Marianne 1

Depuis une semaine et demie, Marianne, une des nièces de ma compagne est en vacances chez nous, dans notre petit village sur les bords de l’océan Indien et, elle et moi, nous nous sommes rapprochés au point que nous partageons une maligne complicité jusque dans nos rapports familiers, et encore plus depuis ces deux derniers jours, que nous sommes tous les deux à la maison, sa tatie s’étant absentée pour un congrès qui se déroule à la capitale.

Pas plus tard que cette nuit, vers deux heures du matin, je suis réveillé par une forte envie de boire. Car, en ce moment, les nuits sont très très chaudes. Mais, je me suis, aussi, réveillé avec une érection monumentale. C’est une chose relativement fréquente chez moi, même avec mes soixante dix balais. Que cela ne tienne, je me lève et je viens à la cuisine, avec mon sexe à dix heure moins dix, pour me servir un grand verre d’eau fraîche.

Je prends une bouteille d’eau et lorsque je me retourne, après avoir refermé le frigo, qui se trouve là, juste à coté de moi, tout aussi nue que moi, à contempler, en souriant, ma queue raide comme un manche de pioche, ma nièce Marianne qui, soit dit en passant, est, une sirène au physique absolument délicieux pour son age. Elle est mince et un tout petit peu plus grande que moi, environ un mètre soixante cinq, avec des mensurations qui ont tendances à m’affoler le compte tour. A plusieurs reprises, nous sommes allés à la plage et en maillot, rien ne se cache vraiment. Déjà là, j’avais constaté qu’elle avait une très belle paires de seins, tout comme une superbe paire de fesses. Et même, qu’un jour, j’ai eu, l’audace de lui demander carrément.

Avec un tour de poitrine d’environ quatre vingt centimètres, un tour de taille d’à peu près soixante dix centimètres et un tour de hanche de quatre vingt dix. Ça fait d’elle une nana au mensurations parfaites. Et en plus avec deux bonnets D, ma nièce est, là, une véritable bombe sexuelle. Ce qui n’est pas pour me déplaire bien sûr, le rêve quoi… !

Bref, bien qu’un peu surpris par sa présence, et qu’en plus elle me lance comme ça, en écarquillant ses grands et magnifiques yeux noirs.

Wahoo, tonton… !

Je la regarde et lui répond.

Qu’est ce qu’il y a ma belle ?
Dis donc, tu as une belle érection là… !

Elle cligne ses yeux deux ou trois fois en me souriant.

Heum, ça me fait bien envie. Je peux faire quelque chose pour toi, peut être !

Là, je suis plus que surpris. Il faut dire, que d’une, je ne m’attendais pas à la voir à mes côtés et de deux, encore moins, entendre la proposition qu’elle me fait.

Alors.

Et bien, pour une surprise… !
C’est une bonne ou une mauvaise surprise, tonton ?

Et là, je lui réponds du tac au tac.

Ça dépend pour lequel des deux… ! Qu’est ce que t’en penses ?
Pour moi, ça serait plutôt une bonne surprise, et toi tonton ?
Si je te dis non, tu vas penser que je suis un menteur et tu auras raison. Alors oui… ! Puisque tu as l’air d’en avoir très envie, viens.
Merci tonton !

Tan-pis pour le verre d’eau fraîche. Je pose ma bouteille sur la table. Elle s’approche de moi, se met à genoux, s’empare délicatement de ma queue, comme si elle prenait un objet fragile de grande valeur, la regarde avec encore plus d’insistance puis, se met à la masturber délicatement et l’enfourne quelques secondes plus tard entre ses lèvres pour me faire une longue et extraordinaire fellation.

Quelques instants après.

Oh ma chérie, qu’est ce c’est bon ! Tu as une bouche magique, tu sais !. Qu’est ce que tu suces bien… ! Mais dis donc, j’aimerai bien goûter un peu à ta moule aussi. C’est possible ?

Elle relâche ma queue et.

Si tu veux tonton. J’en ai bien envie aussi !
Aller viens, on va dans la chambre.

Aussitôt entrés, je m’allonge sur le lit. Elle vient se mettre à califourchon, offrant ainsi à ma bouche gourmande, sa magnifique moule. Sitôt en position, je lui écarte ses grandes lèvres et plonge aussitôt ma langue à l’intérieur qui, quelques instants plus tard retrouve son clitoris, que je dévore comme un chien affamé, tellement il est délicieux. De son côté, sans plus attendre, elle reprend ma queue, la masturbe, à nouveau et la suce goulûment. Quelques secondes plus tard, elle se met à gigoter et à soupirer fortement, tout en continuant de me sucer.

Voyant qu’elle est, à présent, au top, je l’invite à passer à la partie suivante. Et là, c’est elle qui prend les devants.

Tonton, j’ai envie de sentir ton sexe dans ma chatte.

Alors, elle se relève aussitôt, s’allonge à coté de moi sur le lit, écarte au maximum ses cuisses et, tout en masturbant son clito, me dit.

Viens tonton…, viens vite me baiser. J’ai trop envie maintenant… !

Vu comme ça, je ne peux pas lui refuser l’invitation qu’elle vient de me lancer. Alors, je la rejoins, me met à genoux devant elle, prend ma queue dans la main et lui plante sans attendre entre ses lèvres, jusqu’à la garde tellement sa chatte est débordante de sa mouille. Et là.

Heummmm tonton… !
C’est bon ma belle ?
Ah oui…, c’est bon tonton ! Vas y maintenant… ! Tu sais, j’en avais tellement envie, qu’il me fait du bien ton sexe… !

Sans même lui répondre. Je mets, immédiatement, en route la machine à plaisir. Mais pour débuter. notre petit jeu, je vais et je viens très lentement entre ses parois vaginales inondées de cyprine et, où la température y est formidablement élevée et agréable. Et voilà, qu’après seulement quelques va et vient, ma nièce se met à soupirer, ce qui est un premier signe sur la jouissance dans laquelle elle est entrée. Alors, les petits va et vient sympas s’accélèrent petit à petit et là, ma belle Marianne se met soudain à gémir puis, à pousser de petits heum…, et autres aaah de satisfaction. Et, plus je lui lime sa moule en fusion, plus elle soupire, gémit et chantonne de bon cœur.

Quelques minutes plus tard.

Dis moi ma chérie, tu veux bien te mettre à quatre pattes ? J’ai envie de te prendre en levrette.

Encore emportée par sa jouissance, elle me marmonne.

Oui tonton… !

Alors, je me retire de sa grotte en feu. Elle se met en position, offrant à ma queue ses sublimes fesses, son magnifique trou du cul, que rien qu’en le regardant, j’ai bien envie de lui ovaliser et sa moule dégoulinante de son jus de femme.

Alors, sans plus attendre, je reprends ma queue en main, lui replante dans sa moule et dès le premier va et vient, elle recommence à gémir. Puis.

Oooh tonton… !
Oui ma chérie.
Heum… ! Qu’est ce que c’est bon comme ça. Oh, je la sent bien ta queue !
Mais, ma chérie, ta chatte aussi, est bien bonne !
Vas y tonton, fais moi grimper dans le manguier. J’ai envie de jouir très fort… !
D’accord ma belle. T’as envie de jouir. Je vais te faire jouir ma chérie.

Alors, dans cette position de levrette que, j’affectionne tout particulièrement, je m’applique à la défoncer et plus, je lui bourre sa moule, plus elle jouit fort. Les petits heum ou aaah sympas de tout à l’heure sont maintenant remplacés par de petits cris. Heureusement, que nous sommes que tous les deux à la maison.

Mais voilà, ça fait déjà, pratiquement, une demie heure que nous avons commencés notre petit tour de manège et, que je lui bourre sa chatte avec insistance. Alors, subitement, je suis dans l’obligation de lui annoncer que la fin du voyage est en vue. Et là, dans sa jouissance elle me bafouille.

Tontonnn, Tontonnn paas encoore… ! J’ai trooop envie de ta queueeee.
Mais ma chérie…, je vais éjaculer dans ta chatte là… !
Alors d’accord, retire toi et éjacule dans ma bouche.

Alors, je retire, aussitôt, ma queue de sa moule. Elle saute du lit, se met à genoux devant moi. Oh, je n’ai beaucoup à me masturber. Seulement quelques va et vient et, Marianne qui attend bouche ouverte ma semence, n’a pas aussi à attendre bien longtemps. Car, dans un grognement de cerf en rut, je lui expédie quatre bonnes giclées de mon sirop d’homme dans la bouche.

Elle me regarde, droit dans les yeux, avale la totalité de mon sperme, se lèche les babines avant de me dire comme ça.

Merci mon tonton… ! Heumm c’est vachement bon ! Hou la la, qu’est ce que tu m’as fait jouir… !
Alors comme ça, si je comprends bien, tu aimes bien la queue de ton vieil oncle ?
Ah oui tonton, elle est vachement bonne… ! Mais, pourquoi tu dis, ton vieil oncle ? Tu n’es pas vieux, tonton. Tu es encore jeune. Et, je vais te dire, tonton. tu sais vachement bien t’en servir.
Merci ma chérie. Et, laisse moi te dire aussi, qu’avec une partenaire aussi belle que toi, c’est encore plus stimulant. Faire l’amour avec toi, ma chérie, c’est plus qu’un cadeau. C’est un fantastique privilège.
Merci tonton. Mais dis moi, tu restes avec moi maintenant. On passe la nuit ensemble ?
Ça te ferait plaisir ?
Bien sûr tonton. Alors, c’est oui ?
Oui, bien sûr, ma chérie. Comme ça, si tu as encore envie de la queue de ton vieux tonton, tu n’auras qu’à me réveiller.
Il n’y a pas de problème… ! Maintenant que j’y ai goûté, je ne vais pas m’en privé.
T’es vraiment une petite coquine !
C’est ta faute tonton… ! Si tu m’avais pas exhibé ton sexe en érection, j’aurai fait comme toi, je serai juste venue boire un verre d’eau et puis, tu m’as fait goûter à ce plaisir. Alors… !
Je te l’accorde ma chérie… ! Et toi, pourquoi tu es venue toute nue à la cuisine ?
Parce que j’avais trop chaud. Je pense que pour toi, c’est la même chose.
Oui ma belle… ! Et si, on pensait à faire dormir un peu nos yeux. Il doit être au mois trois heures du matin, maintenant !
OK tonton…, à toute à l’heure. Bonne nuit.
Bonne nuit ma chérie.

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