Rencontre faite par le hasard. Une jeune Britannique qui descend en vacances dans le sud de la France, cherche un endroit où passer la nuit. je lui propose de l’héberger et, un concours de circonstance fait que…!
Pas plus tard qu’hier, en rentrant d’une de mes nombreuses sorties en vélo, en plaine campagne vauclusienne, j’aperçois au loin une silhouette en vélo qui filait, aussi, dans la même direction que moi. Par simple curiosité, je me décide de la rejoindre. Alors, j’accélère un peu la cadence et, une poignée de minutes plus tard, je me retrouve à deux ou trois longueurs derrière elle. Là, je découvre que la vague silhouette que j’avais aperçue était une personne de sexe féminin relativement jeune, qui cheminait en tirant une petite remorque derrière son vélo.
Mais la chose qui m’a le plus surpris, si je puis dire, est qu’elle était vêtue d’un maillot de triathlon. Maillot qui sert au trois exercices, nage, vélo et course à pied. Mais, assez rare chez les cyclos. Donc ce fameux maillot qui, la moule, lui découvre, comme un maillot de bains, entièrement les fesses, et exhibe ainsi à tous les usagers de la route, son postérieur absolument craquant. Ce qui n’est pas certainement pour déplaire à un vieux routard comme moi.
Alors, je viens à côté d’elle et j’engage la conversation.
-
Bonjour… !
Et avec un fort accent britannique, mais dans un très bon français, elle me répond.
-
Oh, je ne vous ai pas entendu arriver… ! Bonjour monsieur.
-
Où vas tu comme ça ?
-
Aujourd’hui, je vais jusqu’à Avignon.
-
Ah ok… ! C’est là où je vais aussi. Enfin, juste un petit village à coté. Si tu veux, on peut faire la route ensemble. Il nous reste une petite vingtaine de bornes.
-
Oui, pourquoi pas… ! Mais, vous savez, je balade. Alors, je ne roule pas vite.
-
C’est pas grave. Moi non plus… ! Je ne suis pas un coureur… !
-
Bon d’accord, je veux bien rouler avec vous alors… !
Donc, nous poursuivons notre chemin ensemble en discutant un peu.
-
Mais, ça doit pas être très confortable de faire du vélo avec ce maillot ?
-
Pourquoi… ? Moi, ça ne me dérange pas, j’en ai l’habitude. C’est très léger. On a pas trop chaud avec ça… !
En riant, je lui répond.
-
C’est sûr… ! Tu dois pas avoir trop chaud. Parce tu n’as pas beaucoup de tissu sur la peau… !
Elle se met à rire aussi et me lance.
-
Comme ça, on est plus vite à poil… aussi !
-
Ça, s’est sûr… ! (rires)
-
Mais au fait, vous savez où je peux trouver un hébergement pour ce soir ?
-
Oh sur Avignon, il y en a pas beaucoup à part les hôtels., il y a juste un camping.
-
Ah bon… !
-
Mais, si tu veux, je peux t’héberger chez moi. J’ai une chambre libre.
-
Ah ok… ! C’est très sympa. Merci… ! J’accepte volontiers !
-
Et bien voilà… ! Comme ça, tu as trouvé où dormir ce soir et moi, je serai pas tout seul.
-
Pourquoi tu vis tout seul… ! Oh pardon, je vous ai dit tu… !
-
Mais, tu peux me tutoyer. Entre cyclos, on se tutoie d’habitude… !
-
Alors, c’est d’accord.
-
Mais dis moi, maintenant qu’on se connaît un peu plus, comment tu t’appelles ?
-
Cathleen et toi ?
-
Jean Claude. Mais les copains du club m’appellent J.C.
-
Comme Jésus… ?
-
Et oui, comme Jésus.
Donc, chemin faisant et, une bonne heure plus tard nous arrivons chez moi et.
-
Voilà ma maison.
-
Oh, elle est grande… !
-
Je vais ouvrir le garage et comme ça, tu entreras ton attelage pour la nuit.
-
Merci Jean Claude.
Deux minutes plus tard, ce fut chose faite. Et là, je l’invite à entrer à l’intérieur. Après avoir laissé nos chaussures de cycliste au garage, nous venons nous poser le cul sur le canapé. Puis.
-
Tu veux boire quelque chose de frais ?
-
Oh oui, avec plaisir. Car il a fait bien chaud aujourd’hui… !
Je vais à la cuisine et rejoins mon hôte avec deux verres et une bouteille de jus de fruits bien frais. Nous les avalons, presque, à la vitesse de l’éclair. Puis.
-
Oh, ça fait du bien… !
-
T’es veux un autre Cathleen ?
-
Non merci. Tout à l’heure peut être… !
-
Mais dis moi, est ce que tu veux prendre une douche ?
-
Ah oui… ! Ça, c’est gentil de me le proposer.
-
Moi, je vais en prendre une aussi, quand tu auras pris la tienne. Bon, je te conduis jusqu’à la salle de bains ?
-
Ok… ! Merci Jean Claude.
Je l’accompagne, lui ouvre la porte puis, la laisse vaquer à ses occupations. Moins d’une minute plus tard, j’entends une voix.
-
Jean Claude, Jean Claude… !
J’accours et à travers la porte.
-
Oui… ! Qu’est ce qu’il t’arrive Cathleen ?
-
Rien… ! J’ai juste oublier de prendre une serviette et mes vêtements dans mes bagages.
Et là, le petit coquin de J.C., qui immédiatement a une idée qui germe dans la tête, lui répond.
-
Et bien, c’est pas bien grave ça, je vais t’en prêter une… !
-
D’accord. Merci bien… !
Je tourne la poignée de la porte, mais celle-ci ne s’ouvre pas. Alors.
-
Cathleen… ! Tu peux m’ouvrir ?
-
Oh, que suis je bête… ! J’avais fermé… ! Je viens t’ouvrir.
Cinq secondes plus tard, la porte s’entrouvre et elle m’invite à pénétrer dans la salle de bains. Ce que je fais sans attendre. Et là, je me retrouve face une charmante jeune femme à l’allure sportive et, plutôt bien dotée par dame nature.
Puis.
-
Excuse moi Jean Claude de me présenter devant toi toute nue… ! I’am sorry… !
-
Ne t’excuses pas… ! Au contraire, tout le plaisir est pour moi.
Alors, nous nous mettons à rire tous les deux. Et Cathleen de me rétorquer.
-
Alors comment tu me trouves ?
-
Plutôt très bien roulée… ! Je dois dire.
-
Et, si tu venais prendre la douche avec moi, maintenant que tu es là ?
-
T’es sérieuse là… ?
-
Oui et ça pourrait être sympa !
-
Ah ok… ! Alors, si je m’attendais à ça… !
Si ça n’est pas une invitation… ! Je ne mets pas plus de trois secondes pour réfléchir et.
-
Ok, c’est d’accord.
Aussi sec, je me déleste de mon maillot, mon cuissard et mes chaussettes et, nous nous retrouvons dans la baignoire. Je tire le pare douche et nous voilà dans un face à face qui s’annonce plutôt sympathique.
Je dois dire que je trouve cette jeune femme très avenante et excitante aussi. Cathleen est une blondinette au visage un peu allongé et aux cheveux mi-longs. Elle a de grands yeux ronds bleu gris et une petite bouche avec de fines lèvres. Un petit peu plus grande que moi, elle a un corps de sportive, svelte et musclé et une taille peu marquée, de jolis lolos hauts perchés et bien ronds, de belles aréoles brunes avec de petits tétons légèrement plus foncés, érigés sur le dessus du sein.
Puis, en zyeutant un peu plus bas, j’ai le bonheur de découvrir outre, un ventre très plat, un pubis renflé, à souhait, dont la toison a été soigneusement rasée récemment, laissant apparaître une belle fente que, j’ai instantanément envie de flatter.
Mais, pendant que je me faisais l’inventaire de ses atouts, ma belle britannique, elle, ne perdait pas de temps à voir si mon anatomie lui convenait. Elle avait déjà empoigné mon sexe pour le mettre en état de marche. Ce qui ne tarda pas à se produire. Car la demoiselle a des arguments et un coup de main très convainquant. Après quelques bonnes caresses sur mes testicules et une masturbation bien appliquée, elle l’enfouit entre ses fines lèvres et me taille une de ces plumes, dont je vais me souvenir longtemps.
Bref, quelques minutes plus tard, après m’avoir bien fait bander, je lui demande de venir prendre appui sur le meuble vasque pour que, je lui rende la pareille.
Alors, elle s’adosse contre le meuble en écartant le plus largement possible ses longues jambes, pour offrir sa vallée des merveilles aux caresses de mes doigts. Je m’accroupis et, tour à tour, ils lui massent ses lèvres brûlantes, cajolent ou doigtent son vagin qui, se met à mouiller abondamment. Mais aussi, à la gourmandise de ma bouche, et en particulier de ma langue, qui lui suce minutieusement et lui asticote son bouton d’amour qui, très vite, se dilate et prend un belle couleur rougeâtre.
Très vite, ma partenaire de ce jour, se met à soupirer, à se mordiller les lèvres et à se tortiller de satisfaction.
A ce moment là, je me rends compte qu’elle est prête pour la suite. Immédiatement, je me relève, prends en main mon pénis bien raide et le présente à l’entrée de sa chatte dégoulinante de son jus. Je n’ai aucun effort à faire pour la pénétrer et, dans cette position ma verge se faufile, instantanément, entre ses lèvres et lui pénètre son vagin jusqu’à la garde. Et là, ma belle amie pousse un énorme soupir de surprise et certainement de satisfaction aussi, puis me dit.
-
Oh Jean Claude… !
-
Qu’est ce qu’il y a Cath ?
-
Wahoo ! Il est bien gros ton pénis… !
-
Alors, c’est bon… !
-
Oh oui, oui…, c’est très bon… ! Je jouis déjà… !
Alors, puisque elle trouve ça très bon, je vais lui en donner pour son argent, même si c’est gratuit. Petit à petit, j’accélère la cadence des vas et viens. Et mademoiselle Cathleen jouit de plus en plus, jusqu’à chantonner à chacun de mes coups de queue.
Puis, quelques minutes plus tard.
-
Cath… ! Tu voudrais bien te tourner ?
-
Ok darling… !
-
Ah, tu parles en anglais maintenant ?
-
Oh, excuse moi, chéri… !
Donc, je me retire, elle se tourne et me présente ses jolies petites fesses, sa chatte dégoulinante et son magnifique trou du cul, que je lorgne brièvement, mais qui m’intéresse bigrement.
Sans attendre, je viens me coller à son arrière train, réinvestis sa vallée des merveilles et recommence à lui bourrer avec application. Moins d’une minute plus tard, là voilà repartie dans un nouveau tourbillon de bonheur. Elle reprend sa chansonnette à chacune de mes poussées.
Petit à petit, tout en lui bourrant sa moule et, en l’écoutant jouir, ce qui me donne encore plus de force pour lui bourrer sa chatte, je commence à m’occuper, peu à peu, de sa rondelle plissée, que je cajole, masse et humidifie afin, de pouvoir lui faire pénétrer un doigt. Quelques instants plus tard, mon pouce finit par se frayer un chemin entre les plis de son trou du cul et, finit par se retrouver entièrement à l’intérieur. Je répète l’opération trois ou quatre fois et, je vois que ça se passe plutôt bien et surtout, que Cathleen ne proteste pas. Alors.
-
Cathleen…, est ce que tu me permets de prendre ton petit trou ?
-
Oui bien sûr… ! Mais, c’est ce que tu es, déjà, entrain de faire ?
-
Avec le doigt oui… ! Mais avec mon pénis ?
-
Aussi, si tu en as envie… !
Donc, nous sommes bien d’accord. Alors, quelques préparations supplémentaires pour finir de bien lui dilater et lui humidifier correctement. Puis, je retire ma queue enduite de mouille de sa moule pour venir lui investir son orifice anal.
A ma surprise, ça se fait sans difficulté aucune. Après une seule poussée, je vois ma queue disparaître petit à petit à l’intérieur. Aussitôt, je reprends de lents vas et viens pour la mettre en confiance. Et là, aucune réticence ni refus de sa part. La confiance a été acquise immédiatement. Car.
-
S’il te plaît, Jean Claude, tu peux accélérer un peu… ! Encule moi bien à fond… !
Alors, comme je suis un garçon obéissant, j’obtempère instantanément. Et là, Cathleen se remet rapidement à jouir. Alors, je lui bourre son trou du cul comme un mort de faim et, plus je lui ovalise sa rondelle, plus elle jouit. Je vais la sodomiser probablement un quart d’heure, vingt minutes jusqu’à la délivrance.
Dans ce dernier va qui n’aura pas de vient, je lui décharge, au moins, quatre giclées de mon jus tout au fond de son intimité.
Je retire, lentement, ma queue de son trou, elle se retourne, se met à genoux et vient sucer ma verge afin de récupérer les quelques gouttes de sperme restées sur le bout de mon gland. Quel délice… !
Puis.
-
Oh Jean Claude/// !
-
Oui Cathleen !
-
Ça fait longtemps qu’on m’a pas baiser comme ça !
-
Et, c’était comment ?
-
Génial Jean Claude, génial… !
-
Merci beaucoup. Je n’aurai pas pensé, non plus, une seconde que ça se passerait comme ça, quand je t’ai rattrapé sur la route, tout à l’heure.
-
Moi aussi… ! On peut pas tout savoir… ! (rires) Tu vois aussi. Si j’avais pris une serviette dans mes bagages, je ne t’aurai pas appelé et on n’aurait pas baiser ensemble… !
-
Et oui… ! Bien sûr… ! Est ce que tu regrettes ?
-
Non, non, je regrette pas du tout. Malheureusement, demain je dois repartir.
-
Tu es obligée ? Parce que tu peux rester quelques jours, si tu veux… !
-
Ah, c’est gentil… ! Mais demain, je dois retrouver des copains et des copines britanniques du côté de La Grande Motte. Je serai bien restée, rien que pour que tu me défonces encore. Mais demain, je dois reprendre la route de bonne heure.
-
C’est pas grave. En tous cas, on aura pris du bon temps, aujourd’hui. Et puis si un jour, tu repasse par ici, donne moi un coup de fil.
-
Oui Jean Claude, il n’y a pas de problème. Tu me donneras ton numéro ?
-
Oui ma belle. En attendant, je vais te montrer ta chambre.
-
Ok !
Après s’être installée, elle me rejoint au salon. Nous partagerons le repas du soir et elle ira se coucher de bonne heure, et moi je reste sur mon canapé à fantasmer sur cette nana qui m’a bien fait plaisir.
Vers six heures du matin, nous nous levons. Nous partageons un copieux petit déjeuner. Puis, après lui avoir donné mon numéro, Cathleen me quitte pour rejoindre ses amis sur les bords de la grande bleue.
Auteur: Zizoulabellequeue