Ce jour là, le ciel n’est pas bien clair, voire bien gris même. Mais, il fait encore chaud. C’est un peu l’été indien comme, on dit en Amérique du nord. Mais, ce ciel gris ne donne pas très envie d’aller se balader dans la campagne.

Alors, après le déjeuner et le café, je m’installe au salon, devant mon écran et lance une vidéo afin, de tuer le temps.

Aujourd’hui, je me repasse une vidéo x avec Manuel Ferrara. Une fois de plus et, une fois de plus, je ne peux m’empêcher de triquer comme un malade tellement, la nana qu’il est en train de culbuter est bandante.

Mais, au meilleur moment, précisément au moment où Manu lui plante sa queue énorme dans le cul, on toque à ma porte. Et là, je me dis. « Oh merde, c’est pas vraiment le moment… ! ». Presque aussitôt, ça refrappe. Là, je me dis qu’il me faudrait, quand même, aller voir qui est là.

Je ne sais pas trop comment faire avec ma bite qui repousse mon caleçon vers l’avant. Mais, je m’approche, tout de même de la porte et regarde par le judas. «  Oh merde… ! » C’est Angélique, une petite voisine. Une jeune fille entre dix sept et dix huit ans, une belle petite nana, que je me culbuterai bien à l’occasion.

Vu les circonstances et, si aujourd’hui, c’était le bon jour. Qui sait… ?

J’ouvre, je la fais entrer ;

Bonjour Angélique, ça va bien ?
Oui. Bonjour J.P.

Sitôt la porte refermée. Elle fixe mon caleçon repoussé vers l’avant par ma queue et, c’est avec un petit sourire et un air inquisiteur qu’elle me dit.

Dis moi J.P… ! qu’est ce qu’il t’arrive ?
Et Ben tu vois… ! J’étais en train de regarder une vidéo et, voilà le résultat… !
Comment ça se fait ?
Simple ma belle… ! Viens t’asseoir sur le canapé et, tu vas vite comprendre.

Nous faisons les quelques pas qui nous séparent de l’entrée et du salon et, dès qu’elle se trouva devant les images où Manu était en train de bourrer le cul de sa partenaire, ce qui la fait rugir de plaisir, Angélique regarde avec intérêt la scène puis se tourne vers moi,fixe une nouvelle fois mon caleçon et me dit.

Waouh… ! Ah oui, là, je comprends mieux. Qu’est ce qu’elle se prend, la fille… !
Oui ma belle. Ça m’a fait bander de les regarder baiser et comme je suis seul, ben…, je me suis masturbé… !
C’est vrai que c’est excitant.
Alors, si ça t’excite, toi aussi, je m’assoie sur le canapé. Tu t’allonges en travers et, tu me masturbes… ! T’es d’accord ?
Euh…, ben… !
T’as peur? Elle va pas te manger… !
C’est pas ça… ! J’ai pas bien l’habitude
Ma chérie, c’est pas un problème. Je vais te mettre à l’aise, tu vas voir !

Elle me regarde en souriant et.

D’accord J.P..

Une fois bien installés, j’ôte mon caleçon et, libère le monstre de sa cachette. Je constate la surprise de ma petite voisine qui, visiblement, n’en a, certainement, pas souvent vu un aussi imposant et, d’aussi prêt.

Waouh, deux fois waouh… !
Qu’est ce qu’il y a ma belle ?
C’est la première fois que je vois un sexe aussi gros, en érection… !
T’en as, quand même, déjà vu ?
Oui J.P. Mais pas comme le tien.
Tu peux, quand même, le toucher et même le caresser. Qu’est ce que tu en dis ?
Ben, j’ose pas. Tu sais… !
Quand même, t’es plus une petite fille. Il va pas te mordre… !
T’as raison J.P.
Mais, t’en as quand même déjà masturbé ?
Une fois. Mais, je sais pas si je lui ai bien fait… !
Écoute ma belle. C’est pas compliqué. Comme t’es allongée. Tu prends ma queue dans une main. Tu la serre pas trop et, tu fais des mouvements de bas en haut et de haut en bas… !
Je vais essayer de faire comme il faut.

Alors, délicatement, elle empoigne ma queue dans sa main, un peu tremblante mais, divinement chaude. Déjà rien que ça, ça m’excite encore plus. Elle l’enserre et, aussi délicatement, commence à la faire monter et descendre tout au long de la hampe.

Quelques va et vient plus tard.

C’est bien comme ça J.P. ?
Oui ma belle. C’est super. Tu m’excites. C’est magique.

Puis, je tourne un peu les yeux vers la droite, fixe son petit short, qui a tendance à lui entrer dans la raie du cul et là.

Dis donc Angélique. Tu sais que tu as une bien jolie paire de fesses. Ce serait pas mal, si tu me les montraient ?
Pourquoi ?
Je pourrai les caresser aussi… ! Tu veux bien ?

Alors, elle abandonne pour quelques secondes ma queue, se met à genoux sur le canapé, dégrafe son petit short, le fait glisser jusqu’à ses genoux et là, offre à mes yeux son pubis remarquablement rebondi qui, est masqué par un petit chose, un bout de tissu rose, en forme de triangle, guère plus large que deux tickets de métro, avec une petite rose rouge dans l’angle gauche, laissant apparaître de chaque cotés une minuscule toison de poils châtains clair, elle aussi en forme de triangle qui, a été rasée il n’y a pas très longtemps. Mais aussi la pointe du triangle happée intégralement par la fente de sa grotte magique. A voir ce magnifique tableau, j’ai encore plus envie d’y goûter.

Alors.

Dis moi ma poupée, il n’y a pas que tes fesses qui sont mignonnes. Je vois que ton minou a l’air très sympa aussi. Tu peux me faire voir d’un peu plus près ?
Ben, au point où on en est maintenant. Oui bien sûr.

Alors, Angélique se redresse sur le canapé, attrape son minuscule bout de tissu avec deux doigts, le fait glisser ainsi que le short, jusqu’à ses pieds. Puis, avec un large sourire me dit.

Qu’est ce que tu en penses maintenant ?
Maintenant et, encore plus que tout à l’heure, je suis sûr que c’est très joli et même, que j’ai encore plus envie d’y goûter… !
Et, si moi, je veux pas ?
Et bien, tans pis pour moi !
Je te ferai pas ça J.P. Mais pas aujourd’hui.
Tu as raison ma belle. Chaque chose en son temps. Pour le moment reviens t’occuper de ma queue.
Oui J.P.

Alors, elle s’allonge à nouveau, retrouve ma queue et reprend sa masturbation.

Quelques instants plus tard.

Angélique… ! Tu veux bien essayer de me sucer aussi ?

Elle relâche à nouveau ma queue et.

Ça, je sais pas. Comment je fais ?
Simple… ! Mets toi à genoux, prends entre tes lèvres ma queue et, tout en me masturbant, tu fais un peu comme si tu suçais une glace à la vanille ou au chocolat. Ça, tu sais faire ?
Ça oui… ! Mais, je crois que j’ai compris.

Alors, après s’être mise à genoux et reprends possession de ma queue qui, en veut beaucoup plus. Mais qui devra se contenter de ça pour aujourd’hui.

Angélique est une jeune fille qui apprend très, très vite. Puisque, seulement après quelques secondes, elle me suce et me masturbe avec attention. Je suis aux anges. Pour une première, ça se passe bien mieux que je n’aurai pu imaginer.

Puis, machinalement, mon regard se porte sur ses magnifiques fesses et, là je me dis. « Si, je la caressais un peu par derrière… ! Ça pourrait être encore plus excitant… ! »

Que cela ne tienne. Je me penche un peu vers elle. Pose ma main sur une puis, sur l’autre et je commence à la caresser. Au fur et à mesure de mes caresses, mon majeur finit par se glisser entre ses fesses et lentement, prends la direction de sa fente brûlante, mais surtout très humide. C’est somptueux. Petit à petit, je la sent s’agiter et se trémousser. Son corps commence à onduler. Et plus, je luis tripote sa fente, plus elle gigote, plus elle me masturbe et me suce avec entrain.

Quelques instants après.

Alors. dis moi ma poupée. Ça te plaît ?
Heum oui J.P. Ça me fait plein de frissons partout. Et toi ?
Super…, super… ! Pour un coup d’essai, c’est réussi. Et si, je te proposais autre chose ?
Quoi par exemple ?
Tu t’allonges sur le dos, tu offres ton petit bijou à ma bouche. Et, c’est moi qui te suce.
Tu sais, comme ça, c’est vachement bon… !
Peut être. Mais,tu vas voir, avec ma langue, ça va être meilleur encore… !
Ça va me faire quoi ?
Tu vas t’envoler au paradis ! On essaye… ?
Oui J.P. D’accord pour le paradis.

Cette fille est géniale. Elle accepte ce que je lui demande et fait les choses, presque, comme si elle les avaient déjà faites des tas de fois. Peut être qu’elle me cache la vérité. Qui sait !

Voilà ma petite voisine qui, était certainement venue me faire petit coucou, comme bien souvent, se retrouve, à cause d’un film x, en train de se laisser surprendre par les choses du sexe. Choses qui avaient l’air de n’être pas vraiment dans ses habitudes.

Que cela ne tienne. Et, c’est bien là ce qui est le plus important. Alors, Angélique obéit à mon souhait. Car, je sent bien qu’elle en a aussi envie.

Une fois bien installée, les jambes repliées vers elle, je me mets à genoux devant sa chatte et, sans attendre plus longtemps, j’y pose ma bouche dessus. Aussitôt, ma langue trouve le chemin de son bouton d’amour. Je lui lèche et lui titille très longuement. Là, Angélique commence à soupirer fortement. Puis, les caresses buccales faisant totalement leurs effets, elle se tortille dans tous les sens. Son ventre ondule fortement et les soupirs se transforment en petits gémissements.

Alors, d’une voix haletante.

J.P…, j’ai chaud.

Je relâche mon étreinte et lui répond.

Alors, c’est bon. Si tu as chaud… !
Oui… ! Mais, ça me fait plein de truc dans le ventre.
C’est encore meilleur… !
Pourquoi, ça me fait ça ?
Ma chérie, tu es en train de jouir.
C’est la première fois que ça m’arrive. C’est drôle, mais c’est vachement bon.
Alors, je continue ?
Oh oui J.P… !

Je vais continuer. Mais, je lui demande de changer de position. Car, moi aussi, j’ai envie qu’elle recommence à me sucer et à me masturber. Je veux bien la faire jouir. Mais, j’ai aussi envie de jouir en même temps qu’elle.

Attends ma poupée, je te propose de changer de position.

Alors, je m’allonge sur le dos. Elle se met à califourchon sur moi, m’offre à nouveau sa chatte qui est devenue écarlate avec l’excitation. Je replonge ma langue entre ses lèvres dégoulinante de cyprine et elle, elle reprends ma queue se remet instantanément à me sucer et me masturber. Voilà, notre petit manège qui recommence à tourner merveilleusement bien. On se suce, on se masturbe, on jouit et, Angélique soupire et gémit. C’est génial.

Là, notre tour de manège c’est pas comme à la fête foraine. Il ne dure pas qu’une ou deux minutes. Il est énormément plus long. Plus Angélique me suce et me masturbe, plus ça me donne envie de la baiser. Et, pour ça, je vais lui proposer une autre rencontre. En attendant, les minutes passent et subitement, je sens les fourmillement de l’éjaculation monter, comme un cheval au galop, dans ma queue. Et là, merde… ! Il est trop tard. Je lui éjacule dans la bouche.

Je dois reconnaître que ça peut être surprenant, étant sa première fois. Mais, c’est pas pour ça qu’elle a rejeté ma queue. Tout au contraire, elle a avalé les quatre giclées que je lui ai offerte.

Puis.

Alors ma belle, tu l’as trouvé comment, cette première expérience ?
Très bien J.P. Tu sais, si c’est à chaque fois comme ça, je recommence demain.
Et bien ma chérie, c’est exactement ce que je voulais te proposer. Mais cette fois, on poussera l’expérience encore plus loin.
Je suis d’accord. Mais, qu’est ça veux dire « plus loin » !
Si tu veux bien, nous ferons l’acte sexuel complet. Tout à l’heure, j’ai vu que tu étais encore pucelle. Je te propose de me donner ta virginité et, nous partagerons l’acte jusqu’au bout, un peu comme aujourd’hui. Ça te va comme ça ?
Tu sais J.P., avec ce que tu viens de me faire vivre, aujourd’hui, c’est oui. Je suis tellement heureuse. J’ai tellement bien joui… !
Alors, on fait ça comme ça. Demain, tu viens comme aujourd’hui et nous ferons l’amour toute l’après midi, si tu veux.. Ça te va ?
Oui J.P. Très bien même. Je me languis demain. Ah tiens… ! Eux aussi, ils ont fini.
Et oui. Même les pros du sexe finissent aussi. Et, tu vois, lui aussi, il lui a éjaculé dans la bouche… !
Mais, tu sais, c’est vachement bon… ! J’aime bien le goût de ton sperme.
Et bien, puisque tu aimes ça, demain, je t’en donnerai encore.
Merci J.P. Bon dis moi, est ce que je peux aller me laver un peu ?
Bien sûr ma belle.

Je l’accompagne jusqu’à la salle de bains. Elle se nettoie le visage puis, nous revenons au salon. Elle remet son string et son petit short sexy, m’offre sa bouche pour que nous partagions un baiser. Puis, elle se dirige vers la porte en me disant.

A demain mon J.P.
Bien sûr ma belle. A demain. Tu viens à l’heure que tu veux, mais trop tard quand même. Nous avons plein de choses à faire.
D’accord J.P. Je serai là vers quatorze heures. Ça ira ?
Oui Angélique. Ça ira très bien.

Je l’accompagne jusqu’à la porte. Elle s’en va. Je suis ravi de ce moment que cette jeune fille vient de m’offrir. Mais, je pense déjà à ce que demain va m’offrir. J’ai hâte de sentir ma queue lui déchirer son hymen et, la faire jouir encore plus, qu’elle n’a joui tout à l’heure.