La photo 2

Je suis allé voir sur le blog dont Marie m’avait parlé. Effectivement le dernier post c’était moi tout nu dans le jardin. Je venais tout juste de me branler pendant au moins une heure devant internet. C’était une de ces grandes masturbations que l’on fait quand on sait qu’on a du temps.

Mes parents sont à New-York pour une semaine pour voir la sœur de mon père. Et après je suis sorti à poil dans notre jardin pour prendre le soleil, d’habitude je fais pas ça mais là j’ai eu envie de tester la bronzette tout nu. Quelqu’un m’observait on dirait. En plus ce blog est assez populaire. Tout ça s’est fait en deux heures environs. La photo a du être prise entre 15h et 15h45, elle a été postée vers 16h15 et Marie est arrivée à 17h. Ça veut dire que cette personne habite dans le quartier. Elle doit être dans mon lycée et visiblement c’est quelqu’un qui ne m’aime pas trop. Enfin moi je l’aime bien du coup, elle m’a permis de baiser pour la première fois. En parlant de baiser j’ai déjà envie de le refaire avec Marie.
Je me prépare rapido et sors en face, sonne à sa porte le cœur battant et si j’avais rêvé. Elle m’ouvre.
– J’ai re-envie, tu es toute seule ? Emilie est toujours à l’équitation ?
– Je sens que tu vas me plaire toi, allez rentre. J’ai à peine eu le temps de prendre ma douche, enfin au moins j’ai la chatte toute propre.

Marie est en peignoir, elle se laisse tomber sur le canapé, ouvre son habit, écarte les jambes tout en les remontants. Je vois sa chatte bien clairement ainsi que son trou du cul, une vraie position de photo porno.
– Allez séance de léchage. Tu me lèches le cul la chatte en retour.

Je me mets à genoux et commence à lécher comme un fou son trou du cul. C’est ce que je préfère les culs, je peux pas m’en empêcher, la transgression sans doute, cliché, mais trop bon. Je lui enfonce tellement ma langue que mon nez se trouve entre ses grandes lèvres vaginales. Du coup ça me rappelle à l’ordre, j’arrive sur sa chatte. Elle est bien mouillée. Je vais de grand aller et retour : clitoris, lèvres, anus. Parfois Marie plaque ma tête de ses petites mains sur un endroit où elle veut que je m’attarde.
– Vas-y mon chien fou, mon petit chiot du cul, lèche la chatte de maman, c’est ça sur le cul aussi, là oui comme ça… t’aimerais bien faire ça à Emilie, hein, mon petit cochon… t’aimerais bien lui lécher le cul. Tu crois qu’elle t’a jamais vu te branler dans les toilettes ici… Ça l’excite bien… Elle m’a raconté… Elle était toute mouillée…
Ses paroles m’excitent à mort. Du coup je me relève et la pénètre avec force, en missionnaire, cinq minutes de ce régime et nous migrons vers le bar plus pratique pour les levrettes. Là je la bourre à fond. Mes couilles claquent contre son cul. D’ailleurs si je sors de sa chatte c’est pour aller à la rencontre de son anus qui est vraiment très élargi, elle a du se faire prendre plus d’une fois par le cul la Marie.

Tout à coup on entend les clés dans la porte. Et voilà Emilie sur le palier. Merde. Je suis un peu en retrait ce qui fait qu’il n’y que le buste de Marie qui est visible de l’entrée.
– Salut maman, ça va. Qu’est que tu fais en peignoir ?
– Oh je bouquine, j’ai pris une douche et j’ai oublié de me changer.

Il faut imaginer la scène : Emilie est à l’entrée du salon, Marie est accoudée au bar et effectivement un magazine est posé devant elle, coup de chance et moi je suis à l’arrêt, ma bite enfoncée jusqu’à la garde dans le cul de la mère de ma meilleur amie. Marie d’ailleurs n’a pas l’air d’être ennuyée par la situation parce qu’elle continue à faire des va-et-vient tout en douceur. Échauffé par ses petits mouvements, je reprends les miens mais tout doucement et tenant fermement Marie par les hanches.
La situation est vraiment excitante, j’imagine que c’est Emilie dont je suis en train de bourrer le cul.
Marie et Emilie discutent, Emilie est en train de ranger ses affaires dans le placard de l’entrée.
– Tiens tu sais qu’il y a une photo de Romain tout nu sur internet. Il a une sacrée belle queue.
– Ah bon ? Non ? Sérieux ? Mais qui l’a mise en ligne, sur quel site tu dis ? J’te crois pas !

Au son je dirais qu’Emilie est assise dans le canapé où j’ai léché sa mère il y pas dix minutes.
– Ah ouais, mais putain qui tient ce blog, y’a tous les ragots du lycée. Je suis sûre que c’est une pute mal baisée du quartier. Putain c’est vrai qu’elle est grosse sa queue. Mais bon quand je l’ai vu se branler hier elle était carrément énorme. S’il savait le pauvre que je le regarde par le trou dans le mur à chaque fois qu’il se touche. Ça me fait bien mouiller quand-même. Tu crois que je devrais le choisir pour ma première fois. Il a quand même une belle queue. Bon tu ne dis rien ? Tu te touches ou quoi ? Je croyais qu’on avait dit pas dans le salon. Dès qu’on parle d’une grosse queue tu peux pas t’en empêcher. Bon je monte dans ma chambre l’équitation m’a crevée.

J’étais halluciné par ce que je venais d’entendre et surtout qu’elle ne m’ait pas vu. Mère et fille parlent cul à fond entre elles. Ça m’avait encore plus excité son petit monologue. De l’entendre parler de ma bite alors que celle-ci est justement enfoncée dans le cul de sa mère. A peine eut-elle quitté le salon que je laminais ce cul qui recommençait à se tortiller devant moi. Je donnais des coups de toutes mes forces et Marie, pour ne pas crier, serrait dans les dents un torchon de cuisine. J’allais et venais dans ce cul avec une grande facilité. Dans les pornos que j’avais vu souvent la queue ne rentrait qu’à moitié. Là toute ma queue était engloutie. Marie devait vraiment s’être fait défoncer le cul souvent. Cette pensée me traversa l’esprit quand je déchargeais tout mon sperme dans son fion.

Cinq minutes plus tard j’étais chez moi, tout étourdi par ces nouveautés et ces informations. Du coup pour ne pas trop penser, j’allais m’abrutir devant la télé. Je finis quand-même par me branler avant de m’endormir en repensant à Emilie.

Proposée par samosexe

1 réflexion sur « La photo 2 »

  1. Comme le premier chapitre, c’est court, l’acte bref, mais toujours excitant c’est vrai. Par contre, la discussion entre la mère et la fille, qui en soi est une bonne idée même si elle n’est pas très originale, aurait dû être rapportée en discours indirecte, tout en continuant à nous d’écrire le coït. Là ça donne quelques lignes qui « brisent » le récit. Je parle bien de l’échange mère-fille ; les obscénités que profèrent la mère pendant quelle se fait baiser sont très bien. Mais la discussion devrait être comme résumée, rapportée, par Romain pendant qu’il nique. Cette discussion je veux bien la voir en début ou en fin, mais en plein milieu, comme ça, sous forme de dialogues, c’est une mauvaise idée. Bref, mon avis. Je lis la suite en attendant.

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