Une jeune femme se retrouve dans un lieu sinistre pour le début de ce qui s’avérera être son initiation.
Samedi soir 23h. Nous sommes à deux semaines de noël. Tu rentres chez toi après une soirée avec quelques amis dans un restaurant en vue de Lille. La semaine fut épuisante mais tu tenais à participer à cette soirée. Tu devais revoir Nicolas. Ah… Nicolas… Un ancien camarade de lycée… Il ne te laissait pas indifférente alors quand tu appris qu’il serait présent en célibataire, tu n’as pas hésité un instant. Tu avais mis tous les atouts de ton coté : Une jupe, courte sans être vulgaire, une paire de bottes à talons hauts, des bas noirs. Pour le haut tu avais opté pour un chemisier crème dont les deux premiers boutons ouverts laissaient deviner ta poitrine rehaussée par un soutien-gorge de couleur chair. Un maquillage léger terminant la préparation. Ce soir, il était dit que tu ne laisserais pas passer cette opportunité. Las, arrivée au restaurant, tu déchantas rapidement en voyant débarqué Nicolas au bras de sa dernière conquête. Soirée morne en perspective… Sourires de convenance, conversations entendues… Finalement tu invoquais un mal de tête pour abréger cette épreuve. Tu montais prestement dans ta voiture et démarrais.
Te voilà sur une route de campagne. La brume est dense. Tu rumines cette occasion ratée quand tu aperçois de la fumée se dégager du capot… Tu as à peine le temps de te garer que le moteur s’arrête dans un dernier souffle bruyant… Tu tournes la clé… Rien à part un soubresaut. Tu sors. L’air est frais sous ton manteau. Tu n’as plus qu’à téléphoner. Pas de réseau… La tuile ! Personne en vue. Décidément la soirée tourne à la bérézina. 10 minutes passent… L’atmosphère se rafraichit même à l’intérieur. Enfin des phares au loin.. Tu fais signe. La voiture ralentit à ta hauteur. A l’intérieur un groupe de jeunes te dévisage. Elle stoppe finalement devant la tienne. Deux jeunes en sortent. Ils te dévisagent d’une façon telle que tu te sens nue devant eux. Il faut dire que même si ils ne voient que le bas, cela leur donne une idée du reste de ta tenue.
– Un problème m’dame ? Demande un gringalet dont le visage est parsemé de tâches de rousseur.
Tu es mal à l’aise mais as tu le choix ?
– Ma voiture.. Elle s’est arrêtée sans prévenir ! Vous pouvez faire quelque chose ?
Sans même demander, l’un d’eux s’installe au volant et ouvre le capot.
– Kev’. Vas-y regarde.
Son ami – le gringalet – jette un œil.
– Ah la la… Y a une durite de pétée ! Faut remorquer ! Y a une station ouverte plus loin.
– On te dépose ?
Il t’a tutoyée sans rien te demander, naturellement. Tu passes outre… Que faire ? As-tu une autre solution ? Tu sais qu’à cette heure-ci les passages sont rares sur cette route.
– D’accord. Si ça ne vous dérange pas…
– Oh non… Au contraire..
Ils se regardent, un sourire complice illumine leur visage. Ils t’ouvrent la portière. Tu grimpes d’un coup. A l’avant, un noir costaud au volant. Coté passager une jeune beurette. Elle semble si jeune malgré son regard perçant. Tu t’installes au milieu de la banquette et lorsque les 2 autres t’encadrent tu te rends compte que tu es dans l’impossibilité de sortir au cas où… Ils ferment les portières et la voiture démarre en trombe. Tu trembles, autant à cause du froid qu’à cause de l’anxiété. L’atmosphère est pesante. L’air est saturé de fumée de cigarettes et de joints. Une odeur acre de sueur, d’alcool et de… sexe t’envahit les narines. Te voilà piégée. La voiture roule depuis un moment à présent.. Pas une âme, une lumière en vue.. Vous devriez être arrivés à la station depuis longtemps maintenant. Que se passe-t-il ? Personne ne parle.
Enfin une lueur devant vous. La station ! Non.. On dirait une usine désaffectée.
– Que faisons-nous ici ? Où sommes-nous ?
Pour seule réponse, tu n’obtiens que sourires sadiques et ricanements. Les deux jeunes à l’arrière te collent, t’empêchant de te débattre. Après avoir traversé toute l’usine, la voiture s’immobilise enfin devant de vieux barils rouillés dans lesquels un feu survit faiblement. Tout le monde descend… Sauf toi… Alors un des deux jeunes, Kevin, t’attrape par le bras et t’extirpe de la banquette arrière sans ménagement. Ton manteau a perdu une manche dans l’action. Tu sanglotes… Tu gémis d’une voix fragile :
– Vous êtes fous ? Laissez moi partir avant que ça tourne mal ! Déposez moi à la station maintenant !
Inconsciemment, tu as prononcée cette phrase en hurlant. Tu les as impressionnés… Ils te regardent silencieusement. Ils s’interrogent semble-t-il… Tu en profites pour détailler les lieux, rechercher une éventuelle issue. Vous êtes au milieu d’un immense hangar. La faible lueur dégagée par les foyers ne te permet pas d’en distinguer les extrémités. Soudain d’une salle voisine, de la musique te parvient. Du hard métal… Cinglant… Violent… Tu entends aussi un chien aboyer. Cette agitation a fait sortir tes kidnappeurs de leur torpeur.
– Ah… V’là l’Affreux ! S’exclame le black, un sourire illuminant son visage.
Une lourde porte de métal s’ouvre. Une ombre se déplace, énorme… Inquiétante… Tu peux la sentir.
L’anxiété a fait place à la peur… La peur à la panique… Tu es tétanisée. Soudain tu LE découvres. Un homme immense. Il doit mesurer plus de 2m ! Il parait aussi large que haut. Son visage semble coupé en deux par une cicatrice hideuse. Et son sourire… Il te fait frissonner. Les flammes se reflètent sur 2 rangées de dents en or. Il s’approche de toi. Sa simple présence t’écrase.
– Voici l’Affreux ! C’est un bon ami. Tu verras. Il va prendre soin de toi ! Sapée comme t’es ça devrait aller !
Il t’attrape par le bras. Tu résistes. Une gifle monumentale t’enflamme la joue. Tu t’étales sur le sol poisseux. Sans attendre il t’attrape par les cheveux et te traine dans son antre.
– Hé l’Affreux… On peut en profiter aussi ? Et puis comme ça on fera les présentations !
Pour toute réponse un grognement…
Il te jette littéralement au milieu de la pièce, t’arrachant au passage ce qu’il restait de ton manteau.
– Je te présente l’Affreux ! C’est un bon pote à nous ! Il vit ici seul. Alors de temps en temps on lui ramène une fille… Histoire qu’il s’amuse ! Tu comprends ? Alors le deal est simple : Ou tu te montres bien gentille et ça sera vite terminé… Ou tu résistes et là… Personnellement on préfère quand elles résistent…
Ce n’est pas possible. Tu dois être en plein cauchemar… Pas de fenêtre… Pas une ouverture à part cette énorme porte. Est-ce la porte des enfers pour toi et ce monstre son gardien.
– Pitié ! Je vous en prie. Laissez moi partir. Je ne dirai rien à personne.
– A poil salope ! Enlève tout ! Vu ce que tu portes ça sera vite retiré !
Pour la première fois la beurette s’est exprimée. Elle te toise du regard.
La pièce raisonne du bruit strident de la musique, des aboiements des chiens, des hurlements de tes geôliers. Tu n’as pas fait attention à l’Affreux qui s’approche de toi. Il t’attrape par le poignet. Son étreinte est terrible. Sans peine, il te soulève du sol pour amener ton visage au niveau du sien. Son haleine est une horreur, sa bouche entre-ouverte ressemble à un puits sans fond duquel s’apprête à sortir une nuée d’insectes nauséabonds. Son autre main s’approche de ta poitrine. Elle couvre quasiment tout ton thorax. Sans effort, il arrache ton chemisier et ton soutien-gorge. Il commence à jouer avec tes seins. Il les malaxe. Il prend le temps de travailler chacune de ce qu’il appelle tes « mamelles ». Ses ongles longs et crasseux se plantent sans mal dans ta chair, y laissant de profondes zébrures. Il pousse un râle d’agacement quand il constate que du fait de l’épaisseur de ses doigts et de la petite taille de tes tétons, il ne parvient pas à les saisir.
– Je travaillerai ça plus tard femelle !
Combien de temps t’inflige t-il cela ? Tu l’ignores. Ce que tu sais c’est que lors qu’il te lâche enfin ton bras et tes seins ne sont plus que douleur et brulures. Tu y jettes un œil… Ton poignet est violacé laissant deviner un lien invisible mais si réel t’enchainant à lui. Quant à tes seins. Il n’y a plus un seul espace où ta peau à la pâle coloration habituelle. Les tâches jaune la disputent aux rougeurs vives.
Pendant toute cette agonie, tu as supplié, pleuré toutes les larmes de ton corps… En vain…
Tu jettes un regard vers tes jeunes kidnappeurs. Tu constates que la beurette est allongée sur le sol, en haillons. Le gringalet est au niveau de sa tête. Il a ses genoux posés sur ses bras et son sexe enfoncé dans sa bouche pendant que les deux autres larrons finissent d’arracher ses vêtements. Et quand enfin elle se retrouve nue, chacun des deux jeunes lui maintient une jambe pendant que de l’autre main ils saisissent des bouteilles de bière qui jonchaient le sol. Sans la moindre hésitation, le black lui enfonce la bouteille jusqu’à ce que le corps de celle-ci vienne heurter violemment son clitoris. Elle ne peut s’empêcher de pousser un cri, étouffé par le sexe du gringalet.
– Hé putain… Faites gaffes les mecs… elle a failli me couper la bite c’te conne !
Alors il ressort la canette. A ta grande surprise, elle est brillante… Elle mouille… Tu ne comprends pas comment cela peut être possible. Avec une joie non dissimulée, d’un coup tout aussi sec il introduit le goulot dans son fondement, l’autre gars prenant le relais dans sa chatte. Alors le freluquet l’attrape par les cheveux et accentue le mouvement. Son sexe va au fond de sa gorge, provoquant des hauts le cœur et faisant couler son maquillage. Les deux autres continuent leur pilonnage en règle. Le black s’amusant à aspirer son bouton, cela entraine rapidement chez elle des mouvements de bassin pour accompagner ses lèvres. Il retire la canette sans ménagement et y introduit 3 doigts. Ah nouveau un râle de plaisir. Une gifle part.
– Calme toi pétasse ! Ce qu’elle a l’air d’aimer cette truie…!
Le pouce du black appuie sur son clito et il le retire dès qu’il sent l’orgasme approcher. Le troisième lascar continue de lui défoncer le cul avec la canette. Il a sorti sa queue et se branle vigoureusement. Devant ce spectacle, tu ne peux empêcher une chaleur d’irradier ton bas ventre. Certes, tu apprécies les histoires érotiques dans lesquelles la femme est réduite à l’état d’objet sexuel. Mais là… Jamais tu n’aurais imaginé ressentir cela devant une situation réelle. Tu es tirée de ta réflexion par les insultes et le gémissement du gringalet se vidant dans la bouche de la beurette. Le black et lui échangent leur place au moment où inconsciemment ta main descend le long de ton ventre. Le gringalet entreprend alors de lui fourrer la chatte non pas avec le goulot mais avec le culot de la bouteille !! Tu as toujours eu envie d’être fistée… De goûter à la sensation de ta chatte remplie et prête à exploser. Il trempe régulièrement ses doigts pour en extraire le jus et lubrifier le culot. Quand c’est assez glissant à son goût, il commence la longue progression. D’abord il travaille la chatte pour lui faire attraper un diamètre suffisant. Cela prend plusieurs minutes au cours desquelles il continue de la frustrer en jouant par intermittence avec son clito. Son cul est en feu… Sa chatte écartelée par cette bouteille dont rien ne semble pouvoir arrêter la progression. Ta main commence à passer sous ta jupe quand elle est agrippée fermement ! L’Affreux… Tu avais presque oublié pourquoi tu étais là…
– Tu jouiras femelle ! Mais seulement quand je le déciderai..
Tu n’aurais pas cru mais te voilà frustrée. Il te relève et tout en te maintenant les mains vous approche du petit groupe. La bouteille est à moitié rentrée mais elle bute… Ça y est.. Sa chatte est remplie !! Il la tourne alors tout en pinçant son clito… S’en est trop pour elle ! Elle se cambre dans un gémissement étouffé. Il est d’autant plus étouffé que c’est le moment choisi par le black pour jouir à son tour. La salive et le sperme lui sortent par la commissure des lèvres tandis que des spasmes animent son corps. Elle n’est plus qu’une marionnette désordonnée. Avec un sourire sadique, le gringalet retire la bouteille d’un mouvement sec. Heureusement qu’elle n’était plus en train de sucer : Le hurlement qu’elle pousse te fait revenir sur terre. Il lui faut plusieurs minutes pour retrouver son souffle… A peine a-t-elle le temps de recouvrer ses esprits que le troisième jeune jusqu’ici discret, retire la bouteille de son cul. A la surface du verre on peut y distinguer du sang ainsi que des tâches brunes… Sans rien demander, il attrape la mâchoire de la beurette et lui introduit le goulot dans la bouche
– Tiens nettoie moi ça putain !
Et il tourne et fait aller et venir le goulot rapidement. Enfin il le retire et contemple le résultat qui semble le satisfaire.
Il te regarde droit dans les yeux…
– Maintenant il est temps que l’Affreux s’occupe de toi…
Proposée par Vice