Une femme découvre les plaisirs du sexe… Et s’avère être très salope !
Marie. Nous avons fait connaissance il y a un peine un mois. Nos discussions coquines étaient tellement chaudes que j’ai eu du mal à croire qu’elle était vierge. Mais ca n’avait pas d’importance. Enfin jusqu’à maintenant. Parce qu’aujourd’hui je suis en train de me diriger vers son appartement. Elle ne m’a pas invité pour la déflorer. Non, elle m’a invité pour que je la viole, que je la prenne aussi violemment que possible. J’ai un peu hésité, c’était sa première fois après tout. Mais elle m’excitait trop. Alors j’ai imaginé un petit scénario, une mise en situation pour le week-end qui s’annonçait torride. J’allais lui déchirer le cul. Peut-être même que j’en oublierais de la dépuceler… On a fait nos courses ensemble sur un magasin en ligne. Des menottes, des bougies, une cravache, un gode spécial pour l’adapter sur ma queue et lui faire une double pénétration, un plug, d’autres godes, une autre paire de menotte, en cuir cette fois-ci, un collier et une laisse, de la lingerie sexy. Je ne sais pas si on utilisera tout mais j’ai préféré être prévoyant… Elle a voulu prendre un aphrodisiaque, pour être encore plus chienne mais je ne pense pas qu’elle en aura besoin… Elle paraissait déjà si excitée à l’idée de se faire prendre. J’ose à peine imaginer ce que donnerait le résultat. Ou plutôt je l’imagine très bien et ca me fait bander…
Je vais bientôt arriver, il va être temps de commencer. Je sors mon portable et l’appelle. Elle décroche. Je dis simplement :
« – J’arrive. Prépare-toi. »
Puis je raccroche. Je l’imagine tout excitée en train de suivre mes instructions. D’abord elle se déshabillera. Puis elle ira mettre la clé des menottes et de son appartement sous son paillasson. Je lui ai dis de ne pas se presser, de rester dehors aussi longtemps que possible. Je l’imagine regardant partout, guettant des bruits de pas. Puis elle se mettra des boule Quiés, s’accroupira près du radiateur et se bandera les yeux avant de s’y menotter. Je veux qu’elle ne sache pas quand je vais arriver. Que le premier contact soit celui de mon gland sur ses lèvres. Me voilà devant sa porte. Je soulève le paillasson et souris : Les clés sont là. Je remarque une goutte par terre. Je suis sûr que c’est sa mouille : la salope est déjà très excitée. J’entre. Elle est là, attachée au radiateur, les lèvres légèrement entrouverte. Je lance :
« – Salut, ma pute ! Je viens te déchirer. »
Pas de réaction, bien. J’ajoute pour être sûr qu’elle ne fait pas semblant :
« – J’ai amené une dizaine de mecs qui avaient très envie de t’enculer aussi. »
Toujours pas de réaction. Je m’accroupis non loin d’elle et scrute son corps. Ses seins sont aussi jolis que sur ses photos. Non, plus jolis. J’avance ma main mais stoppe mon mouvement : il ne faut pas qu’elle devine que je suis là. Je la vois bouger pour détendre sa jambe engourdis. Je n’ai pas besoin de me masturber : je suis déjà dur. Je sors ma queue et l’approche lentement de son visage. Elle tourne la tête un instant. Je m’arrête et attend. J’avance légèrement et mon gland frôle sa joue et se glisse entre ses lèvres quand elle tourne à nouveau la tête vers moi. Elle est surprise quelques secondes. Puis elle commence à me lécher. Enfin elle m’avale, fait avancer et reculer sa tête. Je lui ôtes ses boule Quiés et dis :
« – Bonjour, ma pute, tu aimes ma queue ? »
« – Umm, umm… »
« – Bon, c’est bien. Tu vas l’avaler profond alors. »
Je saisis sa tête et la force à me prendre au fond de sa gorge. Je sens qu’elle se retient de vomir, qu’elle n’arrive plus à respirer. Mais ses lèvres viennent malgré tout se placer contre mon aine et sa langue me lèche toujours. Alors je commence à lui faire faire des va et viens. Un obscène bruit de succion retentit. Je pousse un râle et grogne :
« – Umm… Tu suces bien, ma salope. »
Je relâches sa tête, elle tousse, reprend sa respiration, bave. Je caresse son visage en la félicitant, en lui disant qu’elle est une bonne pétasse. Ca l’excite, je le vois bien. Alors je la saisis sous les aisselles et la fait se relever légèrement. Ses gros seins caressent mes cuisses puis mon ventre. Ma verge vient se loger entre eux. Je fais de petit mouvement de hanche. Je lui annonce :
« – Tu sais, je vais me branler dans ta belle poitrine. »
« – Fais donc, elle est là pour ça. Mon corps t’appartient, utilise-le comme bon te semble. »
Je lui caresse les cheveux :
« – C’est bien, tu as compris que tu étais ma chienne docile. »
Elle penche la tête en avant pour me suçoter le gland et dit :
« – Oui. D’autant plus docile que je sais que tu me baiseras bien et que je prendrais beaucoup de plaisir à être ta chose. »
Je souris en savourant la sensation de sa langue :
« – Umm… Tu vas être déchirée, ne t’inquiète pas. »
J’enserre alors mon sexe entre ses seins et commence à coulisser entre eux. Sa tête est toujours penchée en avant, léchant ma verge au passage. Je détache les menottes et lui dis :
« – Tu es libre maintenant. Libre de serrer toi-même tes seins, de me masturber, de me donner du plaisir. Profites-en. »
Elle obéit docilement. Elle commence par se baisser à nouveau et plaque ma hampe sur mon ventre. Sa langue lèche mes bourses puis remonte lentement le long de ma queue. Elle fait cela plusieurs fois, massant mes couilles avec son autre main. Puis elle me lèche le gland, le suçote, le fait glisse sur ses lèvres, le mordille gentiment. Je ne cesse de lui caresser les cheveux en l’encourageant. Elle remonte sa poitrine et cette fois-ci c’est elle qui la fait monter et descendre le long de mon membre. Je lui ôte son bandeau. Elle fixe mon sexe qui monte et descend, lèche mon gland et dit :
« – Tu as une très belle queue. Elle est douce et elle a bon goût aussi… »
« – Merci, ma pute. »
« – J’ai hâte de la sentir en moi. Je suis sûre que je vais jouir comme une folle. »
« – Tu veux que je t’encule ? »
« – Oui, je te l’avais dis, non ? Que je mouillais à l’idée de me faire défoncer l’anus. »
« – C’est vrai. J’avais du mal à croire que tu puisses être vierge et aussi salope d’ailleurs. »
« – Et maintenant ? »
Je souris :
« – Je n’ai plus aucun doute : tu es une salope finie affamée de sexe. »
« – Merci, je suis heureuse que tu t’en aperçoives. »
Elle a alors entrepris d’avaler ma verge. Je n’ai pas eu à la forcer cette fois-ci. J’ai poussé un grand soupir :
« – Umm… Vas-y, c’est délicieux… »
Sa langue a caressé mon membre. Puis elle a fait quelques va et viens. Enfin elle a libéré mon membre et repris sa respiration en me masturbant. Elle m’a regardé. Elle avait les yeux embués de larmes d’avoir été étouffée mais son regard était celui d’une chienne en chaleur : elle en voulait plus. Elle a recommencé à me masturber entre ses seins. Je lui ai caressé la poitrine et pincé le téton en disant :
« – Je crois que je ne tiendrais pas. Je vais t’enculer dés maintenant finalement. »
« – Non ! Je veux goûter ton sperme, le sentir couler sur moi et dans ma gorge ! »
J’ai froncé les sourcils :
« – Je croyais que tu étais au service de mes désirs ? »
Elle a rougit comme une gamine. Ca m’a excité. Elle a bafouillé :
« – Dés… Désolée… Mais j’avais tellement envie… »
Elle avait arrêté de faire bouger sa poitrine et ses mes mouvements de hanches qui me branlait entre ses seins. Elle avait toutefois toujours la tête penchée, sa langue me caressant au passage. J’ai demandé :
« – Envie de quoi, ma salope ? »
« – Envie de ta queue. Envie de ta semence. Envie de me sentir couverte par toi. Ca m’exc… »
Je l’ai coupée en donnant un grand coup de rein qui a planté ma bite dans sa gorge. J’ai commencé à la pilonner. Cette fois-ci j’ai à nouveau ressenti qu’elle avait du mal à m’accepter au fond de sa gorge. Etait-ce parce que je l’avais pris par surprise ? Ou était-elle moins excitée ? Je m’en fichais, je voulais juste la sentir me lécher la queue pendant que je violait sa gorge. Je lui ai crié dessus :
« – C’est ça que tu veux, sac à foutre ? Tu veux que je te défonces la gorge et que je jutes en toi ? Tu préfères à te faire enculer ? »
Elle ne pouvait évidemment pas répondre. Mais mon déchainements l’excitait terriblement. Je le sentais à sa langue sur mon membre et à ses doigts glissant entre ses cuisses largement écartées. Elle se masturbait violemment. J’ai crié de nouveau :
« – Qui t’a autorisé à te toucher ? Arrête immédiatement ! »
Elle a obéi, terriblement excitée. Sa mouille luisait sur sa chatte et perlait sur le sol. J’ai attrapé ses cheveux et violemment tiré sa tête en arrière. Je lui ai craché au visage. Elle tentait de reprendre se respiration. Je ne lui en ai pas laissé le temps, la saisissant à la gorge, l’étranglant. elle avait la bouche entrouverte et j’ai craché dedans. Puis je lui ai demandé :
« – Réponds à ma question, sale pute ! Ta bouche ou ton cul ? »
Elle était au bord de l’inconscience. Le manque d’air ou la jouissance ? Probablement les deux… Elle a répondu d’un ton faible, les yeux dans le vague :
« – Je m’en fiche. C’est toi qui décide. Je jouirais de toutes façons : j’aime tout ce que tu me fais. »
« – C’est bien, grosse salope. »
Je l’ai relâché et j’ai commencé à me branler devant son visage. Elle a peu à peu repris ses esprits et a commencé à dire :
« – Vas-y, jute-moi à la gueule, couvre-moi de sp… »
Un premier jet a coupé sa phrase. Il est atterri juste sous son œil, coulant le long de son nez. J’ai ricané :
« – Ta gueule, pétasse. Tu es là pour bouffer mon jus, c’est tout. »
Elle a docilement ouvert la bouche et tiré la langue alors que le deuxième jet atterrissait sous sa joue et coulait vers ses lèvres. Elle l’a léché. Je me suis dirigé vers sa bouche. Un autre jet lui arrive sous le nez, bouchant une de ses narines. Le sperme goutte sur sa langue. Puis un autre lui couvre le palais. Elle referme sa bouche autour de mon membre. Il n’y a pas de cinquième jet, juste un peu de semence qui coule. Je lui dis :
« – Il semblerait que tu ne puisses pas goûter beaucoup de mon jus finalement… Tu dois être déçue ! »
Elle ne dis rien, suce plus fort, entoure ma verge de sa langue. Cela réactive mon désir et j’ai un dernier jet, puissant. Je souris :
« – Quelle salope ! Tu arrives toujours à avoir ce que tu veux finalement ! »
Proposée par Talis Cat