L’anniversaire de Pauline

Je suis invité par Marion pour l’anniversaire de Pauline. Et au cours de cette visite, mon regard croise une sublime créature dénudée dans la salle de bains. Je le rejoins et là, une belle histoire se développe dans l’intimité de ce lieu propice à une bonne partie de cul.

Ce samedi, j’étais invité, par mon amie, Marion pour l’anniversaire de Pauline, sa seconde fille.

J’arrive vers 20 heures à l’appartement, un bouquet de fleurs pour elle et, un paquet dans lequel est bien caché le cadeau de Pauline, qui fête ses quinze ans.

Je sonne à la porte d’entrée. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvre et là, ce n’est pas la maîtresse de maison qui m’accueille, mais mon petit bout de choux de Sandra. Sandra est la petite dernière et aussi ma filleule. Elle est folle de joie d’accueillir son tonton.

  • Bonjour mon tonton, tu sais, je suis contente que tu es venu.

  • Bonjour ma petite chérie. Alors, aujourd’hui, c’est la fête… ! Pauline est là ?

  • Oui. Elle est avec ses copines.

  • Vas me la chercher, que je lui donne son cadeau.

Sur ces quelques mots, j’entre dans le salon. Je salue les copines des filles, qui ne me connaissent pas forcément.

Sur le fait, Marion sort de sa cuisine où elle était en train de préparer en vue de fêter les quinze ans de sa fille.

Là, Pauline nous rejoint. Je lui donne le paquet cadeau, qu’elle commence à ouvrir aussitôt.

  • Bonjour tonton Vincent, merci d’être venu…

  • Ma chérie, c’est le moins que je pouvais faire ! Tiens, ton cadeau…

  • Qu’est ce que tu m’a offert tonton ?

  • Tu vas voir. Un cadeau, c’est aussi une surprise. Alors, à toi de découvrir.

Le papier déchiré laisse apparaître une jolie boite avec plein de couleurs. Elle l’ouvre avec précipitation et, quelle surprise pour cette jolie demoiselle.

  • Wahoo, merci beaucoup tonton. Je m’attendais pas à un aussi beau cadeau… !

  • Et bien, je suis très heureux que ça te plaise autant.

  • Avec ça, je vais pouvoir faire la belle quand je sortirai en ville.

L’instant passé, Sandra, qui regardait sa grande sœur ouvrir son cadeau avec envie se retourne vers moi et me demande.

  • Et moi, tonton, tu m’as rien acheté ?

  • Et non ma chérie, pas aujourd’hui. Mais tu sais que ton anniversaire c’est bientôt. Alors, ne t’en fais pas… Tonton va te gâter.

Pauline vient me faire un gros bisou pour me remercier, puis elle retourne papoter avec ses amies. Là Sandra, me prend par la main et me demande de la suivre dans sa chambre pour me faire voir les derniers joujoux que le Père Noël lui avait amené.

Je l’accompagne sans poser de question. Nous prenons l’étroit couloir qui conduit aux chambres. Lorsque nous arrivons à la hauteur de la salle de bains. La porte n’était même pas fermée. Là, mon regard est attiré par une image plutôt surprenante, et encore plus… très agréable à contempler. Je n’en crois pas mes yeux.

Devant le meuble vasque, une jolie demoiselle que je n’avais jamais vu, en tenue d’Ève, était en train de faire, je ne sais quoi, devant le miroir.

La vue de cette jeune fille m’a quelque peu troublé. Mais par politesse, j’accompagne ma choupette de Sandra jusqu’à sa chambre. La voilà qui me montre ce que le père Noël lui avait amené.

Mais mon esprit, lui, était resté au niveau de la salle de bains. Je prétexte très vite une envie d’aller aux toilettes afin de retourner au plus vite voir si la belle était encore bien là. Je laisse ma filleule s’amuser dans sa chambre.

Moi, toujours sous le charme de ce que je venais d’observer, je ressors de la chambre et me dirige, à nouveau, vers la salle de bains. La porte était, cette fois, un peu plus refermée. Mais pas suffisamment, pour que je puisse bien voir que la belle créature était effectivement toujours là et, toujours aussi dénudée.

Je m’arrête devant la porte et, passe la tête dans l’ouverture. Là, une voix s’adresse à moi.

  • Tu as besoin de la salle de bains ?

Alors, j’entre, prends bien soin de refermer la porte derrière moi et, je lui répond.

  • Oui et non. Ça dépend de toi !!! est ce que je peux ?

  • Oui. Bien sûr. Excuse moi. Je pensais être seule. Je suis nue, ça te dérange pas ? Je finis de me démaquiller avant de prendre une petite douche… Mais si tu veux, on peut parler un peu, toi et moi, pour faire connaissance. T’es d’accord ?

  • Oui. je pense que c’est une excellente idée. Moi, c’est Vincent. Je suis le parrain de Sandra. Et toi ?

  • Moi je suis Charlotte, la copine d’Amandine.

  • Ah, je vois qu’Amandine a une copine bien sympa et surtout très charmante. Si j’osais. Je te dirai même que tu me plais beaucoup.

  • Merci bien. Mais moi, je savais pas que ma copine avait un tonton aussi jeune.

  • Enfin jeune. Faut pas exagérer.

  • Pourquoi tu dis ça. Moi, je te trouve très jeune et séduisant. T’es mieux que nos copains de lycée. Ils sont bêtes et, en plus la plupart sont de vilains machos… !

Tout en parlant, je me rapproche doucement d’elle. Et, à ce moment là, elle se retourne et offre à mon regard son corps en entier. Je dois dire que je suis agréablement surpris. Cette fille est ce que l’on appelle une petite bombe. Un petit mètre cinquante ou guère plus, des yeux de biche de couleur noisette tirant sur le vert. Les cheveux longs liés en chignons, mais qui doivent lui descendre au moins à la moitié du dos. Une bouche avec de belles lèvres pulpeuses en forme de cœur. Une poitrine magnifique, deux seins bien ronds, fermes et, bien hauts, un bon bonnet C, avec deux tétons hérissés comme deux missiles prêt au décollage. Un ventre un tout petit peu arrondi et de très belles hanches. De superbes fesses bien rebondies. Et, cerise sur le gâteau un pubis totalement lisse et renflé laissant apparaître une fine fente que j’imagine déjà déguster avec ardeur.

Et là. La belle me dit d’une voix douce et un peu aguichante.

  • Comment tu me trouves ?

  • Très bien, et même encore plus… Je te croquerai bien si tu m’y autorisais… !

  • Je vois que tu comprends vite. T’es un tonton coquin, toi… !

  • Pourquoi tu dis ça? Si je t’avais pas vu. Je ne serai pas là avec toi, dans cette salle de bains, toute nue. Tu crois pas ?

  • D’accord. Je n’aurai pas dû laisser la porte ouverte…! (rires). Mais, après tout, je regrette pas. Et puis, pour rien te cacher, maintenant que tu es là, tu crois pas qu’on pourrait pas passer un bon moment toi et moi… ! Qu’est ce que tu en penses ?

  • Si tu le dis. C’est que tu avais certainement déjà une petite idée derrière la tête.

  • Oui, j’ai une grosse envie de faire un super câlin avec un homme. Un vrai… !

  • Merci pour le vrai…! (rires). Mais en te voyant, j’avais déjà compris ce que tu voulais. Je pense même que ça va très bien coller entre nous. Tu vas voir. Je vais bien m’occuper de toi… !

  • Sur ça, je suis d’accord…!, je te crois. Bon, je me jette sous la douche. Tu m’attends, ou alors, tu m’aides… Mais j’en ai pas pour longtemps.

  • OK. mais si tu veux, je peux te savonner le dos et le reste aussi… ! (rires) Si tu es toujours d’accord.

  • Ah oui. Comme ça, ça me va très bien. Viens !

Mademoiselle Charlotte rentre dans la baignoire et fait coller l’eau chaude sur elle. Puis commence à savonner son corps de déesse. Les yeux grands ouverts, je contemple cette beauté en train de caresser ses merveilleux seins puis son ventre. Ensuite elle se tourne, les fesses dans ma direction et, se penche vers l’avant pour se savonner ses jolies jambes. Quelle vue d’un coup. Je crois rêver. Voilà toute l’intimité de cette belle jeune fille qui m’est offerte. Dans la seconde qui suit, je sens dans mon caleçon une grosseur se profiler à une vitesse grand V. Et là, je ne peux me retenir plus longtemps.

  • Dis moi Charlotte. Je peux venir te savonner le dos ?

  • Oh oui bien sûr.

  • Bon. Je me mets un peu plus à l’aise et je te rejoins.

Je me débarrasse de mes vêtements. Je m’approche de la baignoire pour la rejoindre. Et bien sûr, malgré moi, j’exhibe mon sexe en érection. Là, Charlotte se retourne vers moi et, constatant l’état de la situation me dit en riant… !

  • Wahoo ! Je vois que t’es en forme !!! Quelle érection tu as ! C’est moi qui t’excite comme ça ?

  • Je sais pas… Il se pourrait bien… Car, je ne vois personne d’autre dans la pièce. Tu vois quelqu’un d’autre, toi ? (rires)

  • Non. Allez viens vite, que je m’occupe de ça ! Je vais soigner très vite cette grosse chose qui va me faire du bien… !

Je rejoins, dans la baignoire, la demoiselle et, aussitôt à ses côtés elle s’accroupit, prend mon sexe pour l’engloutir presque en entier dans sa bouche. Oh, quelle habilité… elle me suce comme une morte de faim. Il n’est plus question de lui laver le dos ou quoique ce soit. La demoiselle s’affaire sur mon bâton à la crème de vanille presque à me faire gicler. En moi même, je me dis. Qu’est ce que c’est bon. Voilà une petite nana, de tout juste 16 ans, qui se débrouille comme une vraie pro… Une fois cet instant passé, je lui propose de lui rendre la monnaie de sa pièce. Elle relâche l’instrument pour un court instant. J’attrape une sortie de bain, qui était accrochée juste à côté de la baignoire. Je la pose sur le sol et, m’y allonge, dessus, sur le dos. Ma belle partenaire vient se mettre à califourchon sur moi de façon à pouvoir lui lécher sa fente brûlante. De son côté, elle, reprend le travail qu’elle avait si bien mené jusqu’à présent. Pas plus tôt remise au boulot. La jeune fille se met rapidement à gémir sous l’effet de mes coups de langue. Notre petit manège va nous emmener à une jouissance mutuelle. Arrivé à l’extase, je lui déverse une grosse giclée de sperme dans la bouche, qu’elle s’empresse d’avaler. Quand à moi, je me délecte, encore un peu, de son jus qui me dégouline, aussi, dans la bouche. Dieu que c’est bon… !

Puis.

  • On va pas en rester là ? Moi, j’ai envie d’autre chose. Je veux que tu me fasses l’amour et que tu me fasses bien jouir.

  • Oh, attends ma cocotte… Moi non plus, je ne veux pas rester sur ma faim. Là, on n’est qu’à l’apéritif qu’est ce que tu crois ?

  • Ah, comme ça… ça va mieux ! J’ai eu peur que tu me laisses sur ma faim, moi aussi.

  • Non pas question. Je te fais tout ce que tu voudras. On est tranquille là. Personne va venir nous chercher ici. Tu crois pas ?

  • Oui.

Enfermés dans notre salle de bains, nous entendions ça et là les échos de la fête qui se déroulait au salon. Ça riait, ça criait, ça chantait aussi. Et, je pense que personne, même, ne s’était aperçu de notre absence. En tout cas, nous, ça ne nous dérangeait pas le moins du monde.

Enfin, comme dit le forgeron, il faut battre le fer quand il est chaud. Alors, très vite, nous reprenons notre activité. Après une mini toilette, sexuelle surtout, nous voilà à nouveau en plein effort. Charlotte, elle, se charge de remettre le bâton debout et, moi, je me remets à lui déguster son bouton d’amour au milieu de sa vulve toute lisse. Puis, la demoiselle prend appui sur la vasque, écarte largement ses jambes et me dit d’un air décidé:

  • Maintenant, c’est à toi. Plantes moi ta grosse banane dans ma petite chatte et, fais moi monter au ciel.

Après cette demande explicite, je ne lui répondis pas. Je me contente, avec un immense plaisir, d’exécuter son désir.

Je présente le bout du marteau niqueur, oh pardon, piqueur à l’entrée de sa fente toute dégoulinante de mouille et, hop, me voilà à l’intérieur d’une fournaise, d’un volcan ou je ne sais pas comment appeler ce sexe, tellement c’est incroyablement excitant. A peine ma verge a commencé ses vas et viens que la belle Charlotte entame cette divine chanson dont les paroles ne sont que Ah, Oh, Hum c’est bon et autre Oh my god, ou encore vas y… ! Bref la demie heure qui suit n’est que pur bonheur, tant pour elle que pour moi. Même, après avoir passé en revue les principales positions, Charlotte n’a, toujours, pas l’air rassasié. Et à ce moment, me demande.

  • Dis moi, j’ai envie de te donner ma virginité… !

Je suis surpris. Car après lui avoir limé pendant, bien plus, d’une demie heure sa fente. Je lui répond.

  • Comment, ta virginité… ! Après ça, je ne pense pas que tu sois encore vierge, quand même.

  • Non gros bêta que tu es. Oh, excuses moi… ! C’est pas ce que je voulais dire. C’est mon petit trou qui, lui, est encore vierge.

Alors là, je pars à rire et.

  • Ah OK, je n’étais pas connecté correctement. S’il n’y a que ça pour finir de te combler. Il n’y a aucun problème.

  • Merci. Je savais que je pouvais compter sur ta gentillesse.

Alors, je retire le manche de pioche de sa vallée des merveilles. Avec sa mouille que je récupère de sa moule, je lui prépare son petit orifice en m’appliquant bien pour ne pas lui faire trop mal lors de la pénétration. Une fois bien dilaté, je lui propose cette délicate opération. Bien cambré sur les jambes, les fesses largement ouvertes, il ne me reste plus qu’à frapper à la porte pour pouvoir y entrer. Tout en douceur. Après quelques tentatives, la grosse banane pénètre, lentement, la petite rondelle étoilée. Sa défloration se passe plutôt bien. Son orifice anal s’ouvre largement, à la mesure de ma verge plutôt importante. Peu à peu, elle s’enfonce dans l’inconnu de ce trou noir. Après une partie de vas et viens bien ininterrompus et de gémissements bien assidus, nous sommes partis, Charlotte et moi, dans une nouvelle jouissance extrême. Je lui décharge, à nouveau, un flot de ma semence à l’intérieur de son intimité.

Quelques instants après.

  • Alors ma petite chérie, tu as trouvé ça comment?

  • Super… J’avais peur. Mais, merci, tonton Vincent (rires). Je viens d’accomplir un fantasme que je n’aurai pas réalisé avec un garçon de mon age. Il sont trop brute. Avec toi, ça a été fantastique. Merci encore mille fois.

  • Pour moi, Charlotte, ça a été plus qu’un plaisir de faire l’amour avec toi. Et tu vois, si tu es d’accord, on pourrait se revoir plus souvent.

  • Bien sûr. C’est quand tu veux. Je te donnerai mon numéro de téléphones tout à l’heure.

  • Oui bien sûr. On va retourner au salon, et on va bien trouver de quoi écrire.

Bref, nous nous refaisons une beauté, surtout Charlotte, nous nous habillons et, nous rejoignons toute la petite troupe au salon, qui était encore en train de festoyer.

Pratiquement personne ne s’était aperçu de notre disparition, si ce n’est Marion qui, discrètement m’entraîne dans la cuisine et me demande où nous étions passés Charlotte et moi.

Ce à quoi, je lui répond.

  • Et bien, c’est assez simple. Sandra m’a emmené dans sa chambre pour me montrer ses cadeaux de Noël, et en passant devant la salle de bains, vu que la porte n’était pas fermée, mon regard de filou s’est fixé sur cette jeune fille nue devant la glace, entrain de faire je ne sais quoi. Voilà, c’est comme ça que Charlotte et moi nous nous sommes retrouvés dans la salle de bains. Nous avons parlé et puis, de fil en aiguille, les choses faisant, la température s’est élevée beaucoup trop. Nous avons trouvé que nous avions quelques atomes crochus. Puis, je lui ai proposé de lui frotter le dos, Alors, je me suis mis dans la même tenue qu’elle. Et pour finir, comme j’ai eu une érection énorme, nous avons sauter sur l’occasion. Elle s’est occupée de mon sexe et moi du sien. Voilà, c’est aussi simple que ça.

Marion, n’a pu s’empêcher de partir dans un fou rire, puis finit par me répondre.

  • Et bien mon cochon. Je n’aurai jamais pensé qu’une aussi jeune fille t’aurait fait chavirer comme ça. Tu ne m’as jamais proposé ce genre de chose à moi… ! Mais t’inquiètes, tu perds rien pour attendre. La prochaine fois que tu viens me rendre visite, ce sera à mon tour de te faire basculer.

  • Ok, Marion… Mais tu vois, je ne savais pas comment aborder le sujet avec toi. Ça fait tellement longtemps qu’on se connaît…

  • C’est vrai… Mais maintenant, que tu viens de me raconter cette aventure avec Charlotte, les choses ne sont plus pareilles !

  • Oui Marion. Je te promets que je viendrai te voir bientôt.

Quelques instants plus tard, les invitées de la petite fête parties, je prends congés de mon amie Marion. J’embrasse les filles, sans oublier celle qui m’avait donné autant de plaisir. Je quitte la maison, avec le numéro de téléphone de Charlotte, et plein de paillettes dans les yeux.

Moralité de l’histoire. Les rencontres les plus improbables sont très souvent les meilleures.

Histoire de Zizoulabellequeue.