AH, LA TRADITION
Dans cette communauté, il y a des traditions qu’il vaut mieux respecter, sinon les ancêtres peuvent se fâcher dont, celle du chef de village. Et là, ce personnage important, a tout plein de responsabilités diverses. Il est celui vers qui, chacun vient demander conseil pour n’importe quoi. Il règle les conflits dans le voisinage et entre les familles, il est le responsable du bon ordre dans le village et, il a bien d’autres fonctions plus symboliques, comme le contrôle du passage du monde de l’adolescent au monde de l’adulte pour les filles. Etc, etc…, et ce personnage est désigné par la communauté et a un mandat d’un dizaine d’années.
Donc, les dernières élections qui viennent d’avoir lieux ont désignées Mamadou, chez du village. Il en est pas peu fier. Jamais, il n’aurait pu penser qu’un jour, ce serait, lui, le gardien de la tradition, et quelle tradition… ?
Il y en a qui sont plutôt chiantes. Mais il y en a d’autres plus agréables comme, celle que je vais vous raconter maintenant.
Avant de devenir de jeunes adultes, les jeunes filles doivent suivre tout un rituel qui leur fait découvrir leur propre corps, celui de l’autre, le male, et surtout la sexualité. C’est à ce stade que la chose devient très importante. Et, ce qui suit vous raconte le comment de la chose.
Donc, dans le village, deux jeunes filles jumelles, Chacha et Yaya viennent d’avoir seize ans et, bien sûr, leur mères a pris rendez vous avec Mamadou pour qu’elles effectuent leur stage. Stage qui dure une semaine entière.
Tout au long des jours, Mamadou leur parle de toutes les choses qu’elles auront à assumer lorsqu’elles seront devenues femmes et, en particulier, leur parle de la sexualité et des rapports avec l’homme.
Tout ce passe à merveille et le dernier jour, elles doivent passer l’examen du contrôle de leur virginité. Pour ça, leur mère doit être présente. Car, il y a tout un processus à respecter à la lettre.
Donc, le dernier jour, dans la case de Mamadou Chacha, Yaya, leur mère et Mamadou sont présents pour l’examen final. Les jumelles s’installent sur le canapé. Leur mère et Mamadou s’assoient sur un fauteuil juste en face d’elles.
Mamadou prend la parole.
•Vous venez de faire le stage et aujourd’hui, c’est le dernier jour et, avec votre mère, je vais constater si vous êtes bien encore vierge. Si oui, vous savez que la tradition veut que ce soit moi, le chef du village, qui vous dévierge.
Yaya.
•Oui Mamadou, ma mère nous l’a déjà dit.
•Alors, il n’y a pas de problème.
Alors, à la demande de Mamadou, Chacha et Yaya, commence à se dévêtir sous l’œil attentif de leur maman. Puis, elles s’installent à nouveau sur le canapé. Mamadou s’approche d’elles, leurs demande d’ouvrir largement les jambes en les tenant en l’air. Puis, il s’approche de la première. Délicatement, avec les deux pouces, lui écarte les grandes lèvres afin, de bien voir si, son hymen est bien présent. Il en fait de même avec la seconde et.
•C’est bien. Mama, tu as bien élevé tes deux filles. Je te félicites. Bon, maintenant, il va me falloir faire mon devoir.
La, maman.
•Mamadou, je te les confie. C’est à toi. Fais ce que tu dois faire.
•Tu sais mama, qu’i l te faut m’aider aussi !
•Oui, je sais. Ne t’en fais pas, je vais te faire bander comme il faut.
De leur côté, les deux pucelles attendent sur le canapé en se posant, quand même, quelques questions. A savoir comment ça va se passer, s’il a un gros machin et s’il va leur faire mal. Bref, les questions que toutes jeunes filles se pose avant le premier rapport.
De son côté, Mamadou, lui, ne s’en pose pas, de question. Il sait qu’il y a une femme qui, est encore jeune, belle, et surtout bien faite qui va l’émoustiller en attendant de pouvoir dépuceler ses deux filles.
Alors, il se prépare pour la chose. Il commence par se déshabiller. Et une fois à poil, se retourne vers les deux petites qui, ouvrent grands leurs yeux en voyant l’engin qui va leur déchirer leur virginité. Puis, il se retourne vers mama et l’invite à la fête.
Elle ne cherche pas à comprendre. Elle sait ce qu’il faut faire. Elle prend en main cette bite, qui la fait, quand même, un peu rêver. Car, pour elle, c’est un souvenir lointain. L’homme qui lui a fait ses deux jolies filles, c’est barré depuis longtemps déjà.
Elle le masturbe. Il ne lui faut pas plus de dix secondes, pour que son pénis devienne une énorme trique qu’elle a peine à tenir en main et que dire, quand elle l’a mis dans sa bouche pour le sucer.
Un petit moment après, ils viennent devant le canapé où les attendent Chacha et Yaya. Processus oblige, Mama, se met à quatre pattes devant la première, se penche vers elle, puis, demande à sa seconde de se coller contre sa sœur et, commence à lui lèche sa petite chatte abondamment puis, en fait de même avec la seconde, du temps que Mamadou la prend en levrette.
Une fois les deux jeunes filles bien préparées par leur mère, Mamadou vient à son tour s’occuper de ces deux vierges. Lui, il leur masturbe, tour à tour leur bouton d’amour, ce qui commence à les exciter bien comme il faut.
Les voilà, maintenant, prêtent pour l’acte.
Il revient vers Yaya, la met bien en position, jambes retroussées sur elle. Il se met à genoux devant sa belle petite fente toute rose, fait quelques va et vient entre ses lèvres puis sans plus de fioritures, présente son énorme bite à la petite chatte de Yaya et, hop d’une seule poussée son gland lui déchire son hymen. Yaya pousse un cri de douleur. Mais la chose est faite. Il retire son pénis de sa chatte et vient faire la même chose à sa sœur, juste à coté, qui n’en mène pas large.
Mama la rassure en lui disant comme ça.
•Ma fille, c’est la tradition… ! Et puis après, tu vaspouvoir te trouver un gentil garçon qui t’aimera… !
Sans rien dire et, puisque c’est comme ça, Chacha se donne aussi à Mamadou.
Tout comme pour Yaya, il lui prépare un peu sa petite fente et même, peut être un peu plus pour qu’elle accepte un peu mieux son énorme bite.
Donc, avec plus d’attention, Mamadou fait naviguer son bâton entre ses lèvres puis, comme pour Yaya, d’un seul coup de rein et aussi, dans un cri de douleur, son hymen cède aussi.
Là aussi, Mamadou retire sa grosse queue ensanglantée de la chatte de Chacha qui va mettre quelques instants pour que cette douleur s’estompe.
Pendant ce temps, il revient vers Yaya, lui demande de se mettre à quatre pattes. Ce qu’elle fait aussitôt et.
•Tu vas voir Yaya. Maintenant, tu n’auras plus mal. Au contraire, ça va te faire plein de bonnes choses.
•C’est vrai Mamadou ?
•Oui, c’est vrai.Viens on essaye.
•D’accord.
Alors, une fois bien en position, Mamadou reprend sa grosse queue en main, la présente à la petite chatte qui, porte encore les traces de sa défloration et cette fois, presque plus de problème. Elle s’engouffre au mieux, même si le passage est encore bien étroit, dans cette chatte déviergée de frais.
Aussitôt après le premier va et viens.
•Tu vois Yaya, ça ce fait bien !
•Oui Mamadou. Mais tusais que ton sexe est très gros pour mon petit minou !
•Mais, c’est bon quand même ?
•Oui Mamadou, c’est bon… !
Alors, puisque c’est bon, ce bon diable de Mamadou va s’en donner à cœur joie. Car, après Yaya, c’est au tour de Chacha de subir l’assaut de cette queue, grosse comme une queue de cheval.
Comme ça, il leur lime tour à tout leur chatte respective et, ça leur a bien plu. Car, l’une comme l’autre n’ont plus criées mais soupirées et gémies de bonheur. Quand à Mama elle, elle s’est assise sur le fauteuil, attendant que ça se passe.
Une grosse dizaine de minutes plus tard, tout en se tripotant sa moule.
•Mama… ! Viens te mettre à coté de tes filles. Je vois que toiaussi, tu as bien envie de la bite de Mamadou !
•Oui Mamadou, voir mes filles qui jouissent comme ça avec ta grosse bite dans leurs petites chattes, ça me fait envie de l’avoir moi aussi.
Alors, Mama rejoint ses progénitures à quatre pattes sur le canapé et Mamadou, de se mettre en position derrière elle.
Il lui replante sa queue détrempée du jus de ses filles et, dès le premier va et viens Mama pousse un énorme soupir de satisfaction, en sentant cette énorme queue lui labourer sa chatte à fond.
Mais ce bougre de coquin de Mamadou ne va pas s’arrêter là, tour à tour, il les prend en levrette, toutes les trois et, pendant une bonne dizaine de minutes, les fait jouir autant qu’il est possible.
Mais, comme tout ce qui est bon, la gourmandise finit par l’emporter. Il est en train de baiser cette bonne Mama, qui jouit comme, il y a longtemps que ça ne lui ait plus arrivé, lorsque, dans un râle bestial, il lui décharge une première giclée, juste à l’entée de sa chatte. Quand aux autres, c’est au dessus de ses fesses dans le creux de ses reins, qu’il les déverse. Puis.
•Les filles venez goûter à la liqueur de Mamadou. Vous allez voir, comme c’est bon… !
Alors, elles se relèvent, viennent chacune d’un côté de leur mère, couverte de sperme, se penchent et lèchent le jus d’homme de leur dépuceleur.
Voilà, c’est comme ça, le respect de la tradition dans cette communauté. En tous cas, pour Mamadou, c’est avec bonheur qu’il va la respecter. Pour lui, c’est une aubaine que de dépuceler ses jeunes filles qui passent à l’age adulte, sexuellement parlant et ça, ça va être pendant une dizaine d’années.
Alors, après ce délicieux moment où Chacha et Yaya autant que Mama viennent de passer dans la case de Mamadou, elles n’ont plus qu’à lui dire un grand merci et renter chez elles.
Elles le quittent, un grand sourire sur leurs visages, preuve que ça leur a fait, vraiment, du bien à toutes les trois.