Ma cousine Johanne

Après onze mois de boulot, les vacances, ça va faire du bien. Et, plutôt que de partir avec mes potes, et surtout que, je n’ai plus vu cette partie de ma famille qui, habite dans le sud de la France, depuis quatre ou cinq ans, je décide d’aller leur faire un petit coucou.

Donc après quelques heures de train, j’arrive à destination. Je suis accueilli, à la gare, par ma cousine Johanne qui, me saute au cou, me fait trois bises dont, la dernière carrément sur la bouche. Là, je me dis, si ça commence comme ça, je ne vais pas n’ennuyer. C’est vrai que ma cousine est une fille plutôt chaude et surtout très sexy, tout comme aujourd’hui. Je ne sais pas si c’est intentionnel ou pas. Mais, elle est très légèrement vêtue. Elle porte une mini jupette et un caraco, qui ne dissimule pas grand chose de son corps. Il faut dire que, nous sommes tout près de la mer et que la chaleur, ici, n’est pas celle de la région parisienne.

Bref, nous engageons la conversation.

◦Bonjour ma cousinnette.

◦Bonjour Greg. T’asfait bon voyage ?

◦Oui, très bon. Et toi, comment tu vas ?

◦Ça va bien.J’ai eu mon BAC. Je suis heureuse.

◦Ça cevoit… ! Mais dis donc, tu as vachement changé.Presque, je ne t’aurai pas reconnue… ! T’es une vraie femme maintenant.

◦Ben oui… !Et toi, qu’est ce que tu fais à Paris ?

◦Toujours pareil. Je bosse dans l’informatique.

◦Ah ok. Bien tu sais quoi, on va aller à la maison. Tout le monde t’attend la-bas… !

◦Aller, on y va.

Alors, nous prenons un taxi et, direction la piaule de ma tante et mon oncle. Mais, tout au long du trajet, mes yeux n’ont cessé de lorgner l’échancrure du caraco qu’elle porte et qui, me laisse largement observer ce qui, ne se cache pas vraiment en dessous, deux très gros nibards. Mais aussi ses cuisses, qu’elle ouvre et referme sans cesse et, que sa mini jupette ne protège plus du tout et, qui me laisse découvrir un petit triangle de tissu rose ressemblant vraisemblablement à un mini string. Cette image me trouble passablement. Car aujourd’hui, ce n’est plus l’adolescente que j’ai connue lors de mon dernier séjour ici.

Quelques minutes plus tard à la maison.

Bref, après les embrassades traditionnelles et les retrouvailles, ma tante dit à Johanne comme ça.

◦Accompagne toncousin jusqu’à sa chambres et installe le comme il faut.

◦D’accord m’man.

Nous grimpons à l’étage, Johanne montant l’escalier en premier. Et là, deuxième chaleur. Ma belle cousine monte à quelques marches devant moi en tortillant du popotin. Et là, la mini jupette ne s’est pas rallongée pour autant. Cette fois, j’en suis certain. Elle porte bien un string ficelle. Ses deux fesses se mouvant ainsi devant mes yeux, me fait bouillir le sang. Malheureusement pour moi, j’ai mes bagages à la main. Parce que, je lui aurai coller mes mains aux fesses.

Quelques instants plus tard.

Elle me quitte en, me disant à tout à l’heure et me laisse m’installer, tout en pensant à ce que je venais de vivre.. Ceci fait, je décide d’aller prendre une douche. Donc, je quitte la chambre et vais à la salle de bains qui, se trouve au fond du couloir. J’ouvre la porte, j’entre et là, troisième surprise. Mais, celle-là elle est de taille. Ma cousine est là, devant le miroir, à poil, en train de se caresser.

Un peu surpris quand même, je lui demande ce qu’elle fait là. Et, elle me répond du tac au tac.

◦Je t’attendais Greg.

◦En te caressant ?

◦Oui cousin. J’aienvie que tu me baises.

◦Ici ?

◦Ben oui, ici.

◦Et, tes parents,ils sont en bas. Ça risque rien ?

◦Non, pas de soucis… !

Y a pas à dire, mes vacances commencent vraiment très bien. Jamais, je n’aurai imaginer ce scénario. A peine arrivé, ma cousine me saute dessus pour que je la baise.

Je m’approche d’elle. Elle extirpe mon tee-shirt, dégrafe mon futal et fait glisser à mes pieds ainsi que mon caleçon. Puis, avec des yeux d’envie fixe ma queue qu’elle empoigne quelques secondes plus tard et, commence à la masturber. Là, je constate que ma cousine n’a pas perdue la main. Tout au contraire, elle me fait ça encore mieux qu’avant.

Deux minutes après.

A mon tour de lui donner ce qu’elle attend. Je l’invite à prendre appui sur le meuble vasque. Elle s’y adosse, écarte ses jambes au taquet et en pose une sur le tabouret de la coiffeuse pour, m’offrir dans, une meilleure condition, sa chatte. Je m’accroupis, lui écarte les lèvres et, comme un mort de faim, la prend à pleine bouche. Je lui bouffe son clito avec frénésie puis, lui doigte profondément sa moule et son trou du cul. Et là, ma Johanne commence à se trémousser, soupire et se met à gémir puis, dans un jargon plutôt cru me lance comme ça.

◦Oh putain Greg… ! Tu me fais jouir.

Je retire ma langue de sa moule pour lui répondre.

◦Tu m’as bien dit que, tu voulais que je te baise… !

◦Oui Greg… !

◦C’est ce que je fais. Aller, tourne toi. Donne moi ton cul.

◦Pas tout de suite… ! Ma chatte d’abord.

Alors, je me redresse, empoigne ma queue et, lui plante jusqu’à la garde dans sa moule qui ressemble à une rivière en crue, tellement elle mouille.

Aussitôt bien ancré, je l’empoigne par les hanches et même avant le premier va et vient.

◦Oh mon salaud… !

◦Qu’est ce qu’il ya ?

◦Ta queue Greg… !

◦Elle a quoi ?

◦Elle est trop bonne… ! Vas y, déchire moi ;

Alors, je mets, aussitôt, en route la machine infernale. Et, instantanément, ma cousine ferme les yeux, recommence à soupirer, à gémir et même, à chaque coup de bite, m’accompagne par des « heuuum et des aaah, qui me font clairement penser qu’elle a quitté la terre pour le paradis.

Passé bien cinq minutes à lui limer la chatte en levrette, tout en reluquant son magnifique trou du cul. Trou du cul, dont la rondelle étoilée est toujours bien entrouverte et, que j’ai déjà visité au mois trois fois, la dernière fois que je suis venu en vacances. Parce que ma belle cousine était, déjà, à cette époque, plutôt chaude et avide d’expériences diverses. Alors, nous en avons bien profité.

Bref passons… ! La question du moment est simple. Je la sodomise ou pas… !

Moi, j’en ai bien envie et, je sais qu’elle ne me dira pas non. Alors, tout en continuant à la limer, je me lance dans la préparation de son trou du cul. Quelques jets de salive entre ses fesses et, mon doigt qui va et vient et navigue tout autour de sa rondelle. Puis, presque par enchantement, il commence à se frayer, petit à petit, un chemin entre sa paroi anale.

Quelques instants plus tard, Johanne réalise se que je suis en train de lui faire et, en se retournant vers moi, me dit.

◦Greg, c’est bonça… ! Ça fait si longtemps !

◦Pour ça,oui… ! Ça fait au moins quatre ans. Alors, on y va ?

◦Oui Greg. Vas y encule moi.

Alors, je retire ma queue de sa chatte en fusion et, totalement détrempée pour, la planter dans son trou juste au dessus.

Une fois en position, je pousse une fois, deux fois et, à la troisième, mon gland s’y introduit et disparaît lentement, mais sûrement tout au fond de son trou du cul. Et la, Johanne de me lancer une nouvelle fois.

◦Greg…, ta queue !

◦T’as mal ?

◦Non Greg… ! Fais la branler. Vas y. J’ai envie que tu me ramones… !

Bon, je savais ma cousine chaude du cul, mais là, je suis surpris. Elle ne m’avait jamais parlé avec des mots aussi chaud.

Mais, je suis là pour la satisfaire, pas pour analyser ses commentaires. Alors, les va et vient se succèdent et prennent rapidement un tempo d’enfer.

Ma cousine Johanne se remet une nouvelle fois à couiner et à me lancer ses « aaah, oooh, vas y ou encore c’est bon », à presque chaque pénétration.

Alors, je redouble l’intensité de mes coups de bite et, après l’avoir bien faite jouir pendant certainement une dizaine de minutes, je sens arriver dans ma queue, comme arrive un cheval au galop, une grosse giclée de sperme qui vient lui remplir son anus.

Je retire ma bite de son fourreau anal. Elle se retourne, s’accroupit pour me la sucer. Quelques secondes plus tard, mon sperme s’écoule de son trou du cul et forme une petite flaque sur le carrelage.

Après m’avoir bien léché la queue, Johanne se redresse, constate la flaque parterre, se met à rigoler puis, me dit.

◦Oh mon salaud… ! Qu’est ce que tu m’as mis !

◦Mais, c’était bon ?

◦Ah oui… !Putain, pour être bon, c’était bon !

◦T’as encore envieque je t’encule ?

◦Oui Greg. Et mêmetous les jours. Ta queue est trop bonne… !

Ses dernières paroles ne vont pas tomber dans les oreilles d’un sourd.

Le soir même, une fois la maison endormie, elle est venue me rejoindre et nous avons remis le couvert et, pendant tout mon séjour, nous nous sommes arrangés pour, trouver au moins une heure pour, baiser ensemble et surtout la sodomiser. C’était son plus grand souhait.

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