire deux mots par ton paternel… !

Et là, ils partent à rire comme deux gamins, puis.

Oui Rémi.

Quelques secondes plus tard, les voilà partis. Julie est radieuse, comme jamais elle ne l’a été. Elle a des étoiles plein les yeux. Car, son rêve est en train de se réaliser. Elle a très envie de lui dire merci. Mais, elle ne sait pas trop comment, et n’arrive pas à trouver de solution.

Tout au long du trajet, elle s’abandonne dans ses rêves de bonheur, totalement submergée par ce qu’elle est en train de vivre et, ne se rend même pas compte qu’elle est littéralement collée à lui, au point que ses seins s’écrasent, à chaque soubresauts de la route, contre son dos. Mais lui, il sent, très bien, cette présence qui, lui est très très agréable, mais ne dit mot, par peur qu’elle ne s’en aperçoive.

Un gros quart d’heure plus tard, ils arrivent. Rémi stoppe l’engin. Ils descendent et là.

Alors ma belle… ! Tu vois, que je ne t’ai pas menti. Quand, je fais une promesse, je la tiens. Maintenant c’est à toi de piloter ton futur bolide.

Et, il se met à rire.

Soudain, une larme lui coule aux coins des yeux. Rémi vient vers elle, la prend par les épaules pour la consoler, lui passe la main dans ses cheveux roux, puis dans le dos en lui disant.

Aller ne pleure pas ma belle !

Et là, elle lève la tête, le regarde dans les yeux, se dresse sur la pointe des pieds, se pend à son cou, lui tend ses lèvres et lui donne un gros bisou sur la bouche, puis.

Merci Rémi… ! Tu es trop gentil.
Mais, ça ne vaut pas un bisou ?
Si Rémi. Tu peux pas deviner comme je suis heureuse là. Je pourrai, même, te donner encore plus, tu sais. Tellement ça me fait plaisir !
Bon pour ça, on verra tout à l’heure. Pour le moment, va faire un tour. Aller…, je reste là. Je t’attends.

Moins de cinq minutes plus tard, elle revient, le met sur la béquille, rejoint Rémi, lui saute au cou, lui offre ses lèvres et là, ce n’est pas un bisou qu’elle lui donne, mais un long baiser qu’il ne peux refuser.

Rémi réalise vraiment qu’elle a éperdument envie d’avoir ce Chappy et que pour ça, elle est prête à se donner entièrement. Alors, ce grand coquin a tout de suite compris ce qu’il fallait lui donner pour la ravir vraiment. Ce baiser qu’elle vient de lui offrir en est le déclencheur.

Alors, il passe derrière elle, passe ses bras par dessus ses épaules, pose ses mains sur ses seins et après les avoir longuement pelotés, tout en lui faisant de petits bisous dans le cou, l’invite à l’accompagner dans le petit bois qui longue la rivière. Julie ne proteste même pas. Car, elle a trop envie, de ce Chappy.

Alors, quelques dizaines de mètres plus loin, après avoir mis le cyclo sur la béquille et, une fois à l’abri d’éventuels regards indiscrets, ils s’assoient dans l’herbe fraîche et là,

T’en as vraiment envie de ce Chappy… !
Oui Rémi.

Vu l’endroit où ils sont et la façon dont ils se dévorent des yeux, elle s’imagine très bien ce que ces mots voulaient dire. Cette fois, c’est lui qui la prend dans ses bras et lui donne un baiser. Puis il l’allonge sur l’herbe et, commence à l’effeuiller, même si elle n’a pas grand chose sur la peau, vu la chaleur dans cette après midi d’août.

Alors, il recommence à la caresser. Il pose, une nouvelle fois, ses mains sur ses seins et là, l’impression qu’il a eu tout à l’heure se confirme vraiment. Après lui avoir ôté la chemise indienne en voile de coton qu’elle porte, il découvre, les yeux écarquillés, cette poitrine véritablement opulente. Car, cette petite demoiselle, qui n’a pas une taille de mannequin, tout au plus un mètre cinquante cinq est, ce qu’on appelle communément, une véritable petite bombe.

Outre qu’elle a un joli minois avec quelques taches de rousseur et une jolie bouche aux lèvres charnues, de magnifiques yeux verts, de longs cheveux roux ondulés, elle a de très belles formes. Elle jouit d’une belle paire de lolos au volume insolent, bien ronds, bien fermes et hauts perchés que, ce diable de Rémi se régale de peloter avec fougue. Mais aussi de très belles jambes et de superbes fesses rondes au galbe tout aussi insolent que sa poitrine. Et après cette énorme surprise, il ne peut s’empêcher de lui poser cette question quelque peu indiscrète.

Excuse moi Julie… ! Normalement ça ne se demande pas. Mais, je le fais quand même. C’est combien ton tour de poitrine ?

Elle le regarde droit dans les yeux et.

Quatre vingt cinq C Rémi… !

Puis, elle se met à rigoler.

Waouh… !

Sans dire plus, il revient à ses caresses. Très rapidement, ses tétons se durcissent et là, il les lui suçote tour à tour et les fait rouler entre ses lèvres. Avec une telle attention, la belle demoiselle a des frissons qui lui parcourent les seins puis, lui envahissent tout le corps, et elle s’envole dans un premier tourbillon de bonheur et perd pied instantanément. Sa respiration s’accélère, elle se met à soupirer, ferme les yeux puis, se met à gigoter sur son lit de verdure tout en se mordillant les lèvres.

Quelques instants après ce premier orgasme, il lui dégrafe et lui ôte son petit short et sa petite culotte et, sans plus attendre, se jette entre ses cuisses pour, lui masturber sa moule charnue dont, le pubis est recouvert d’un léger duvet rouquin comme ses cheveux. Puis, il lui lèche longuement avant de retrouver son bouton d’amour qu’il excite minutieusement. Ce qui la fait réagir une nouvelle fois, au point de se mettre à gémir très très fort avant de lui bafouiller.

Oouuuh, Ré…é…é…mi, qu’est ce…e…e que… y… m’a…a…ri…ve ?
Tu jouis ma belle… ! Tu jouis… ! C’est bon ?

Puis..

Ouiii…Rémi ! Mais, c’est… la… pre…mi…ère fois ! Ça… fait… tout… drôle, tu sais… !
Ça te plaît ?
Oui… Rémi… !
Alors, je peux continuer ?

Mais, tout en parlant, il poursuit sa besogne.

Pourquoi, c’est…, pas…, fini ?
Non na belle… ! C’est juste le début là !
Et après, on va faire quoi ?
Surprise ma belle, tu vas voir… !

Alors, il s’applique à lui masturber, encore et encore, sa petite chatte qui mouille de plus en plus. Quelques instants plus tard, il relâche son étreinte, ôte son tee-shirt et son futal. Car sa queue commence à s’y trouver bien à l’étroit. Puis, il s’allonge à côté d’elle, exhibant une magnifique érection.

Julie fixe du regard cet engin et un peu surprise lui lance.

Dis moi Rémi… ! Il est bien gros ton sexe !

Il se contente de lui adresser un large sourire, avant de lui répondre.

Viens Julie… ! Viens t’en occuper s’il te plaît !
Tu sais, j’ai jamais fait ça ! Comment je fais ?
C’est pas compliqué. Viens, mets toi à genoux entre mes cuisses, tu prends mon sexe dans ta main et tu fais les aller retour de haut en bas.

Julie s’exécute aussitôt. Et quelques va et vient plus tard.

C’est comme ça Rémi ?
Oui ma belle. C’est très bien. En plus, t’as les mains vachement douces. Continue comme ça. C’est très bon… !

Quelques instants plus tard, il lui demande de se mettre à califourchon. Car, il a encore très envie de lui manger sa moule baveuse.

Aussitôt en position, Julie retrouve le mandrin de son bienfaiteur et lui, sa belle fente dont les lèvres ont pris, désormais, une belle couleur rose vif, résultat de l’excitation. Et là, il s’aperçoit, en lui écartant sa chatte, qu’elle est vierge.

Les préliminaires achevés, il lui demande de s’allonger sur l’herbe jambes écartées. Ce qu’elle fait bien sûr. Alors, il prend sa queue en main, commence à la faire coulisser entre ses lèvres en insistant bien au passage sur son clito. Ce qui l’émoustille encore une fois et là, Julie se remet à gémir. Alors, ce bon diable de Rémi, voyant que les choses vont, plutôt, dans le bon sens et tournent, plutôt, en sa faveur, en la regardant jouir ainsi, décide de la dévierger sans tarder. Alors, il cesse les vas et vient entre ses lèvres et son bouton d’amour, reprend sa queue en main, la positionne, juste à l’entrée de ce minou chaste, à quelques millimètres de son hymen et d’un seul coup, mais dans un cri de douleur, lui perfore son infime voile de chair rose.

Aie…e…e… !

Avec ce cri de douleur, il arrête immédiatement la progression de son mandrin. Mais, il est un peu tard pour revenir en arrière. Sa virginité, elle, s’est bel et bien envolée. Alors, il retire son sexe ensanglanté, se penche sur elle, lui donne un nouveau baiser qu’elle accepte et partage, la caresse et la console en lui disant.

Excuse moi Julie, si je t’ai fait mal. C’est pas bien… ! J’aurai dû te dire. Je suis désolé… ! Je suis pas gentil… !

Même sous l’effet de la douleur.

C’est pas bien grave ! Et puis, tu sais, je l’ai accepté, aussi… !
Alors comme ça, je me sens un peu moins coupable. Tu sais ma belle, on va attendre que tu n’aies plus mal et après, on va faire l’amour comme il faut. T’es d’accord ?
Oui Rémi d’accord… !

Une fois la douleur dissipée, il reprend son sexe encore bien raide, le représente à sa chatte encore rougie par la défloration et cette fois, c’est sans cri ni plainte qu’il la pénètre. Puis très lentement, il commence par aller et venir dans ce fourreau relativement étroit mais, formidablement juteux, où règne une incroyable chaleur.

Quelques va et vient plus tard, sa respiration s’accélère à nouveau fortement puis, elle se met à soupirer et finalement à gémir tellement les va et vient de son bienfaiteur la font jouir. Il la lime, comme ça, pendant une bonne dizaine de minutes jusqu’au moment où une terrible envie d’éjaculer se profile dans ses testicules.

Et après quelques va et vient supplémentaires, il retire précipitamment sa queue de sa chatte, totalement détrempée par sa mouille et, lui crache un flot innommable de son jus d’homme sur son pubis.

Après que la belle Julie soit redescendue de ses nuages.

Oooh Rémi… !
Qu’est ce qu’il y a ma belle, ça va mieux maintenant ?
Oui Rémi… ! Ça va très bien…, même. C’était vachement bon !
Est ce que tu as envie de recommencer ?
Oui Rémi. Mais, tu sais, quand tu es entré dans moi, ça m’a fait mal, et après, c’était plus pareil. C’était bon, c’était bon… ! Ça m’a fait plein de choses dans tout le corps. C’est quoi Rémi ?
Tu as simplement joui ma Julie… ! C’est un moment fabuleux ?
Oui… ! Alors, j’aime jouir. Mais dis moi Rémi…, quand est ce qu’on refera l’amour ?
Quand tu veux, bien sûr !
On viendra encore ici ?
Ici ou ailleurs, quelle importance… !
Moi, j’aime bien ici.
Pourquoi ?
Parce que c’est ici, que je t’ai donné ma virginité… !
Alors ma chérie, nous reviendrons faire l’amour ici. Et, quand tu auras ton Chappy, tu viendras avec et moi, je viendrai en bécane. Comme ça, on fera comme les vrais motards… !

Puis, ils se mettent à rire. Quelques secondes plus tard, ils se rhabillent, sortent du petit bois en laissant les traces de leur passage sur leur lit d’amour champêtre, reprennent la direction du village et se quittent comme se quittent un vendeur et sa cliente après un essai très très concluant.

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