La veille du mariage de Carlita

C’est la fête dans la famille. Nous avons étés, ma femme et moi, invités au mariage de Charlène dont le surnom est Carlita. Elle est l’aînée des trois filles de sa sœur Viviana.
La veille, alors que nous sommes chez elle où, une coiffeuse est venue coiffer les trois femmes de la maison, tout se déroule dans la joie et la bonne humeur quand soudain, ma femme m’appelle.

Dis moi mon chéri, tu veux bien aller à l’hôtel, j’ai oublié de prendre la crème pour mes cheveux ?
Bien sûr ma chérie ! Et, elle est où ?
Dans la trousse de toilette dans ma valise.
D’accord. Je vais te chercher ça mon cœur !

Mais, comme je ne connais pas assez bien la ville, pour y aller seul, je demande à Angelina de m’accompagner. Angelina est la fille d’une nièce de ma belle sœur. Donc, une parenté plutôt éloignée pour moi qui, ne suit qu’une pièce rapportée à la famille. Mais, ça n’empêche pas que depuis que je suis arrivé à Mada, nous avons, Angelina et moi, des rapports très sympathiques, voire tendres de temps à autres.

Bref, Angelina est une jolie métisse qui vient de fêter son dix huitième anniversaire, il y a quelques jours. Et, à cette occasion, je lui ai offert une très jolie parure, boucles d’oreilles, bracelet et collier, qui lui va a ravir

Revenons à la question du moment. Nous quittons la maison, direction l’hôtel en Bajaz, le moto taxi malgache. Quelques minutes plus tard, nous arrivons devant la porte de la chambre, nous entrons et là, Angelina se jette sur le lit et me lance avec un large sourire qui, peut me cacher quelque chose que j’ai du mal à saisir sur le moment.

Tonton, ça fait longtemps que je voulais te parler de ça. Maintenant, que nous sommes tous les deux, je voudrai te raconter quelque chose !
Oui ma chérie, je t’écoute. Qu’est ce que tu veux me dire ?
Tu sais, à la maison chez maman, la chambre où tu dors avec tata.
Oui ma chérie. Qu’est ce qu’il y a ?
Et bien, quand vous faites l’amour, j’entends tout !
Oh ?
Oui…, parce qu’il y a que la porte qui nous sépare ! Et, la porte n’est pas très épaisse… Alors… ! (rires)
Ah d’accord… ! Comme ça tu nous accompagnes. (rires)
Oui, mais je suis pas la seule, Antonia aussi participe.
Alors si je comprends bien, vous vous masturbez pendant que tata et tonton se donnent du plaisir… ! Vous êtes deux belles cochonnes.

Et là, nous partons à rire tous les deux. Puis.

A ça alors, ma petite nièce… !
Oui, je reconnais… ! Mais, c’est un peu de votre faute aussi !
Bon, je te demande de nous excuser. Je pouvais pas savoir… !
T’excuse pas tonton. Parce que ça nous a permis de nous faire plaisir Antonia et moi.
Ben oui. Vu comme ça !

Puis, sans ajouter un mot, elle se relève, me saute au cou et me roule un de ces patins que j’en reste bouche bai.

Et puis, remis de ma surprise.

Heum… ! Qu’est ce que tu embrasses bien ma chérie ?
Merci tonton. Toi aussi.
Et, est ce que tu veux autre chose ?
Oui tonton. J’ai envie de faire l’amour avec toi !
Là maintenant ?
Pourquoi pas ! En plus, ça fait longtemps… !
Et bien d’accord. C’est tellement bien demandé, que c’est quelque chose que je ne peux pas te refuser… !
Merci tonton !
Par contre, tu sais qu’on a pas beaucoup de temps !
C’est pas grave… ! Mais, fais moi plaisir. J’en ai très envie.

Sans ajouter plus de précisions, j’entame, délicatement, l’effeuillage cette jolie fleur. Que cela m’est agréable. Outre qu’elle est, déjà, super mignonne quand elle est habillée, avec sa magnifique chevelure noire ondulée, ses grands yeux noirs et sa peau chocolat au lait, je découvre le corps d’une jeune fille aux courbes magnifiques. Ce n’est plus la petite fille que j’ai déviergée, il y a déjà au moins trois ou quatre ans. Après, lui avoir dégrafé sa chemisette, j’aperçois une magnifique poitrine haut perchée. Les petits tétés moussus d’autrefois sont devenus, deux bien jolis lolos, même s’ils sont d’une taille moyenne, au premier regard, certainement quatre vingt cinq B.

Après l’avoir allégé de sa chemisette, pour lui caresser ses deux monts blancs et lui suçoter ses petits tétons rosés et aux larges aréoles brunâtres qui, se raffermissent et s’érigent rapidement vers l’avant. Quelques caresses plus tard, je lui ôte sa jupette plissée et sa petite culotte. Là, nouvelle surprise. Tiens, Angelina se rase sa petite minette. Elle m’offre une très belle vulve bien bombée et une belle chatte, magnifiquement, dessinée avec une superbe fente laissant apparaître, dans sa partie supérieure, le capuchon d’un clitoris relativement charnu. Magnifique, magnifique ! J’en ai les sens tout chamboulés.

Donc, après avoir observé cette beauté quelques longues secondes, je me hâte pour lui faire honneur. Mes mains viennent aussitôt caresser, tour à tour, ses seins, son petit ventre arrondi, ses cuisses et ses fesses. Ce qui commence à faire réagir ma petite nièce. Et là.

Oh tonton…, que tu as les mains douces ! C’est bon ça… ! Ça me donne chaud dans tout le corps !
Mais ma chérie, c’est justement fait pour ça… ! C’est ce que tu avais envie ?
Oui tonton !

Puisqu’elle a l’air d’être dans de bonnes dispositions, continuons comme ça. Après ces premières caresses, c’est ma bouche et ma langue qui entrent en action. Je commence par l’embrasser. Nous échangeons un long baiser langoureux. Puis, à tâtons, je poursuis mon exploration, en suçotant, ses seins, son petit ventre rond, l’intérieur de ses cuisses. Et enfin, je reviens lentement vers son pubis que, je cajole longuement avec soin. Après ces premières friandises, juste pour lui donner l’avant-goût de ce qu’il va suivre, Angelina commence à gigoter sérieusement sur le lit, et.

Ça va bien ma chérie ?
Oooh oui tonton, ça va bien ! Tu m’as fais partir dans les nuages… ! Et toi ?
Aussi ma chérie. Mais dis moi, tu veux bien t’occuper, un peu, de mon jouet ? Il commence à se trouver à l’étroit dans son caleçon… !

Sans dire mot, elle se lève du lit, se met à genoux devant moi, défait la ceinture de mon pantalon, dégrafe la braguette et le fait glisser jusqu’à mes pieds accompagné de mon caleçon. Aussitôt que celui-ci a relâché mon sexe, tel un diable qui sort de sa boite, il lui saute pratiquement au visage. El là, les yeux écarquillés par la surprise, elle m’envoie comme ça.

Wahoo tonton… ! Il est toujours aussi beau et toujours aussi gros ton pénis ! Je comprends pourquoi tata se régale autant, quand vous faites crac crac… !
Pourquoi ? C’est toujours le même… !
Bien sûr… ! Mais tu sais, depuis que tu m’as dépucelé, je n’ai plus eu la chance de jouer avec. Ça fait déjà au moins trois ans. Tu te souviens ?
Bien sûr, ma chérie, que je m’en souviens… ! C’est quelque chose qu’on ne peut pas oublier comme ça… ! Quel délicieux moment on a passé… !
C’est vrai tonton. Ça a été merveilleux !

Puis, elle le prend dans sa main pour bien le masturber. Quelques va et vient plus tard, quand elle me l’a eu bien fait monter à la verticale, elle le fourre entre ses lèvres pour me faire une délicieuse fellation. Elle suce, masturbe autant qu’il est possible. Mais avant que l’irréparable ne survienne.

Ma chérie… ! Avant que j’éjacule dans ta bouche. On se remet sur le lit, tu viens te mettre à califourchon sur moi, pour m’offrir ta belle chatte. Comme ça, on va se faire plaisir ensemble.
Oui tonton !

Alors, elle relâche mon pénis et nous nous installons. Une fois en position, elle reprend aussitôt ma queue en main, la masturbe encore un peu et se remet à me sucer. Quand à moi, je lui écarte bien les fesses, pour me gaver de la beauté de sa chatte, avant de poursuivre.

Et là.

Dis moi ma chérie, ta chatte est toujours aussi désirable, même si je la trouvais encore plus appétissante avant. j’aurai bien aimé te dévierger encore une fois.
Ça va pas être possible tonton… !
Ben oui. Je sais.

Bref, retournons au présent. Après tout ça n’a pas trop d’importance. Donc, je plonge ma langue entre ses lèvres chaudes et délicieusement détrempées par son jus de femme et retrouve son magnifique bouton d’amour que, je cajole, suce et aspire comme un mort de faim et qui rapidement, double de volume. Quelques instants plus tard, Angelina se remet à gémir puis et repart dans un tourbillon de plaisir qui ne porte pas de nom. Cette fois, nous jouons la même partition. Car, moi aussi, je suis dans un état de grâce plutôt pas mal.

Alors, nous mettons un terme à ce soixante neuf, qui a, aussi, bien failli me faire gicler une seconde fois, je l’invite à passer à la suite de cet excellent programme, certes improvisé mais excellent. Elle se laisse glisser le long de mes cuisses à la rencontre de mon pénis sur lequel, elle se plante, jusqu’à la garde sans égard et, commence aussitôt à faire de petits mouvements de va et vient.

A peine connectée.

Heum tonton… !
Oui ma chérie.
Hou la-la… ! Je me souvenais plus comment ça pouvait être aussi bon. Maintenant je comprends vraiment pourquoi tata jouit autant… !
Et pourquoi ma chérie ?
Parce qu’avec un aussi gros pénis, c’est obligé. Tu crois pas tonton… !
Et, il te plaît ce gros pénis ?
Beaucoup même… ! Heummmm, là, je le sent bien aller et venir dans ma chatte…, c’est vachement bon. Aaah, je jouis déjà tonton… !

Après ces derniers mots, Angelina se met à aller et venir avec beaucoup plus d’intensité et de méthode, dans cette superbe position d’Andromaque où, je l’accompagne en la saisissant par les reins ou en lui caressant les seins et même les fesses. Caresses qu’elle apprécie et, qui la font monté un peu plus rapidement dans les tours.

Pour une aussi jeune fille, je remarque qu’elle connaît déjà pas mal les choses de l’amour. J’en ai déjà eu un petit aperçu, tout à l’heure, dans nos préliminaires. Mais après cette première position où elle me régale autant qu’elle se régale, je l’invite à passer à la suite des festivités avec une levrette.

Aussitôt, elle vient se mettre à quatre pattes pour offrir ses fesses et sa délicieuse fente à ma verge, qui en reprend possession immédiatement. Une fois reconnecté, les va et vient reprennent aussitôt puis, défilent dans un tempo qui emportent ma chérie dans un nouveau tourbillon effréné de jouissance.

Après cette levrette, pour terminer ce délicieux moment de partage et d’amour, nous revenons, à la classique missionnaire, qui quelques minutes plus tard nous conduit, tous les deux cette fois, tout droit vers la libération, après avoir bien joui ensemble, c’est dans un dernier aller sans retour, que je lui crache quatre bonnes saccades de mon sirop d’homme tout au fond de sa chatte.

Et là, après m’être retiré de sa chatte en fusion et dégoulinante de sperme.

Oh merci mon tonton chéri… ! Tu m’as fait passé un super moment. Qu’est ce que j’ai joui… !
Moi aussi ma chérie. Mais, il va falloir qu’on se bouge. parce que, tata va se poser des questions. Ça doit faire plus d’une heure qu’on est parti… !
T’as raison tonton. Je vais vite me laver un peu. J’ai du sperme qui me dégouline entre les cuisses.
Je t’accompagne.

Nous nous levons du lit et nous nous retrouvons sous la douche pour une toilette rapide. Après quoi, nous nous habillons rapidement et quittons l’hôtel après, avoir refait le lit, sans oublier de prendre la crème de tata.

Quelques minutes plus tard, nous arrivons à la maison de ma belle sœur et là.

Dis moi mon chéri, vous avez bien mis du temps ?

Avant même que je réponde.

Tu sais tata, je sais pas trop ce qu’il c’est passé. Mais au centre ville, il y a eu un embouteillage. Nous sommes restés bloqués au moins vingt minutes.
Tu as ma crème ?
Oui ma chérie… ! Tiens.
Merci mon cœur.

Quelques instants après dans le jardin, Angelina me rejoint et en souriant me dit comme ça.

T’as vu tonton…, je me suis bien débrouillée !
Oui. Tu l’as eu leste, dis moi… ! Tu nous as sauvé d’une bonne embrouille je pense. Tata n’apprécierait pas de savoir que nous venons de coucher ensemble.
Je crois tonton… !
Ça va rester entre nous ?
Bien sûr. Mais tu sais tonton, maintenant que j’ai bien goûté à ton pénis, ce qui va être le plus dur pour moi, c’est que j’aurai plus le plaisir de jouer avec.

A ce moment là, elle se rapproche de moi, me prend par le cou, pose sa tête sur mon épaule et se met à pleurnicher.

Ma chérie, faut pas pleurer. Tu sais, il y a toujours une solution à un problème. Pour les prochaines grandes vacances, on t’invitera, tu viendras à la maison et, je t’emmènerai faire une sortie en bateau, juste toi et moi. Et là, tu pourras jouer, autant que tu voudras, avec mon bâton d’amour… !

Elle essuie ses petites larmes et, me répond avec un petit sourire au coin des lèvres.

Ah super…, merci tonton… !

Voilà que ce gros problème, pour ma petite nièce, s’efface avec une simple petite phrase et une promesse que je tiendrai bien sûr. Car, moi aussi, j’ai bien envie de lui refaire l’amour.

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