Mont Ventoux

Je l’avais croisée à plusieurs reprises en allant acheter un sandwich sur le temps de midi…

J’avoue que que ce n’était pas vraiment un hasard si c’était dans cette sandwicherie, qui n’était pas la plus proche de mon bureau, que je me rendais quand j’en avais l’occasion. Je savais qu’elle travaillait dans les environs et j’espérais l’y croiser…
Je l’avais aperçue pour la première fois en sortant justement du bâtiment où elle travaille. Je devais y déposer des papiers et j’ai compris, en l’entendant rire avec ses collègues, qu’elle y bossait. Elle n’avait pas fait attention à moi, même pas un regard. Par contre, j’ai tout de suite été attiré par ce qui se dégageait d’elle. Son rire, son visage… ses cheveux châtains ondulés attachés par un bandeau qui lui donnaient un côté très sexy…
De nature assez timide, je me demandais comment je pourrais faire pour l’aborder et lui faire comprendre mon émoi…
L’occasion se présenta un jour de pluie. Il pleuvait des cordes et je me rendais à la sandwicherie en me demandant si elle aurait bravé la météo infecte pour acheter son sandwich, plutôt que de le commander. C’est donc assez résigné que je m’y rendais. Et pourtant, au moment où je sortais de ma voiture (que j’avais réussi à garer juste en face de la sandwicherie) , je la vois courir pour s’engouffrer sous le porche du bâtiment, me brûlant la priorité.
Les cheveux trempés, elle me regarde et me dit: « désolé, je ne voulais pas vous griller la place, mais mon parapluie s’est retourné et j’ai bondi avant d’être totalement trempée ».
Un peu décontenancé je lui réponds « Aucun problème, je vous aurais de toute façon laissée passer, je m’en serais voulu que vous preniez froid »… Réponse à la con j’en conviens…
Mais elle me sourit en me disant sans gêne « J’ai un tempérament bouillant donc je ne risque pas d’avoir froid, mais merci pour la galanterie, j’apprécie », dans un éclat de rire…
Entrés à l’intérieur du bâtiment, je cherchais désespérément une façon de poursuivre cette conversation qui avait eu le chic de m’émoustiller totalement, et surtout de renforcer encore mon envie de pouvoir faire plus ample connaissance avec cette femme qui ne me laissait définitivement pas indifférent…
Mais panne d’inspiration…
Je la suivais dans la file en l’observant du coin de l’œil. Elle portait un imper beige, une robe que je devinais assez moulante, malgré son imper qui cachait ses fesses, et des bottes foncées.
Profitant de l’entrée de nouveaux clients, je me rapprochai d’elle, sentant son délicieux parfum. Je mourrais d’envie de me rapprocher encore d’elle… Quand soudainement elle enleva son imper! D’un geste ample, en ôtant son bras de la manche, elle se recula contre moi, posant ses fesses contre ma queue qui n’en demandait pas tant…
Elle resta ainsi quelques secondes, sans que je ne puisse dire un mot. Puis se retourna en me disant « oups, désolé… je vous avais dit que j’étais bouillante ».
« Et trempée » ajoutais-je… Elle me sourit en me disant « Si vous saviez »..
La vendeuse lui demanda ce qu’elle souhaitait. « Un mont Ventoux », répondit-elle sans hésitation. « Et pour vous? », enchaîna la vendeuse en me regardant. « La même chose », répondis-je, sans même savoir sa composition. L’essentiel n’était pas là…
Elle me regarda en disant «  Monsieur a bon goût ». Ce à quoi je répondis instinctivement « Si vous saviez… ». Sourires complices…
Bien qu’ayant pris nos commandes en même temps, ma belle tentatrice fut servie en premier et régla avant moi. Elle me salua et sortit, tandis que j’attendais de pouvoir régler. Je voulais vite payer pour tenter de la rejoindre et au moins pouvoir lui parler encore un peu…
Je déposai un billet en laissant un pourboire et sortir en trombe… bousculant la belle qui enfilait son imper sous le porche. « Vous êtes pressés? » me dit-elle.
« Heu, oui, enfin non ».
« Vous me ramenez au bureau en voiture, il pleut encore. C’est tout près ».
« Avec plaisir », lui répondis-je.
Entrée dans la voiture, elle ôta encore son imper, dévoilant un décolleté impressionnant. Je n’avais pas remarqué à quel point sa poitrine était imposante, attisant tous mes sens…
« Vous me guidez? », lui dis-je, essayant de masquer mon trouble.
M’attendant à devoir tourner à gauche pour aller vers son bureau, dont je connaissais évidemment l’adresse, je fus surpris qu’elle me dise de continuer tout droit…
Roulant depuis quelques minutes, elle me dit « Un peu plus loin, il y a un endroit où vous pouvez vous garer ». Nous étions à l’oree d’un bois et j’apercevais un petit sentier caché entre les arbres. « Ici ? » lui demandais-je. « Oui, c’est un endroit tranquille et j’ai très envie de vous goûter ».
Mon cœur battait la chamade et je sentais ma queue tendue dans mon jeans ».
A peine le moteur arrêté, elle dégrafa ma braguette et sortit ma queue toute gonflée de désir qu’elle engouffra dans sa bouche. Je sentais mon gland tout gonflé, déjà prêt à exploser. Elle le suçait délicieusement, gémissant de plaisir et me conduisant au 7eme ciel. Elle se pencha pour me laisser lui caresser les fesses en remontant sa robe. J’écartai son string pour glisser mes doigts entre ses fesses, titillant son petit trou serré, essayant de me faufiler jusqu’à sa chatte que j’imaginais brûlante et trempée…
Et en effet.. parvenu à glisser ma main sur sa chatte, je sentis son jus chaud imprégner mes doigts que je ne résistais pas à lécher pour la goûter moi aussi…
Je n’en pouvais plus, et quelques coups de langues plus tard, mon gland explosa de plaisir, jaillissant par jets puissants sur sa langue…
Elle avala tout mon sperme en me regardant dans les yeux, et me disant « Vous avez en effet bon goût, je confirme… mangeons notre sandwich puis continuons un peu à faire connaissance… »

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