Il y a plus de trente ans déjà. C’était pour le long week-end pascal, je reçois la visite de mon ex accompagnée d’une jeune femme dont je ne connais que le prénom et de mon beau frère Jo. Mon ex est revenue pour voir ses enfants, qu’elle n’avait pas vu depuis un certain temps. Après un apéro plutôt arrosé et un bon dîner pris en famille, mon ex nous quitte pour, aller se coucher, gagnée par la fatigue de la route qu’elles avaient fait.
Bref, une fois les gamins au lit, Jo, Sylviane et moi, nous nous retrouvons au salon pour poursuivre nos bavardages et boire encore quelques verres. Ce qui va me permettre de la connaître un peu plus, présage d’une bonne soirée en perspective.
Après quelques verres, nous décidons de nous lancer dans une partie de poker. Mais, comme nous ne sommes pas des joueurs d’argent, nous changeons un peu les règles. Celui ou celle qui gagne le tour de carte demande à la personne qu’il veut de se défait d’une partie de ses vêtements, Une bonne heure plus tard, l’alcool aidant, tout en poursuivant notre strip poker, nos discutions se transforment petit à petit en blagues plutôt salaces. Et même, le geste se mêle à la parole de plus en plus. Surtout quand Jo demande à Sylviane d’ôter son sou-tif. Et comme ele s’est trouvée un peu dans l’embarra, je lui ai gentiment proposé de l’aider.
Alors, je me suis levé et, lui ai dégrafé soigneusement en prenant bien soin de passer une main par dessous son bras afin de le récupérer par devant et aussi, de tâter ses magnifiques nichons. Il faut dire que cette belle demoiselle a de sérieux arguments. C’est la première fois de ma vie que je me trouve confronté à une aussi belle et volumineuse paire de seins, au point que je ne peux m’empêcher de lui poser cette question indiscrète.
Dis moi, tu as une paire de lolos qui m’attire beaucoup. C’est quoi ta taille de bonnet ?
D pourquoi ?
Ah… ! Parce que j’y ferai bien de gros câlins.
Ben, pourquoi pas ! Mais, je crois que tu as déjà commencé !
A ce moment là, voyant la tournure des choses, Jo jette un coup d’œil sur sa montre et me dit.
Il se fait tard. Je crois que je vais rentrer.
D’accord. Mais fais gaffe. Parce qu’avec tout ce qu’on a bu… !
Oui ça va… ! Mais la moto connaît le chemin.
Ok. à plus.
Donc après son départ, nous voilà tous les deux. Sylviane presque totalement à poil et moi. A part son slip, elle n’a plus rien sur la peau. Quand à moi, c’est guère mieux.
A peine la porte fermée, Sylviane me regarde avec un petit sourire coquin et me lance.
Alors, on fait quoi maintenant ?
On baise. Ça te dit ?
Oui. Ça fait longtemps que j’ai pas baisé… !
Moi aussi. Alors viens.
Nous quittons la table où nous jouions et venons nous installer sur le tapis du salon. Je viens m’asseoir derrière elle. Instantanément, mes mains reviennent se plaquer sur ses seins et, recommencent à les pétrir. Mes mains ne sont, même, pas assez grandes pour pouvoir envelopper ses deux énormes lolos. Tout de même, mes caresses lui font ériger ses deux tétons simultanément et là, la belle Sylviane commencer a soupirer de bonheur. Puis.
Heum… ! Qu’est ce que c’est bon.
Sans lui répondre, je poursuis l’exploration de son corps en lui caressant le ventre, les hanches et les cuisses, qu’elle a volontairement ouvertes en signe d’une invitation pressente à l’acte sexuel. Alors, avant d’aller plus loin, je me relève, me défais de mon caleçon que, je jette au sol, exhibant ainsi une monumentale érection.
Là Sylviane regarde, les yeux écarquillés, fixement mon sexe et me lance.
Heum… ! Ça aussi ça doit être bon.
Il te fait envie ?
Oui, oui. Approche toi un peu, j’ai vachement envie de te le sucer.
Ça, c’est quelque chose qu’il ne faut pas répéter deux fois. Je fais un pas en avant. Elle se met à genoux, prends en main ma queue, commence à la masturber puis, la fourre entre ses lèvres et me fait une fellation du bon sang de bois.
Qu’est ce que cette nana suce bien. Elle me régale.
Quelques minutes plus tard.
Dis moi. J’ai envie de te bouffer ta chatte. Je m’allonge et, tu viens me la foutre sur la figure.
Elle ôte instantanément son slip, et s’exécute aussitôt. Nous voilà l’un et l’autre, à pied d’œuvre pour un délicieux soixante neuf. Elle me suce et me masturbe la queue comme une salope en mal de sexe. Et moi, je me délecte de sa moule baveuse dont, le jus me dégouline dans la bouche, à chaque coup de langue. et lèche, aspire et masturbe son clito, ce qui la fait gémir et gigoter de plus belle. Et, tout en me suçant, et entre ses gémissements, elle ne peut s’empêcher de marmonner.
Heum… ! C’est bon…, tu me fais jouir…, oh salop… encore.
Et moi, de lui rétorquer.
Encore ma cochonne… C’est bon…
Cinq minutes après. Elle relâche ma queue et.
J’ai envie de ton sexe dans ma chatte.
C’est simple. Viens te planter sur ma queue.
Sans répondre. Elle stoppe cette divine fellation puis, se fait glisser jusqu’à la rencontre de nos deux sexes. Elle empoigne ma bite, l’engage entre ses lèvres et se la plante jusqu’à la garde.
Aussitôt après.
Heum… !
Qu’est ce qu’il y a ?
Ça fait vachement du bien.
Alors vas y… ! fais toi du bien.
Aussitôt dit, la balançoire se met en route et, rapidement, la belle Sylviane se met à jouir.
Après cette séance jouissive pour ma partenaire, je lui propose de la prendre en levrette. Sylviane saute de la balançoire, se met à quatre pattes en prenant appui sur le canapé. Je viens derrière elle, reprends ma queue en main et lui replante aussitôt tout au fond de sa moule dégoulinante et, je reprends les va et vient avec encore plus d’insistance.
Quelques secondes plus tard, la voilà repartit dans un nouveau tourbillon de plaisir, où les « vas y…, c’est bon et autre encore » qu’elle m’adresse me donne encore plus envie de la faire jouir. Pour ça, je ne m’en prive pas. Je lui bourre sa chatte comme un mec qui n’a plus baisé depuis un bout de temps.
Une poignée de minutes plus tard.
viens ma belle. Allonge toi sur le tapis… !
Aussitôt en position, je viens m’installer entre ses cuisses, qu’elle a écarté au maximum, m’offrant une nouvelle fois sa grotte béante dans laquelle, je viens planter ma queue. Je remet aussitôt le marteau niqueur en route et ma partenaire se remet à aussi sec à gémir et à gigoter pour accompagner chacun de mes va et vient. Quel panard… ! Je crois rêver.
Et comme ça, nous faisons l’amour comme des bêtes. C’est magique. Mais, au bout de quelques minutes, Sylviane est dans un état de jouissance tel, qu’elle a totalement perdu pied. Elle gémit et gigote au point que tout son corps a des soubresauts qu’elle ne contrôle même plus. Moi, je la lime encore un peu. Mais quelques va et vient plus tard, je sent monter dans ma queue une terrible envie d’éjaculer.
Et là, quatre saccades de sperme lui gicle dans la chatte. Je me retire lentement et m’assoie sur les talons. Elle reprend ses esprits, elle ouvre les yeux. A son tour, elle s’assoit devant moi, m’entourant avec ses jambes, me prend par le cou et m’offre une long baiser langoureux. Puis en jetant un coup d’œil sur ma queue encore raide m’envoie comme ça.
J’en ai encore envie… ! Tu veux bien ?
Si tu veux ma belle.
J’y compte bien… ! Baise moi encore stp.
Alors, comme nous sommes dans une posture presque convenable, je n’ai qu’à allonger mes jambes et Sylviane de venir se mettre en position.
Donc, nous nous préparons pour ce nouveau coït dans la position de la déesse. Une fois assis, elle vient sur mes cuisses, m’entoure les hanches avec ses jambes, se soulève un peu afin de se laisser glisser sur ma queue. Par la même occasion, elle me colle ses nichons sur le visage que, je m’empresse de lécher au passage.
Là, c’est elle qui est aux commandes. Elle s’agrippe à mon cou, monte et descend et fait onduler son bassin aux grès de son envie. Moi, je n’ai qu’à contempler ses lolos aux tétons érigés comme des obus, qui sautent et qui s’écrase sur mon torse.
Et, comme ça, je me laisse emporter dans son délire de jouissance et c’est au bout d’un bon moment qu’une nouvelle envie d’éjaculer s’annonce.
Comme tout à l’heure, je lui expédie quatre saccades de ma liqueur d’homme dans sa chatte.
Sentant mon liquide chaud lui gicler à l’intérieur de sa moule, elle ouvre les yeux et me lance.
Oh mon salop !
Oui, qu’est ce qu’il y a ?
tu m’as mis une sacrée dose.
Et, c’est pas bon… !
Si, si. !
Ça t’a plu ?
Oui, oui. C’est vachement bon.
T’as encore envie ?
Oui. Mais là, je suis fatiguée.
Alors, elle se dégage de ma queue et se relève et là.
Ton sperme me coule le long des cuisses.
Viens, on va à la douche.
Alors, nous nous retrouvons rapidement dans la salle de bains. Nous refermons la porte derrière nous, en faisant attention de ne pas faire de bruit.
Je fais couler l’eau dans la baignoire et nous y entrons tous les deux. Comme elle est vraiment fatiguée. Car elle a, quand même, beaucoup bu, moi aussi. Mais je supporte mieux qu’elle. Alors, après l’avoir bien mouillé, je lui fais la toilette. Je me régale de laver, ou plutôt de pétrir, ses gros lolos dont les tétons se remettent soudain à bander. Puis c’est au tour de sa chatte. J’en profite encore et encore. Puis.
Heum… j’aime quand tes mains se baladent sur mes seins et entre mes cuisses. Ça me redonne envie.
Et comme mon sexe c’est remis au garde à vous, elle l’empoigne et recommence une nouvelle fellation.
Cette fois-ci, nous laissons de côté les longs préliminaires. Après avoir sucé, un peu, ma queue, elle s’appuie contre les faïences, écarte ses jambes, cambre ses fesses et me dit.
Vas y. donne moi encore ta queue. J’en ai trop envie.
A cette invitation, je ne peux répondre que par l’acte. Alors, je prends ma queue en main et lui plante pour la troisième fois entre ses lèvres.
Aussitôt, je remets le marteau niqueur en action et je la baise sauvagement. Car moi aussi, j’ai trop envie de cette nana.
Au plus je la culbute, plus elle gémit. Ça va durer, comme ça, un bon quart d’heure je pense. Et c’est dans un grognement bestial que, je lui crache dans sa moule, encore, quatre saccades de mon jus d’homme.
Cette fois, c’est la dernière de la soirée. Nous refaisons un brin de toilette et allons nous coucher.