Dans une résidence pour personnes âgées fortunées, nichée au beau milieu d’un immense parc verdoyant, est arrivé dans l’établissement un nouveau pensionnaire septuagénaire, monsieur Charles. Ce monsieur, bien qu’à l’allure un peu frêle, c’est parfaitement intégré parmi, la trentaine de pensionnaires qui, vivent et passent leur retraite dans une ambiance très cocooning. Juste retour des choses, vu le standing de la maison.
Hier, monsieur Charles, s’est rendu au centre médical pour, y rencontrer la médecin, mademoiselle Christina, une charmante jeune femme prête à donner, même de sa personne pour, le bien-être de ses pensionnaires et patients.
Donc après une rapide présentation, mademoiselle Christina demande à monsieur Charles d’ôter sa chemise afin, qu’elle puisse l’ausculter.
Après une première auscultation.
Mon bon monsieur, qu’est ce qu’il vous arrive ?
Pas grand chose… ! Quelques petites douleurs, vu mon age.
D’accord… ! Je vais voir ça.
Alors, la charmante brunette se lève de son fauteuil et vient prêt de son patient et, commence diverses palpations sur le vieux monsieur.
Mais, celui-ci, n’a d’yeux que pour le décolleté de la belle toubib. Car, comme bien de soignantes, la demoiselle ne porte qu’un soutien gorge, sous sa blouse déboutonnée, qui lui met encore plus en valeur son imposante paires le lolos.
Tout au long de cet examen, un certain nombres de regards, plus ou moins coquins et aguicheurs, sont échangés, au point que monsieur Charles a, tout simplement commencé à peloter les beaux nichons de sa toubib, du temps qu’elle le palpait.
Et là.
Dites moi, monsieur, ça à l’air d’aller très bien même. vous n’avez pas trop l’air malade ?
C’est juste ces vieilles douleurs qui me font souffrir… !
En souriant, elle lui rétorque.
Par contre, vous n’avez pas de douleurs dans les doigts, à ce que je vois… ! (rire)
Mais, ce petit jeu, ne s’arrêta pas là, pour autant. Monsieur Charles, continua son exploration. Il lui dégrafa les deux derniers boutons de la blouse, lui donnant, ainsi, accès à toute la beauté de ce qu’il convoitait depuis son arrivée dans le cabinet.
Là, Christina, réalisa instantanément ce que ce vieux coquin, était réellement venu chercher. Alors, c’est elle qui prit les devants. elle dégrafa l’attache de son sou-tif libérant ainsi, ses deux magnifiques monts blancs pour, les offrir aux doigts quelque peu tremblant du septuagénaire qui, ne se priva, surtout pas, de peloter, et de masser longuement avant, de les suçoter tour à tour.
Et là.
Monsieur Charles… !
Laisse le monsieur… ! Charles, ça ira bien comme ça. Qu’est ce qu’il y a ma belle ?
Je vois que pour la bricole, ça va bien encore… ! (rires)
Ça va, ça va. J’arrive encore à me débrouiller… ! (rires)
Je vois ça.
Après ce bref échange, Charles reprit ses caresses et le pelotage, minutieux, de ses seins au point, que les tétons de la belle Christina se dressèrent comme deux obus.
Autant pour lui que pour elle, la partie était, maintenant, bien engagé. Plus question de faire marche arrière. Alors, après un échange de léchouilles entre langues et de baisers langoureux, Christina dégrafa la ceinture de son futal et lui fit coulisser jusqu’à ses pieds.
Et là, quelle surprise. Ce vieux monsieur, qui ne portait pas de caleçon, exhiba au passage une magnifique queue en érection. La belle Christina, ne pouvant pas laisser passer la chose, se saisit de cette belle queue, encore très vigoureuse, la masturba longuement puis, la fourra entre ses lèvres pour la sucer goulûment.
Puis.
Qu’est ce que tu suces bien, ma belle… !
Elle ne répondit pas, se contentant uniquement de lui tailler une bouffarde tout droit, sortie de derrière les fagots.
Quelques instants après, elle relâcha la queue de Charles qui, commençait à s’impatientait. Car, il avait, maintenant, très envie de lui bouffer sa chatte.
Alors, la belle, après s’être délestée de son pantalon blanc, s’installa sur le fauteuil gynécologique, les pieds posés sur les reposes pieds et les cuisses ouvertes au taquet, offrant sa moule, aux lèvres charnues et son clitoris au capuchon proéminent, à la bouche gourmande du vieux monsieur qui, attendait ça, comme la friandise suprême.
Sans dire mot, il y plongea sa langue et lui bouffa très longuement, comme un ours affamé, sa chatte et son clitoris en, la doigtant autant qu’il peut être permis. Ce qui provoqua, chez la belle toubib, un orgasme sans nom.
Là, les choses, étant désormais bien établies, et les préliminaires scrupuleusement respectés, et menés à bien, c’est Christina qui, une fois redescendue de son nuage, prit la commande de la suite des opérations.
Elle descendit de son fauteuil, vint s’appuyer sur son bureau et invita Charles à la prendre en levrette. Le bougre ne s’en priva pas.
Pour une personne à l’allure fragile, ce qui n’était qu’une apparence bien trompeuse. Car, il arborait depuis maintenant presque une dizaine de minutes, une belle queue en érection. Alors, il se plaça derrière ce magnifique fessier entre lequel, la chatte, toute empourprée de jouissance, de la toubib lui disait vient me baiser, plante moi vite ta queue.
Alors, sans hésiter une seule seconde, le septuagénaire lui planta sa longue et grosse bite jusqu’à la garde et, actionna, aussitôt, le premier va et vient.
Là, Christina se retourna vers lui et, en le regardant fixement, lui lança.
Hé, qu’elle est bonne, Charles… ! Vas y. baise moi bien à fond.
Alors, même, si le vieux monsieur n’avait plus la vitalité d’un jeunot, il allait et venait entre ses parois vaginales et, ça plaisait beaucoup à la toubib au point, que quelques aller retour plus tard, elle se remit à gémir fortement en lui lançant à presque chaque coup de reins.
Aaaah, vas y… ! heum c’est bon… ! Etc etc… ! Oui, baise moi…, encore, encore… !
Après, s’être bien faite culbutée en levrette, elle l’invita à s’asseoir sur un fauteuil. Aussitôt, elle l’enfourcha et se planta, à nouveau, sur sa bite. Elle le chevaucha allègrement et remit tout son savoir pour, à nouveau se faire jouir avec cette belle queue, de soixante et dix ans passée qui, allait et venait dans sa chatte détrempée.
Cette nouvelle partie se poursuivit encore une bonne dizaine de minutes. Christina chantait et chantait encore. Et dans le feu de l’action, ce bon vieux Charles n’eut pas le temps de la prévenir que, pour lui, le voyage arrivait à son terme.
C’est dans un grognement de vieil ours, qu’il lui largua la totalité de son sperme contenu dans ses couilles, tout au fond de son vagin. Là, elle sauta de sa monture, la chatte encore dégoulinante et prit, aussitôt la bite du vieux monsieur, la suça encore goulûment pour, récupérer les dernières gouttes de ce délicieux breuvage, avant de lui offrit ses lèvres pour un baiser de remerciement.
Puis, après s’être nettoyée la chatte.
Merci Christina… ! Quel merveilleux moment.
Oui, c’est vrai. Mais, vous savez, vous êtes un vrai coquin. Vous m’avez bien eu… ! Vous devez avoir un secret !
Pourquoi ?
Parce que, quand vous êtes arrivé, vous aviez l’air fatigué. Et puis après… !
Non ma belle. Je ne prends rien.
Là, je comprends pas.
C’est pas sorcier. Un vieux monsieur comme moi, qui se retrouve dans un cabinet médical avec une fille comme toi, aussi bien gaulée et, qui n’a pas baisé depuis longtemps. Tu comprends ?
Là comme ça, je comprends mieux. En tous cas, vous m’avez bien faite jouir.
Mais, si tu veux encore… !
Ben… ! Normalement, je suis là, juste pour soigner mes patients. Mais pourquoi pas… !
Alors, puisqu’on est d’accord. Je viendrai te voir de temps en temps. Là, je viens de retrouver presque ma jeunesse… ! Je plaisante.
Pourquoi ? Il y a bien des gens plus jeunes que vous, qui n’ont pas votre vigueur.
Puis, le téléphone se mit à sonner. C’était une patiente qui lui annonçait son arrivée au cabinet.
Alors.
je suis désolée. Il faut que vous partiez. J’ai une visite qui va arriver.
Pas grave, pas grave. Je te laisse ma belle. A bientôt. Je t’appellerai avant… !
Ok. a bientôt Charles… ! Ne rêvez pas trop cette nuit quand même.
D’accord ma belle. A bientôt.