Je la regarde. Son désir se lit sur son visage couvert de ma semence. Elle ouvre la bouche pour me montrer mon sperme puis l’avale avec un air gourmand. Je lui demande :
« – Tu crois que tu vas pouvoir me faire rebander pour t’enculer ? »
Elle hoche vigoureusement de la tête. Je souris :
« – Moi aussi, je le crois. Tu es tellement chienne… »
Je ramasse le bandeau et lui mets sur les yeux. Elle attend docilement. Je lui dis alors de se pencher en arrière. Elle obéit. Elle se cambre, sa tête pendant dans le vide, ses cuisses écartées. Elle décolle légèrement ses genoux du sol et son corps ne tiens plus que sur ses mains et ses orteils. Je me masturbe en la regardant. Ma verge ramollit à peine. Elle m’excite trop. Oui, je vais certainement la sodomiser très bientôt… Je regarde sa chatte ruisselante de désir. Je m’approche. Je glisse mes doigts dans son intimité. Elle trésaille et pousse un long gémissement. Tout son corps se tend. Elle va jouir. Elle se cambre encore plus et ses seins tombent vers son visage. Je lui dis d’essayer de les lécher. Elle n’y arrive pas. Je l’autorise alors à se rasseoir et à utiliser sa main. Elle pose ses fesses au sol et soulève son sein. Mes doigts continuent à la caresser et elle ne peut se retenir de faire de léger mouvements de hanches. Elle parvient à lécher son sein et en atteint même le téton. Je la félicité en plantant mon doigt tout au fond d’elle. Elle pousse un râle. Je me penche alors et ma langue la lèche avant de s’enfoncer en elle. Elle jouit. Son corps est secoué de spasme. Elle tombe en arrière, ses bras n’arrivant plus à la maintenir. Je la lèche goutant sa mouille abondante. Puis je la masturbe violemment en regardant son visage crispé. Je lui dis alors qu’elle a le droit de se toucher. Elle obéit immédiatement, se jetant sur son propre corps. Elle se maltraite la poitrine, enfonce ses doigts dans sa chatte. Je crains même un instant qu’elle ne se dépucèle toute seule. Mais elle commence alors à se doigter l’anus. Je la regarde en me masturbant. Je suis dur et excité à nouveau. Je lui dis alors de se relever. Elle m’ignore. Ou ne m’entend pas. Elle continue à se masturber l’anus comme une folle. Je me penche vers elle et la gifle. Puis je me relève et lui écrase le visage au sol avec mon pied. Je lui dis calmement mais avec fermeté :
« – Je te rappelle que tu es là pour mon plaisir, pas le tien. Arrête immédiatement de te toucher ! »
« – Désolée… »
Elle écarte ses bras avec réticence. Ses muscles sont crispés, elle se bat contre son envie de se masturber. Sa chatte ruisselle toujours autant. Je sais qu’elle aime qu’on la frustre. J’ôte mon pied et dis :
« – Tu es décidément bien peu docile… Mérites-tu vraiment que je t’encule ? »
Elle m’attrape la jambe et gémis :
« – Non ! Je serais docile ! Encule-moi, par pitié ! »
Je la regarde, hypnotisé par cette chienne en chaleur qui m’agrippe de toutes ses forces. Je dégage ma jambe sans ménagement et elle tombe au sol en sanglotant. Heureusement qu’elle a les yeux bandés sinon elle saurait que je bande comme rarement et que je ne risque pas de refuser de la sodomiser… Je lui dis :
« – Bon. On verra. Lève-toi. »
Elle obéit docilement, prenant bien garde à ne pas effleurer ses seins ou sa chatte de peur d’être punie, d’être privée de mon sexe. Je la regarde. Enfin je lâche un laconique :
« – Suis-moi. »
Elle ne sais pas où je vais. Mais elle devine que je dois me diriger vers la chambre. Elle avance lentement, guettant le bruit de mes pas, de mon souffle. La savoir ainsi perdue m’excite encore plus. Surtout que nous sommes dans son appartement… Enfin j’arrive à la chambre. Elle met un peu de temps à y arriver. Elle reste sur le pas de la porte. Je grogne :
« – Qu’est-ce que tu es lente ! »
Je lui attrape le bras et la tire vers le lit. Je lui accroche les poignets dans le dos puis lui attrape la nuque pour la plaquer sur le lit. Je dis d’un ton autoritaire :
« – A genoux ! »
Elle obéit. Son cul m’appelle. Mais je me retiens, m’assois à côté d’elle et lui demande :
« – Tu veux quelque chose ? »
« – Oui. Ta bite dans mon cul. »
« – Vraiment ? »
« – Oui, j’adorerais que tu me viole l’anus. »
« – Ca te fais mouiller rien que d’y penser ? »
« – Oui. »
« – Tu pourrais jouir rien qu’en t’effleurant la chatte tellement ça t’excite ? »
« – Oh oui ! »
« – Bon alors pas besoin que je t’encule alors. »
« – Si ! S’il te plait. Par pitié. Tu ne peux pas me laisser comme ça ! »
Elle essaie d’ouvrir ses fesses malgré ses mains attachées et ajoute :
« – Regarde comme mon cul t’appelle ! Il a besoin de toi ! Que tu le défonces bien profond ! S’il te plait, mets-y ta queue, tu verras tu vas adorer ! »
Je lui claque la fesse, elle trésaille. Je dis :
« – Mouais, je sais pas… J’ai pas trop envie en fait. »
Je sens des sanglots dans sa voix lorsque répond :
« – Je ne comprend pas… Tu m’avais dit que tu avais très envie de m’enculer ! S’il te plait … Je te sucerai si tu n’es pas assez dur ! »
Je regarde mon sexe en souriant : je suis bien assez dur comme ça. Je me lève et me place derrière elle. Elle ne me vois pas, ne me sens plus près d’elle. Elle hurle :
« – Non ! Reviens ! Encule-moi ! Je serai docile ! S’il te pl… »
Ma queue interrompt ses complaintes. J’ai saisi ses hanches et l’ai planté d’un coup. Elle a un grand cri :
« – Oh oui !!! »
Il y a beaucoup de douleur dans sa voix mais elle est à nouveau secouée de spasme. La frustration lui fait vraiment de l’effet. Je souris en la ramonant vigoureusement. Elle hurle à tue-tête, gémis de douleur et de plaisir. Je lui demande :
« – Alors ? Heureuse ? »
« – Oui… C’est bon… Défonce-moi ! »
Je souris, lui claque la fesse et dis :
« – Pas de souci… »
Je l’encule longuement, savourant ses cris, sa douleur. Je pose une de mes mains au creux de ses reins et tire sur sa chevelure avec l’autre. Elle se retrouve forcée de plier son dos. Elle souffre mais me réclame encore plus. Je la lime sans ménagement. Enfin je sors d’elle, me place sur le côté et tire soudainement sur ses cheveux. Elle se retrouve agenouillée, penchée en arrière, le poids de son corps reposant sur la racine de ses cheveux. Je lui dis alors :
« – Suce. Viens apprécier le goût de ton cul. »
Je la relâche. Elle tombe en arrière et a bien du mal à se redresser sans l’aide de ses mains. Elle y parvient enfin et cherche ma queue, la bouche béante. On dirait un poisson rouge. Enfin elle la sens contre sa joue. Elle saute dessus, l’avale goulument, la lèche, la savoure. Je ris :
« – Alors ? Ca a le bon goût de ta merde, non ? »
Elle répond, le souffle court :
« – Oui. De mon sang aussi, on sent que tu m’as bien défoncé. »
Je souris :
« – Tu sais ce n’est pas fini… »
Elle ne répond pas, me suces avec plus d’ardeur. Je lui caresse les cheveux puis les saisis et la jette à nouveau sur le lit. Elle veux se remettre à genoux mais je la tire parle bras, l’entrainant sur le lit. Je la mets sur le dos et lui plaque les jambes le long du corps. Je prends les menottes en cuir et lui accroche les cheville derrière la nuque. Je l’observe quelques instants. Elle guette, cherche à savoir ce qui va lui arriver. Je lui plante ma verge dans la bouche la pilonne un peu. Puis je me recule à nouveau. Elle reste en attente, frémissante. Je doigte sa chatte, pousse sa jambe de la tête pour lui téter le sein. Elle est tellement humide que mes doigts sont aspirés. Elle gémit :
« – Encule-moi, encule-moi… »
Je saisi alors ses jambes et les tire vers la tête du lit, rendant plus accessible son anus. Je m’y glisse sans peine et elle hurle sa jouissance. Je la ramone, mon torse contre ses jambes. Elle crie à tue-tête. Puis elle devient bizarrement silencieuse, retenant sa respiration. Elle pousse alors un long râle et je sens la jouissance la prendre alors que son corps est secoué de spasme. J’en profite pour la prendre plus fort, plus profond. Elle ne résiste pas, m’accueille en elle. Mon sexe est tendu à l’extrême. Son excitation est communicative et je sens que je vais jouir. Je lui caresse le visage et lui murmure à l’oreille :
« – Je vais te remplir, salope. »
Elle hurle :
« – Oui, oui ! »
Je me vide en elle dans un ultime et violent coup de rein. Elle pousse un gémissement assourdissant :
« – Oh oui !!! C’est trop bon !!! Encore !!! »
Je ressors d’elle et m’assois. Elle me réclame :
« – Où es-tu ? Reviens dans mon cul ! »
« – Pas envie. »
« – S’il te plait. »
« – Non. »
Elle sanglote. C’est pas possible d’être aussi affamée… Je lui demande :
« – Tu as pris ces fameuses pilules ? »
« – Non. Allez viens m’enculer, tu ne le regretteras pas ! »
J’ai du mal à la croire, elle est si salope. Je soupire et lui plante un plug dans le cul et un gode dans la chatte. Elle soupire d’aise :
« – Oui ! Joue avec mon corps ! »
« – Non. Tu n’as qu’a serrer et desserrer tes orifices pour te caresser avec tes toys. »
Je la vois qui s’y efforce. Elle dit alors :
« – Non, je veux que tu me caresses, que tu me prennes… C’est tellement meilleur ! Laisse-moi goûter ta queue ! »
« – Je ne bande plus. »
« – Ce n’est pas grave, viens te faire sucer par ta pute ! »
« – Bon moi je dois te laisser quelques instants. »
« – Détache mes mains que je puisse me toucher ! »
« – Non. »
« – Alors reste là, je veux te sentir tout prêt, savoir que tu me prendras dés que je t’aurais excité de nouveau. »
« – Je dois aller pisser, désolé. »
« – Alors pisse-moi dessus, ne me laisse pas seule ! »
Je la regarde. Quelle chienne ! Je lui demande :
« – Tu veux vraiment ? »
« – Oui. tout pour te garder à mes côtés, pour sentir ta verge prés de moi. »
« – D’accord. »
Je me place face à elle. Puis une idée me vient. Je m’approche de son visage et met ma queue dans sa bouche. Je m’attend à ce qu’elle refuse, dégoutée. Mais non. Elle me suçote en me disant de me laisser aller. Je suis figé. Ca me dépasse. Je commence à uriner. Elle avale sans même que je lui demande. Je me soulage et elle lèche mon gland quand j’ai fini. Je demande machinalement :
« – C’était bon. »
« – Oui. Moins que ton sperme ou ta queue, mais bon. »
« – T’es vraiment une truie. »
« – Oui. Ta petite truie. Tu ne veux toujours pas m’enculer ? »
« – Non, pas tout de suite. »
« – Alors j’attendrais. »
Elle se remet à sucer ma queue molle, toute heureuse de l’avoir à sa portée. Je la regarde. Oh oui, je vais l’enculer. Et pas seulement. Avec elle je vais pouvoir faire tout ce que je veux …
Proposée par Talis Cat