On dit souvent, que quelques fois, le hasard favorise les choses ou les rencontres. Et bien, cette fois, j’en suis un témoin privilégié.
Il y a un peu plus d’un mois, je rentrais d’un voyage et, en en me rapprochant d’un immeuble, j’entends de la musique et, surtout, une voix féminine qui me saisit, tellement elle est belle. Je m’arrête pour écouter cette voix qui me donne presque des frissons.
Finalement j’entre et, je reste immobile, dans un coin, à écouter chanter cette jeune femme.
La répétition terminée, je m’approche pour, venir lui parler. Après nous être présentés l’un et l’autre, le contact s’établit instantanément, ce qui nous permet de faire connaissance très vite. Puis, nous quittons la salle et déambulons dans les rues de la ville avant de l’accompagner jusque chez elle.
Et là.
•Tout à l’heure, je t’ai écouté chanter et, ta voix m’a charmée. J’ai très envie de te revoir… !Est ce que c’est possible ?
•Si vous voulez !
Comme ça, nous nous sommes retrouvés pour parler de notre passion commune, la musique, plusieurs fois, jusqu’à hier, où je suis venu assister à la répétition de son groupe.
A la fin de la répétition, Marie Anne me rejoins, je la raccompagne et avant de la quitter devant sa porte..
•T’es libre demain après midi ?
•Oui, pas de problème !
•Je passe te prendre vers quatorze heures, ça te va ?
•Oui, c’est d’accord ! Mais, tu m’emmènes où ?
•Surprise… !
•D’accord… ! A demain Vincent.
•A demain Marie Anne.
Donc, je la laisse devant chez elle et reprends mon chemin pour rentrer chez moi. Mais, tout en marchant, je ne peux pas me défaire de cette voix qui m’a clairement ensorcelée, mais pas que. Car, cette jeune femme m’attire, aussi, comme un aimant attire une aiguille. En plus de cette voix sublime, elle est d’une beauté rare.
Pour la décrire un peu. C’est une jeune femme métisse à la peau couleur café au lait, pas très grande, juste comme j’aime. Elle a une taille fine et aux hanches bien marquées. Côté visage, elle a une magnifique chevelure bouclées qui lui recouvre les épaules, des yeux d’un bleu qui, m’ont transpercés, dés le premier regard. Mais aussi, une bouche aux lèvres pulpeuses qui, me donne envie de l’embrasser avec hardeur.
Le lendemain en début d’après midi.
Je retrouve Marie Anne, comme prévu et, après avoir échangé un petit bisou en guise de bonjour et, une fois assise à mes côtés.
•Alors, où va faire un petit tour ?
•Oui Vincent. Mais onva où !
•A la plage, ça te dit ?
•Ben pourquoi pas… ! Mais j’ai pas de maillot.
•Pas grave… !On passe à une boutique pour en acheter un.
•Bon d’accord. Vous êtes trop gentil Vincent.
•Je sais. Mais, seulement, quand j’aime bien la personne. Et, je vais te demander une chose. Arrêtes de me vouvoyer. C’est quelque chose que je n’aime pas beaucoup.
•D’accord Vincent. Si, je t’ai vouvoyé, c’est à cause de l’écart d’âge que nous avons.
•Peut être. Mais, tu sais que l’âge n’a aucune importance, pour être de bons amis.
•Oui, c’est vrai. D’accord Vincent.
Donc, nous nous arrêtons dans une boutique de lingerie et, après quelques recherches et autres essayages, pendant lesquels elle m’a laissé regarder par le petit coin du rideau. Ce qui m’a permis d’apprécier ses jolis lolos et ses belles fesses généreuses d’un peu plus près, elle a choisi un joli deux pièces brésilien très sexy. Ce qui n’est pas pour me déplaire, au contraire.
A la plage une heure plus tard.
Je gare la voiture derrière un fourré, au beau milieu de cocotiers, pour qu’elle puisse mettre son maillot en toute tranquillité. Cela fait, Marie Anne ôte sa chemise et son short, tout comme tout à l’heure, à la boutique. Mais cette fois-ci, elle m’offre le tableau intégral de son corps, sa poitrine, son joli ventre plat et son pubis dont, la toison a été soigneusement épilée. Devant ce superbe écran de verdure, le spectacle est magnifique, et bien sûr, ça me donne, encore plus, envie d’y goûter.
Et.
•Tu veux que je t’aide ?
•Oui, stp, Vincent, pour attacher la ficelle derrière.
Alors. Je la rejoins, me place derrière elle et viens pour attraper les deux bouts du cordon. Mais, le faisant un peu exprès, l’une des deux m’échappe. Et, pour la rattraper, ma main vient à tâtons, et se pose sur son sein gauche. Et là, elle tourne la tête, me regarde en souriant et me dit.
•Vincent, tu es un coquin… !
•Pourquoi, tu me dis ça ?
•Parce que, tu as fait exprès de lâcher le cordon… !
•Oui, un peu… !Mais, il faut que je te dise. Tu sais, depuis notre première rencontre, tout d’abord, c’est la voix de la chanteuse qui m’a envoûté et après, c’est la jeune femme que tu es qui a conquis mon cœur, qui fait qu’aujourd’hui, j’ai envie de lui faire partager quelques moments de bonheur et de plaisir.
•Et, c’est pour ça,qu’on est venu ici ?
•Oui Marie-Anne,c’est pour tout ça. Et toi, qu’est ce que tu en penses ?
•Oui, pourquoi pas,même si on se connaît pas encore comme il faut… !
•Comme ça, on va apprendre à se connaître un peu plus intimement,t’es d’accord ?
•Oui Vincent.
Et tout en parlant, je continue à bien peloter son sein. Puis, je récupère le cordon et, lui attache dans le dos. Elle enfile son bas en prenant bien soin, quand même, de se pencher vers l’avant, pour offrir à mes yeux ses magnifiques fesses, sa raie, sa rondelle étoilée et sa belle fente aux lèvres charnues d’une magnifique couleur brune foncée.
Après ça, je sent une forte chaleur m’envahir. Là, je n’ai plus qu’une seule pensée, lui faire l’amour.
Bref, nous allons, quand même, nous baigner. Et là, l’envie que j’ai de posséder cette jeune femme est tellement forte, que je l’entraîne dans un jeu de touche touche qui, nous rapproche de plus en plus.
Heureusement que l’endroit n’est pas fréquenté par d’autres baigneurs. Car, les caresses se font de plus en plus coquines. Je lui pelote ses seins, ses fesses et sa chatte sans retenue. Marie Anne, ne proteste pas, tout au contraire. Ça la fait sourire et en redemande même.
Quelques instants après, une de ses mains trouve la faille, pour pénétrer dans mon short de bain. Elle s’y engouffre jusqu’à rencontrer ma queue qu’elle, saisit et se met à la masturber avec application. Bref, moins d’une minute plus tard, elle se retrouve presque à la verticale, faisant une belle bosse en travers de mon caleçon de bains.
Et là.
•Sion sortait, ce serait peut être mieux… ! Tu crois pas ?
•Si Vincent. Parcequ’avec la bosse que tu as dans ton caleçon, on peux pas rester ici, même s’il n’y a personne. On va se cacher un peu… !
•Oui Marie. On va derrière la voiture. La-bas, nous serons à l’abri.Bien qu’il n’y ai personne, nous serons mieux pour faire l’amour.
•Oui Vincent.
J’étends vite une natte sur le sable et, nous nous y installons. Là, je me dépêche de lut délasser la ficelle de son maillot pour pouvoir lui peloter à nouveau ses jolis seins.
Quelques caresses et petits suçons sur ses tétons font, que Marie Anne commence à s’agiter et se mette à soupirer fortement.
Quand à elle, elle ne perd pas de temps non plus. Sa main, rejoint aussitôt ma queue dans mon caleçon. Puis, délasse le cordon, extirpe le jouet en question et recommence à le masturber.
Quelques instants plus tard, elle arrête de me masturber et me dit.
•Vincent,j’ai envie que tu me manges mon minou.
•Ôte tonslip… ! Moi, je quitte mon caleçon et, comme ça,nous allons le faire ensemble.
•Ah oui, Vincent… !T’es un génie.
•Juste l’expérience ma belle, l’expérience… !
•Oui. Aller, on fait comme ça.
Je m’allonge sur le dos, elle se met à califourchon sur moi, me colle sa moule sur le nez puis, elle saisit ma queue, la masturbe encore un peu puis, la fourre dans sa bouche pour une bonne fellation. Quand à moi, je retrouve, sans plus tarder, sa fente dont une douce chaleur s’en dégage. Ma bouche en prend aussitôt possession. Je m’applique à lui lécher sa moule de laquelle suinte un jus à la saveur enivrante.
Suite à cette bénéfique préparation, Marie Anne relâche en premier ma queue, fait un demi tour pour, venir s’y empaler dessus. Je sens ma queue s’enfouir au plus profond de sa chatte. Quelle divine sensation et là, ma douce partenaire entame une délicate danse, qui me comble de bonheur et, qui la fait partir dans une jouissance inouïe. Les aaah, oooh, ouah et autres hou la la, c’est bon se succèdent et s’accordent au rythme qu’elle s’impose.
Après cet intermède, elle se retourne, sans rien dire, s’empale encore une fois et là, c’est reparti pour une partie de balançoire. Du temps qu’elle se balance sur ma queue, je lui pelote ses nénés, lui titille les tétons ou, lui caresse les fesses. Cette fois encore, la jouissance est au rendez-vous. Marie Anne couine comme une chatte en chaleur.
Quelques instants plus tard, je l’invite à se mettre à quatre pattes pour une levrette. Là, c’est moi qui vais diriger la musique. Ma chanteuse, dont la voix m’a émerveillée encore hier, va, une nouvelle fois, chanter. Mais avec des paroles pas toujours audibles.
Qu’importe. Aussitôt reconnecté, je repart sur le même tempo qu’elle m’a habitué depuis maintenant presque une vingtaine de minutes. Et, aussitôt sa douce musique me revient aux oreilles.
Plus ma queue va et vient dans sa chatte, plus elle chante. Mais, quelques va et vient plus tard, c’est une terrible envie d’éjaculer qui s’annonce et là.
•Marie, ça arrive !
Dans son demi brouillard elle me répond.
•Non, pas encore. S’il te plaît !
•Mais si, ça monte !
•Retire toi et viens éjaculer dans ma bouche.
Alors, je retire ma queue de sa grotte d’amour détrempée. Elle se met à genoux devant ma queue, l’empoigne et la branle vigoureusement en restant bien bouche ouverte pour recevoir ma semence.
Elle n’a pas beaucoup à attendre. Car, quelques secondes plus tard, je lui expulse au moins quatre jets de sperme dans la bouche et sur tout le visage.
Aussitôt après, je la vois se lécher les babines avec application pour, n’en perdre une seule goutte. Puis, elle me regarde en souriant et me dit.
•Heum Vincent… !
•C’était bon Marie ?
•Ah oui. Je me suis régalée. Ou plutôt, tu m’as régalé… !
•Moi aussi, tu m’as régalé… ! Mais, tu te rends compte que, si tu n’avais pas répété avec ton groupe, l’autre jour, je ne t’aurai jamais rencontrée.
•C’est vrai. Mais bon,… !
•Si tu veux, on pourra encore se voir. Parce que moi, j’ai bien envie de refaire l’amour avec toi.
•Moi aussi Vincent.
•On fait comment pour se retrouver ? Tu me donnes ton numéro… !
•Si tu veux. Mais, encore plus simple, on répète tous les mercredis et samedis après midi. Tu viens à la répète et après, on va faire un petit tour ensemble, comme aujourd’hui.
•Ça, c’est une super idée. Et, on ira chez moi ou à l’hôtel chez mon copain Joseph. Chez lui, nous serons tranquille et en plus, il a un chef qui cuisine comme un Dieu. Après avoir bien fat l’amour, on pourra se régaler le ventre… !
•C’est génial… !
En attendant, la nuit est tombée sur la plage.
•Tu viens ? On va se piquer une tête. L’eau doit être chaude encore.
•Oui Vincent. Mais,on y va nu ?
•Bien sûr… !Il n’y a plus personne, à part les poissons… !
Nous courons jusqu’aux vaguelettes qui vont et viennent sur le rivage et, nous nous jetons ensemble dans cette eau qui doit faire encore, au moins, vingt sept degrés.
Mais, la température de l’eau, le rayon de lune qui scintille et les petites caresses nous embarquent dans un nouvel élan de désir sexuel. Marie Anne retrouve rapidement mon sexe, le remet, tout aussi rapidement, en forme. Moi, je lui caresse ses siens, ses fesses, sa moule et surtout, je titille son clitoris. Ce qui fait que, nous n’avons plus qu’à… Mais avant, nous rejoignons notre cachette
Aussitôt arrivés, elle s’accroche à mon cou. Je la soulève, en la tenant par les cuisses, pour qu’elle puisse s’empaler sur ma queue.
Une fois connectés, elle monte et descend dans un tempo qui va la conduire tout droit vers la jouissance.
Puis, nouveau changement de position. Marie, s’appuie sur le capot de la voiture. Comme ça, je la reprends en levrette et, un bon quart d’heure plus tard, une nouvelle envie d’éjaculer. Mais, cette fois, c’est entre ses fesses que je laisse gicler ma semence.
Quelques secondes après, nous retournons à l’eau, nous tenant par la main dans la nuit noire, pour nettoyer ses fesses et moi, ma queue.
Après quoi, nous échangeons un long baiser d’amour puis.
•Merci Vincent… !
•Pourquoi merci ?On était deux à en avoir envie.
•C’est vrai, tu as raison… ! Vincent, je peux te poser une question ?
•Oui. Je t’écoute.
•Ça sera comme ça, chaque fois ?
•Si tu en as envie, toi aussi, oui. Tu sais, quand on fait l’amour avec un ou une partenaire avec qui on se trouve bien, et bien oui, ça peut être, à chaque fois, comme ça…!
•Si je comprends bien, tu te sens bien avec moi, Vincent… ! Et bien, moi aussi.
•Oui ma belle, je me sent très bien avec toi. Et même, j’ai envie de te dire que j’aimerai bien faire un bon bout de chemin avec toi.
•Pourquoi pas… !On a qu’à essayer et on verra bien.
•D’accord… !Bon, et si on rentrait maintenant ? Il se fait tard.
•Oui, t’as raison. Mais, Vincent, j’ai encore quelque chose à te demander.
•Oui, je t’écoute.
•Est ce que je peux dormir chez toi ?
•Oui, bien sûr !Mais, pourquoi cette question… !
•Parce que j’ai encore envie de faire l’amour avec toi.
•Il n’y a pas de problème.
•Merci Vincent.
Alors, nous nous habillons, reprenons la route en sens inverse et, un peu plus d’une demie heure après, nous arrivons chez moi et pendant la nuit, nous remettrons le couvert deux nouvelles fois.
Quelle belle rencontre !