Petite histoire sympathique qu’un gentil tonton va vivre avec sa nièce. Ce soir, il y aura une petite fête en l’honneur de cette dernière qui fait ses vingt ans. Mais, entre ces deux personnages, il y a l’amour que partagent toutes les personnes d’une même famille. Mais aussi, une attirance physique plutôt partagée, surtout depuis ces deux dernières années. Aujourd’hui, c’est le concours de circonstances qui va les faire franchir ce pas. Et quel pas…!
Comme bien des histoires, celle-là pourrait débuter, aussi, par « il était une fois ». Mais, pour cette fois, je commencerai autrement.
Donc, hier je suis arrivé chez mon frangin Gérard, ma belle sœur Isabelle et leur fille Sabrina, dernière d’une fratrie de trois, dont les deux aînés ont déjà quittés la foyer maternel, pour fêter l’anniversaire de cette dernière. Événement que je ne manquerai sous aucun prétexte.
Ce matin, comme tous les jours de la semaine, Gérard est parti bosser, Isa, elle, vient de sortir pour faire des courses en ville, avertissant sa fille qu’elle en aurait pour au moins deux heures.
Comme, ce soir c’est son anniversaire, je pense qu’elle est sortie pour faire des achats de dernière minute en vue de cette petite fête familiale. Donc nous restons tous les deux, Sabrina et moi, à la maison.
Vers dix heures.
-
Tonton, je vais aller me laver les cheveux. Je peux te laisser un moment… ?
-
Ok ma chérie, pas de soucis… ! Mais si tu as besoin d’un petit coup de main, fais moi signe… !
-
Oui…, pas de problème! Je t’appellerai tonton, je t’appellerai !
En attendant, je m’installe au salon et me met à consulter mes messages sur mon portable. Bref, dix minutes, un quart d’heure passe, toujours pas d’appel de ma nièce. Même si ma proposition était une plaisanterie, j’avais quand même, dans l’esprit, une petite arrière pensée. Ce n’est pas bien grave. J’attends encore un petit moment, puis je m’avise et me décide de venir jeter une oreille derrière la porte de la salle de bains, histoire de savoir ce qu’elle faisait, ou même, si elle était encore là. Pas de bruit. Alors, j’attends quelques secondes, et après avoir toqué.
-
Ma chérie…, tu es là ?
-
Oui tonton… ! Tu peux entrer, c’est pas fermé… !
Alors, puisqu’elle m’y invite, je tourne la poignée et j’entre. Et là…, j’ai les yeux qui tombent parterre. Je m’avance vers elle et, un peu surpris par ce que mes yeux peuvent voir, je me trouve en face d’une véritable bombe.
Bien qu’elle ne soit pas vraiment de face, je peux constater que ma nièce est une nana, qui a été très, très bien gâtée par dame nature. A ce moment là, elle tourne la tête et me dit sans être du tout gênée.
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Tonton, je suis toute nue… ! Ça ne te dérange pas au moins ?
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Pas du tout ma chérie… ! Au contraire même, je trouve ça plutôt sympa… !
-
Ok mon coquin de tonton… ! Je termine, quand même, mon brushing.
Ce que je connaissais d’elle, c’était ses longs cheveux blonds qui lui descendent jusqu’au creux des reins, et son visage magnifique avec ses yeux d’un bleu acier, qui me transpercent à chacun de ses regards. Mais aussi sa bouche sensuelle, au sourire ravageur et ses très belles lèvres charnues, qui me donnent envie d’y déposer de longs et langoureux baisers. Mais pas qui allait suivre.
A ce moment là, elle se retourne vers moi pour me faire face. Alors, j’ai le sang qui ne fait qu’un tour et, mes yeux n’arrivent plus à croire ce qu’ils voient. Mon regard se détourne, aussi sec, de son visage et vient se fixer sur ses deux superbes monts blancs aux larges aréoles et aux tétons arrogants d’un brun pastel, pointant vers le plafond, que je suçoterai bien volontiers.
Étape suivante, je lorgne ses jambes et ses cuisses au contour et au galbe parfait. Enfin, dessert parmi les desserts, mon regard vient se fixer sur sa vulve, au pubis parfaitement lisse. Alors là, c’est le sommet de mes surprises. Car, même si je la connais depuis qu’elle est née, je n’avais jamais eu l’occasion de me retrouver face à face avec elle et d’être à deux doigts de pouvoir lui demander tout ce dont il est permis
Donc, depuis plus cinq minutes que je l’observe entrain de démêler sa magnifique chevelure, et surtout maintenant, qu’elle vient d’offrir à mon regard la totalité de son corps nu de déesse, j’ai tous les sens en émois. Je me sens au top de l’excitation. Et pour finir, je sens monter insensiblement une insidieuse érection, qui dans quelques instants finira bien par se voir et éveillera, certainement, des soupçons chez Sabrina.
Que cela ne tienne. Je m’approche tout près de cette déesse, me colle derrière elle, la prend par les épaules et lui murmure à l’oreille, tout en lorgnant par dessus son épaule.
-
Qu’est ce que tu es belle ma chérie… !
-
Oh tonton…, n’exagère pas stp… !
-
J’exagère pas ma chérie… ! En plus d’être belle, je te trouve très séduisante en tenue d’Eve… !
-
Merci beaucoup tonton… ! Alors comme ça, je te plais… !
-
Oui beaucoup… ! Mais dis moi… ! Là, j’ai vraiment envie de te faire un très gros câlin… !
-
Aaah tonton… ! Un gros câlin… ! Heum… ! Mais, tu sais, je t’attendais… !
-
Et tu m’attendais pourquoi ?
-
Pour le faire, ce gros câlin… ! (rires)
-
Ah, d’accord… ! Et comment tu as deviné ce que je voulais de toi… !
-
Tonton… ! Tu sais, je suis grande maintenant… ! J’ai plus dix ans… ! Ça fait déjà un certain temps que ton regard, sur moi, n’est plus le même.
-
Ah oui, c’est vrai… ! Alors, puisque tu sais ce que j’ai envie…, on va faire l’amour ensemble !
-
Oui tonton… ! C’est ça… ! Tu vas me faire l’amour… ! D’accord ?
-
Oui ma chérie et, avec plaisir.
-
Merci tonton. Tu sais, ça fait déjà un moment que j’en ai envie aussi… ! Mais, au fait… ! Je sens quelque chose de gros entre les fesses… ! (rires)
-
C’est mon sexe ma chérie… ! A te regarder comme ça, pendant tout ce temps, ça m’a excité…, alors je bande… ! Qu’est ce que tu veux, je n’ai pas pu me retenir… !
Maintenant que l’invitation est faite, je lui propose de partager un baiser d’amour. Elle m’offre ses magnifiques lèvres que je dévore comme un mort de faim. Puis, j’embrasse, tour à tour, ses merveilleux lolos que, mes mains vont avoir quelques difficultés à envelopper totalement. Mais que cela ne tienne, le plus important est quand même, que je les cajole, les caresse pour que ses tétons se mettent en érection et, lui donne quelques frissons sympas. Alors, pour accélérer, un peu la chose, je les aspire et les fais rouler entre mes lèvres, tour à tour et là, après ces quelques bons suçons, ses deux petits bouts prennent une forme généreuse. Ce qui lui procurent les premières sensations de bien-être.
Quelques secondes après, Sabrina me chuchote comme ça.
-
Oh tonton… !
-
Qu’est ce qu’il y a ma belle ?
-
J’ai tout plein de frissons qui me parcourent… !
-
Et, c’est bon ?
-
Oui tonton.
Alors, sans laisser de cotés ses deux monts blancs, que je reviens caresser et suçoter régulièrement, je poursuis l’exploration du corps de ma nièce. Ayant tellement d’autres choses à découvrir encore chez cette petite bombe. Mes mains se promènent un peu partout au hasard. La première vient se balader du coté de sa croupe à la rencontre de ses fesses, et l’autre vient caresser le bas de son ventre à la rencontre de son pubis et de sa fine fente déjà bien tempérée. Puis, insensiblement, mon majeur vient se faufiler entre ses lèvres chaudes et rejoint en premier son bouton d’amour, que je commence à titiller puis, l’entrée de son vagin déjà bien mouillé. Quelques caresses bien appliquées et là, ma belle Sabrina se met à soupirer fortement puis, à se tortiller en se mordillant les lèvres. Ce qui m’alerte sur son état d’excitation.
Ma petite chérie est vraiment à point, chaud bouillant.
Alors.
-
Sabrina, si nous allions dans ma chambre ? Ce serait peut être plus confortable… !
-
Tu crois que c’est mieux ?
-
Bien sûr. On sera plus à l’aise… !
-
D’accord… !
Alors, nous quittons la salle de bains précipitamment. Pour rejoindre ma chambre, nous n’avons qu’à traverser le couloir. Sitôt après, avoir pris soin de fermer la porte à clef, nous nous jetons sur le lit.
D’emblée, Sabrina dégrafe mon short, le fait glisser jusqu’au sol. Au passage, ma verge dressée à dix heure moins dix, lui saute à la figure. A ce moment là, elle me jette un regard de surprise ou d’envie. Ça, je ne sais pas. Puis me lance en souriant.
-
Oh tonton… !
-
Qu’est ce qu’il t’arrive ma chérie ?
-
Heum… ! Je savais pas que tu avais un aussi beau…
-
Sexe… !
-
Oui tonton. Ça me donne, encore, plus envie de…
-
Le sucer, ma chérie ?
-
Oui tonton… !
-
Alors, ne te gène pas…, il est pour toi… !
Alors, elle empoigne l’objet de ses désirs, commence à le masturber et ensuite, entreprend une fellation que, je qualifierai de phénoménale.
Mais, pour ne pas être en reste, quelques minutes plus tard, je m’allonge sur le lit et je l’invite à m’offrir sa chatte pour que je lui lèche en même temps qu’elle me suce. Donc, nous voilà partis pour partager un savoureux 69, que nous allons faire durer presque plus longtemps qu’il ne faut.
Et, c’est pratiquement au bord de la jouissance, que je lui demande faire une petite pose, afin de faire redescendre un peu la pression. Alors, elle relâche ma queue et vient s’allonger à coté de moi puis, en souriant une nouvelle fois, elle me dit.
-
Tonton… ! Qu’est ce que tu m’as fait jouir… ! c’était vachement bon, tu sais… !
-
Oui, je m’en suis douté un peu… ! J’ai bien senti que tu prenais ton pied. Mais, laisse moi te dire que tu suces divinement bien… ! T’as même failli me faire gicler. C’est pour ça que je t’ai demandé d’arrêter un moment.
-
Excuse moi tonton. C’était tellement bon… ! Mais, ça va maintenant ?
-
Oui ma chérie… ! Aller, si tu veux, on y retourne. Tiens…, mets toi à quatre pattes sur le bord du lit… !
Elle se tourne vers moi, attrape ma queue, me la suce et la masturbe un peu, car elle ne peut s’en passer. C’est trop bon. Une fois en position, je lui lèche copieusement sa chatte. Je reprends, en main, mon mandrin et, lui pénètre lentement sa moule détrempée jusqu’au fond et, active immédiatement le premier va et vient.
Et là.
-
Heum, qu’est ce c’est bon tonton… ! Vas y comme ça… ! J’adore… ! Comme ça, tonton, tu vas me faire grimper aux rideaux… !
-
Ma chérie, pour ça, tu vas y grimper aux rideaux. Tu vas pas être déçue… !
-
Oh oui…, comme ça, je sens que ça vient… ! C’est bon tonton… !
Dans les dix secondes qui suivent, ma belle petite chérie s’envole dans un tourbillon de grande satisfaction accompagné de soupirs et autres gémissements. Et d’une voix saccadée, elle accompagne mes coups de boutoirs avec des aaah… ! oooh… ! encore tonton…, encore… !
De mon coté, je prends, aussi, un plaisir immense à la faire jouir en lui limant sa moule encore un peu serrée. D’autant que cette position de levrette, que j’affectionne particulièrement, est spécialement jouissive pour les deux partenaires. Mais, cette levrette que, nous avons déjà commencé depuis plus d’un gros quart d’heure, nous emmène tous les deux à bout du chemin et, tout droit à la délivrance.
Quelques instants avant d’éjaculer…
-
Ma chérie, j’arrive au bout du voyage. Je vais bientôt gicler… !
-
C’est pas grave tonton… ! Tu peux… !
-
Je te gicle dans la chatte ?
-
Oui tonton…, y a pas de problème. C’est encore meilleur… !
Alors, encore quelques vas et viens, puis je sens monter dans ma verge, comme arrive un cheval au galop, une monumentale giclée de sperme que je lui crache dans sa moule avec bonheur et ivresse.
Puis dans un cri de satisfaction.
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Wahoo tonton… ! Je crois que c’est le plus beau cadeau, que j’aurai eu pour mon anniversaire… ! Et celui là, je vais pas l’oublier, comme ça… !
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Mais toi aussi, ma chérie. Tu viens de me faire un cadeau magnifique. J’oublierai jamais ce moment que, nous venons de partager ensemble et que nous allons garder secret, toi et moi.
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Bien sûr tonton. J’ai pas envie que mes parents l’apprennent. Parce que, ça serait chaud bouillant à la maison… !
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T’as raison ma chérie. Bon, maintenant qu’on s’est bien donné et que nous avons pris beaucoup de plaisir, on va peut être faire un brin de toilette et nous habiller, que si des fois, ta mère venait à rentrer… ! (rires)
-
t’as raison tonton. Aller, je vais me laver le minou… !
-
Je t’accompagne. Moi, je vais faire la toilette à Popol… !
Alors, après ce détour par la salle bains, nous nous retrouvons au salon assis sur le canapé en partageant un bon petit verre, en prélude à la fête de ce soir, pour ses vingt ans.
Histoire de Zizoulabellequeue