En cette fin d’après midi de printemps, sur les bords de l’océan, Martine, la fille de la femme du frangin de ma compagne et moi, nous sommes étendus côte à côte, sur une natte sous les cocotiers, en attendant le coucher du soleil, après une baignade.
Elle a posé sa tête sur mon épaule. Je sent son souffle sur mon cou. C’est très agréable. Ça me donne même une envie de câlin. Alors, j’approche ma main et lui caresse les cheveux puis, je m’approche de son oreille et lui dis tout doucement.
Tu sais ma chérie… ! Tu es vraiment belle.
Merci tonton.
Pour dire qu’elle est vraiment belle. Martine est une jeune fille métisse au teint clair, dont les courbes ont tendances à m’affoler le compteur. Chaque fois que je me trouve avec elle, je n’ai qu’une envie la caresser et la couvrir de baisers. Mais, c’est pratiquement chose impossible. Car nous n’avons jamais pu nous retrouver tous les deux un seul instant. Mais aujourd’hui, je pense que c’est mon jour de chance. Nous nous sommes échappés de la maison en prétextant que nous allions nous promener au bord de la plage et prendre un bain. Ce qui n’est pas totalement faux. Car c’est que nous venons de faire.
Alors, elle me regarde et me réplique.
Mais, tonton… ! Pourquoi tu me dis ça ?
Parce que c’est la vérité. Tu es très belle ma chérie… !
Il y a beaucoup d’autres filles qui, sont belles et même, bien plus belles que moi.
Peut être… ! Mais toi, c’est pas pareil.
Pourquoi ?
Parce que tu es douce en plus d’être très mignonne. Regarde… ! Tu as un visage d’ange, des yeux et une bouche magnifiques.
Peut être tonton… ! Mais, je dois pas être la seule ?
Peut être. Et, c’est pas tout. Tu as une poitrine insolente, qui me donne le tournis. Je donnerai, je ne sais pas quoi, pour la caresser.
Oh tonton… ! Je crois que tu exagères un peu là… !
Non ma chérie. Pas du tout. Tu me laisserais te caresser tes jolis lolos ?
Elle me regarde dans les yeux, réfléchit trois secondes et.
Si ça peut te faire plaisir… !
A mon tour de fixer son regard et avec un petit sourire.
Alors, je peux ?
Oui tonton. Je vois que tu en as tellement envie.
Merci ma chérie.
Alors, je m’assoie auprès d’elle, délasse la lanière de son maillot, la fais glisser au dessous de ses seins et sans plus attendre, je pose ma main dessus et les pelote tour à tour. Ils sont fermes et surtout très volumineux. C’est quelque chose que j’apprécie encore plus. Puis, je fais rouler ses tétons entre mes doigts avant de les suçoter l’un après l’autre. Et là, ils se redressent, comme deux missiles et, Martine me chuchote.
Oh tonton… ! Heum c’est bon ça…, ça me donne des frissons.
Et, c’est bon ma chérie… !
Oui tonton.
Ça te plaît ?
Oui beaucoup… !
Alors, je continue de les lui titiller d’une main. Tandis que l’autre vient à tâtons lui caresser le ventre puis, les jambes en revenant lentement vers le haut de ses cuisses et son pubis. Je passe mes doigts, plusieurs fois, sur son pubis avant de redescendre vers sa fente par dessus le maillot.
Après ces quelques aller retour, Martine commence à gigoter et à soupirer puis.
Tonton… ! Elles sont agréables tes caresses.
Alors, ma main qui, effleurait sa petite fente, juste par dessus le tissu, revient lentement et passe en dessous le tissu. Et cette fois, elle vient à la rencontre de sa petite fente qui est bien chaude et bien humide.
Aussitôt, mon majeur se faufile entre ses lèvres pour atteindre son bouton d’amour. Je commence à lui titiller et là, après quelques caresses, ma nièce se met à gigoter de plus belle et me dit d’une voix haletante.
Oh tonton… ! C’est encore meilleur que quand je me le fait.
Pourquoi, tu te masturbes ?
Je la regarde et je vois ses pommettes s’empourprer avant de me répondre.
Oui tonton.
Et, tu te le fais souvent ?
Oui tonton…, presque tous les jours.
Mais, tu es une petite cochonne alors ?
Oui tonton. Et, je vais te dire. j’aime ça !
T’as raison. Il faut se faire plaisir… ! Et, une question. La banane rose… ! Tu y as déjà goutté ?
Non tonton.
Et, ça te dirait d’y goûter ?
Là maintenant ?
Pourquoi pas… !
Là, sur la plage… ! Je sais pas. Tu te rends compte, si quelqu’un nous voit ?
Tu sais ma chérie, la nuit est en train de tomber. Dans un quart d’heure, il fera nuit noire. On risque pas grand chose. Qu’est ce que tu en penses ?
Ben…, tu as raison tonton. On va attendre encore un peu qu’il fasse nuit.
Mais, tout en parlant, j’ai, quand même, continué à lui masturber sa chatte et ses seins. Ce qui m’a donné une belle érection que mon maillot ne peut plus cacher.
A ce moment là, Martine lève la tête et en voyant la bosse, approche sa main et empoigne ma queue. Quelque peu surprise elle me lance.
Wahoo tonton… !
Qu’est ce qu’il y a ma chérie ?
Il est bien gros ton sexe… !
Pourquoi… ça te fait peur ?
Un peu tonton.
T’inquiètes pas. Ça se passera bien. Tu verras. Ton oncle n’est pas un sauvage. Mais pourquoi tu as peur ?
Je suis vierge tonton… !
Ah ok… ! Alors, pour te rassurer. Je ferai tout doucement. Mais tu sais, lorsque ton hymen va se déchirer, tu auras, certainement, un peu mal. Mais après, tu verras que c’est le bonheur.
Vrai tonton ?
Oui ma chérie. Crois moi… !
Bon, je te fais confiance.
La nuit est maintenant bien là. La pleine lune se miroite sur l’eau et, entre les branches des cocotiers, nous éclaire juste comme il faut. La plage est, à présent, totalement déserte et, le ressac des vagues fait une douce musique qui nous berce. Alors, avec une telle ambiance, nous allons pouvoir nous laisser aller dans ce prodigieux moment d’amour.
Depuis le temps que je lui masturbe sa moule, elle est déjà bien baveuse et maintenant, je sent ma nièce dans de très bonnes dispositions. Alors, je lui ôte le bas de son maillot puis, elle ouvre largement ses jambes. Puis, je me mets à genoux devant elle et approche ma bouche de sa grotte d’amour. J’écarte ses lèvres avec deux doigts et plonge ma langue à l’intérieur. Je lèche et suçote son clitoris longuement. Là, Martine est aux anges. Elle soupire et gigote dans tous les sens tout en se pelotant les seins.
Je relâche un peu mes caresses et lui chuchote.
Comment ça va ma chérie ?
Un peu émoustillée, elle me répond tout de même.
Oh…, très bien tonton. C’est bon ce que tu me fais, tu sais !
Et, est ce que tu te sent prête ?
Là, oui tonton. J’en ai envie maintenant.
Alors, puisque nous sommes dans la bonne position pour ça, je prends en main mon sexe et le fais naviguer entre ses lèvres en insistant au passage sur son clitoris. Je répète cette manœuvre plusieurs fois, afin de l’habituer à la présence de cet organe, qui pour elle est monstrueux, même s’il est désiré.
Malgré ça Martine a l’air d’être ravie. Elle soupire et gémit même de temps en temps.
Ça va toujours ma chérie ?
Oui tonton… ! C’est bien comme ça.
Alors, tu es prête maintenant ?
Oui tonton.
Puisque le moment est arrivé, je répète mon petit manège une ou deux fois puis, je présente ma queue à son hymen. Petites caresses du bout du gland et là, Martine sursaute un peu.
Doucement tonton.
Je t’ai pas touché. C’est juste une caresse… !
Oui je sais. C’est pas ça… ! Mais tu sais, ça fait tout drôle. C’est la première fois.
Bon… ! Alors, je vais te caresser, comme ça, ta petite grotte avec mon sexe et quand tu l’auras accepté, alors je te déviergerai.
D’accord tonton. Tu fais doucement quand même… !
Alors, phase deux, je reprends mes allée venue entre les lèvres de sa chatte. A force, ma nièce accepte ces caresses. Ça commence même à la faire jouir. A la voir faire et à l’entendre, ça me donne encore bien plus envie de la baiser.
Une minute après.
Comme ça, ça va ma chérie ?
Oui tonton, ça va bien. Si tu veux, tu peux ré-essayer… !
Puisque, j’y suis invité, je représente ma queue face à ce fragile rideau proteceur. Cette fois, Martine a l’air de beaucoup mieux accepter la présence de mon gros joujou. Ni une, ni deux, je prends le risque. Je pousse d’un coup sec. Mon pénis lui déchire son hymen sans même une douleur. Et, mon gland se retrouve bien engagé à l’intérieur de sa grotte d’amour. Là, Martine pousse un énorme soupir puis me lance.
Ouah tonton… !
Moi, satisfait de la chose accomplie sans douleur.
C’est bon ma chérie ?
Oui tonton, c’est bon. Mais tu m’as bien dit que j’allais avoir mal ?
Ben normalement oui.
Alors maintenant, puisque son dépucelage c’est merveilleusement bien passé, il ne nous reste plus qu’à prendre un maximum de plaisir. Aussitôt, je commence à aller et venir dans ce fourreau encore un peu étriqué, où la chaleur y est très agréable et, terriblement bien lubrifié.
Après quelques va et vient, Martine se remet à soupirer fortement et jouit de plus en plus, me lançant ces petits mots sympas « heum, c’est bon ou oui tonton » qui sont le résultat de l’excitation du moment et qui me donnent encore plus d’entrain.
Pour ma part, je suis satisfait. Car, lorsque que sous sommes partis, tout à l’heure, pour cette petite balade, j’étais loin de penser que les choses allaient se dérouler comme ça. C’est vrai, que depuis un bon moment, j’avais très envie de coucher avec cette petite bombe. Mais, jusqu’à aujourd’hui, ça n’avait pas pu se faire.
Bref, je continue à lui ajuster, en missionnaire, sa chatte désormais en fusion.
Quelques instants plus tard, je l’invite à se mettre à quatre pattes pour lui faire découvrir la levrette.
Aussitôt proposée, aussitôt admise. Ma petite nièce m’offre ses jolies fesses. Car, elle a aussi une bien belle paire de fesses. Je viens me mettre à genoux entre ses genoux et sans plus attendre, je lui replante ma verge entre ses parois vaginales et, me remet instantanément à aller et venir avec beaucoup d’intensité. Dans la foulée, Martine se remet à gémir et à me relancer.
Oh tonton, c’est bon… ! Vas y… ! heum… ! Encore, encore… !
Là, je la sent vraiment au top. Alors, je lui lime sa chatte comme un mort de faim. Et, je vais la faire jouir comme ça jusqu’à la dernière seconde, au dernier va et vient.
Et celui-ci, ne tarde pas à arriver. Car, ça doit bien faire un quart d’heure à vingt minutes que ma queue va et vient dans sa chatte totalement détrempée par son jus de femme.
Je n’ai à peine le temps de me retirer, que je lui crache sur le sommet de sa raie, quatre saccades de mon jus d’homme, qui aussitôt lui dégouline sur son trou du cul.
Après avoir déposé un baiser sur sa bouche.
Comment ça va ma chérie ?
Oh très bien tonton… !
Ça t’a plu ?
Beaucoup, beaucoup. Et toi ?
Moi aussi ma belle. Tu sais, ça fait un bout de temps que j’attendais ce moment.
Et, tu vois, ce soir c’est arrivé. Ça te fait plaisir ?
Oui ma chérie.
Après cet échange, nous nous levons et en courant, nous allons nous jeter dans l’eau. Puis, après quelques brasses, nous nous enlaçons, nous nous caressons encore une fois et échangeons un très très long baiser avant, de rentrer à la maison.