La blondinette du parc

Résumé: Antoine est un photographe, qui fait de reportages photos X, pour un célèbre site porno. Un jour, alors qu’il se promenait dans un parc à la périphérie de la ville, à la recherche d’une bonne occasion pour faire quelques clichés croustillants. En déambulant dans ce parc où il y a plusieurs aires de jeu, plus ou moins à l’abri des regards indiscrets, son regard croise une jeune personne entrain de se balancer…

C’est en sifflotant l’air « des champs Élysées », qu’il parcourt les allées d’un parc, dans lequel se trouve plusieurs aires de repos et de jeux, arborées, tant pour les enfants, que pour les adultes. Quelques minutes plus tard, à la croisée de deux chemins, il s’arrête et jette un coup d’œil vers la droite, dans ce qu’il lui semble être un accès à une aire de jeux, entre deux hautes haies de troènes.

Surprise…, à l’ombre d’un grand chêne, se balance une jeune personne aux allures d’adolescente. Notre homme s’approche, sans faire de bruit, avec son appareil photo à la main. Cette jeune personne ne l’aillant pas entendu arriver, continue de se balancer, comme si de rien était. Là, il s’aperçoit que celle qu’il avait pris, pour une jeune adolescente, est une jeune fille d’environ dix huit ans, son apparence physique lui confirmant bien. Il reste, là, immobile, l’observant sous toutes les coutures. Car, cela en vaut vraiment la peine. La demoiselle a été plutôt bien avantagée par dame nature. En somme, cette nana est une petite bombe, quoi… !

Finalement, elle se retourne et, un peu surprise lui dit.

  • Ça fait longtemps que vous me regardez ?

  • Oh oui… Au moins deux minutes… ! (rires). Je ne t’ai pas fait peur au moins ?

  • Non, pas du tout… Juste un peu surprise… Je vous ai pas entendu arriver!

  • Excuse moi… Bonjour… !

  • Bonjour monsieur !

  • Tu peux continuer à te balancer… Pendant ce temps, je te regarde !

  • Merci… ! Mais qu’est ce que vous faites avec un appareil photo à la main ?

  • Des reportages photos… C’est mon travail !

  • Et aujourd’hui, c’est quoi votre reportage ?

Antoine réfléchit quelques secondes et, lui balance de but en blanc.

  • Toi, si tu le veux bien !

  • Moi… ! Qu’est ce que j’ai, pour que vous fassiez un reportage sur moi. Je suis un fille ordinaire… Mais pourquoi pas…, ça peut être sympa… !

  • Au fait, excuse moi. Je ne me suis pas présenté. Je m’appelle Antoine, mais tout le monde m’appelle Tony… Et toi, c’est comment ton petit nom ?

  • Angélique.

  • Joli prénom !

  • Qu’est ce que vous voulez faire comme photos ?

  • Des photos de toi dans ce jardin, sur cette balançoire…, par exemple !

  • Et c’est tout ?

  • Non… Mais si tu es d’accord, je peux te prendre aussi en te déshabillant, sans ton tee-shirt… aussi !

  • Ah je vois… ! et toute nue aussi ?

  • Pourquoi pas… Tu as l’air d’être au courant… ! Ça pourrait faire un super reportage photos. Car, tu es très mignonne… D’autant que le cadre s’y prête bien. Ce serait sympa ! T’es d’accord ?

  • Oui… J’en ai fait une fois déjà… Et… vous aussi vous payez pour ce genre de reportage photos ?

  • Oui bien sûr !

  • Alors… C’est oui. Je suis d’accord !

Alors, Tony s’approche de cette belle demoiselle, la cadre et prend la première photo de cette après midi qui se dessine plutôt bien, et qui promets d’être chaude… très chaude même. Car cette fille est le style de nana qu’il recherche.

Angélique est une jeune fille d’environ un mètre cinquante cinq, blonde, à la chevelure très longue et coiffée comme une jeune ado. Elle a de grands yeux bleus maquillés légèrement, et une jolie bouche aux lèvres d’un rose éclatant. Comme quoi l’apparence, vue de loin, peut être trompeuse… Elle est vêtue d’un tee-shirt blanc très ultra court, juste au dessous de la poitrine, au décolleté arrondi découvrant suffisamment celle-ci, pour laisser envisager à notre photographe qu’elle a de très beaux seins. Et d’un mini short, aussi court, en jean élastique qui, lui colle littéralement à la peau.

Après avoir fait quelques clichés de la belle, sur la balançoire, il lui demande de grimper à l’échelle du jeu qui se trouve à quelques pas de la balançoire. Angélique monte les trois échelons, menant à la plate-forme du jeu, en tortillant son postérieur. Et là.

  • Voilà… Comme ça, tu es superbe. Mais, tu sais que tu as un joli petit cul… ! Ne bouge plus, je te prends comme ça…

Alors, la belle Angélique prends la pose, et Tony appuie sur le déclencheur pour libérer le petit oiseau. Pour la pose suivante, elle cambre ses fesses pour mettre son cul un peu plus en évidence et là.

  • Hé… Dis donc… ! Comme ça, c’est trop mignon… Tu as la chatte qui te bouffe le short… ! C’est très bon ça… Ne bouge plus… ! J’ai hâte de découvrir la suite… !

Pour les prises suivantes, il lui demande de varier ses postures, qui se font de plus en plus provocantes.

Alors…

  • Dis moi Angélique… Maintenant que j’ai pris ton joli petit cul, tu pourrais ôter ton tee-shirt ? Que je te fasses quelques photos de face…, tu as de très beaux seins…, il faut pas que je les oublie… En plus, ça plaît beaucoup aux internautes !

  • D’accord !

Elle redescend de son échelle. Et une fois débarrassée de son tee-shirt, elle prend une posture provocante, qui lui met encore plus ses seins en valeur.

  • Wahoo… C’est mignon tout ça… Tu as, vraiment, des seins parfaits!

  • Merci… ! Vous voulez que je quitte aussi mon short ?

  • Euh oui, si tu veux… ! J’allais justement te le demander… ! Mais s’il te plaît, arrêtes de me dire vous ! Maintenant, qu’on se connaît un peu mieux… !

  • D’accord Tony !

Alors, elle se débarrasse de ce petit morceau d’étoffe, qui ressemble à un short et qui lui entre, littéralement, dans la chatte tellement il est court. Puis, elle se retourne vers lui. Et là, même s’il a l’habitude de voir de belles créatures à poil, c’est encore un surprise, très sympathique, pour lui. Non seulement, cette nana a une paire de seins à se taper le cul parterre, deux superbes ballons aux aréoles larges et rosées, avec des tétons arrogants qui pointent vers le ciel. Mais aussi, un corps de rêve, à la taille marquée, aux fesses bien rondes et cambrées, un ventre légèrement bombé, un mont de Vénus renflé à souhait et dénué de tout poil, qui abrite une magnifique chatte aux grandes lèvres bien charnues et, un clitoris plutôt développé. Tout juste ce qu’il faut pour donner quelques chaleurs à ce diable de photographe.

Tant bien que mal, il se ravise et reprend ses prises de vues. La belle Angélique prend toutes les postures que lui demande Tony. Bien sûr, celles-ci sont de plus en plus provocatrices. Ce qui va finir, dans les minutes suivantes, par lui provoquer une belle érection.

Quelques secondes plus tard, la belle Angélique s’apercevant de la chose, revient vers lui et, en lui lançant un sourire provocateur, lui dit.

  • Euh… Il y a une bosse énorme dans ton short… qui me plaît beaucoup… Je peux voir ?

Mais, la coquine n’attend pas que le photographe lui réponde. elle s’accroupit devant lui, Elle lui déboutonne la ceinture et descend la fermeture éclair de son short, puis le lui fait glisser jusqu’aux chevilles. Là, elle se retrouve, face, à un engin énorme, qui lui saute au visage. Elle le regarde fixement, avec des yeux ronds de surprise et surtout d’envie. Puis…

  • Wahoo… ! Quelle belle queue ! Je peux… la prendre… !

  • Bien sûr… C’est fait pour ça… ! Te gène pas… Prends la dans ta main et fais ce que tu as envie avec… Mais, laisse moi te dire…, toi ma belle…, tu as une sublime chatte que je dévorerai bien !

  • D’accord, mais d’abord ; je m’occupe de ta queue…, je peux ?

  • Vas y ma belle… ! Mais, tu ne pers rien pour attendre… ! (rires)

Sans plus de commentaires, elle empoigne ce mandrin, que sa main arrive tout juste à saisir, tellement le diamètre est impressionnant et, commence par le caresser puis, le masturbe avant de l’approcher de sa bouche, lui lèche le gland et la trique sur toute sa longueur. Ensuite, elle l’insère entre ses lèvres, avec peine aussi, pour le sucer voracement. Pour enfin, lui aspirer, avec fièvre, jusqu’à l’enfouir en totalité tout au fond de sa gorge. Voilà, une fellation phénoménale, qui se mène bon train et, qui va être fort longue.

Car une dizaine de minutes plus tard.

  • Angélique… Viens ma belle, je te bouffe ta chatte !

Alors, elle relâche, avec quelques regrets, le mandrin du photographe. Il lui demande de venir s’adosser au tronc d’arbre couché, en forme de siège, qui se trouve à deux pas de l’échelle. Il sort de son sac à dos une petite couverture et la pose sur le tronc, pour qu’elle soit installée plus confortablement. Elle prend place, remonte ses gambettes vers elle et ouvre, largement, ses cuisses pour offrir sa belle chatte et son imposant clitoris à la bouche de ce diable de Tony.

Fini les photos…

A présent, le scénario est tout autre. Il vient s’agenouiller devant cette petite bombe, se penche au dessus d’elle et plonge sa langue entre ses lèvres brûlantes. Après une bonne séance de léchouilles entre sa moule et son clitoris, en moins de deux, celui-ci triple de volume. Alors, ce diable de Tony prend un malin plaisir à lui suçoter, lui aspirer et à lui mordiller avec encore plus d’insistance. Ce qui emmène, rapidement, la belle Angélique à gigoter sur son tronc et à gémir de plaisir.

Quelques secondes plus tard, elle lui marmonne entre deux gémissements.

  • Tony… Heum…, c’est bon ça… tu me fais jouir… ! Viens me baiser maintenant… S’il te plaît !

  • Viens… Tourne toi et pose tes mains sur le tronc… Je te prends en levrette !

Aussitôt, la demoiselle se met en position. Tony se place derrière elle, et sans attendre lui plante son énorme queue dans sa chatte baignée par sa propre mouille. Et là…

  • Wahoo… !

  • Qu’est ce qu’il y a ma belle ?

  • Elle est énorme ta queue !

  • Tu m’as bien dit que tu avais envie de jouir… Comme ça, tu vas jouir… ! (rires)

Et là, il lui plante, une seconde fois, tout an fond de sa moule..

  • Oh oui.., là…, je la sens bien…, c’est bon ça… !

Alors sans plus attendre, ce diable de photographe, entame, les premiers va et vient avec un tempo plutôt lent. Ce qui déclenche, quand même, chez sa partenaire les premiers soupirs. Il faut dire qu’elle a la chatte copieusement remplie. Voyant que la demoiselle est déjà bien partie, il accélère régulièrement le rythme et, au fur et à mesure des accentuations, la belle Angélique jouit de plus en plus, et les soupirs sont relayés par des gémissements de plus en plus présents et de plus en plus sonores.

Une dizaine de minutes plus tard, après, lui avoir bien ramoné sa moule gluante. Dans l’intention de changer de position, il retire son phallus de sa fournaise. Elle se retourne, recommence à le sucer et à le masturber. Puis, il l’invite à venir s’adosser au tronc d’arbre. Aussitôt en position, une nouvelle fois, elle replie ses jambes vers elle, ouvre largement ses cuisses, pour lui offrir, à nouveau, sa moule gluante qui a pris une belle couleur rose écarlate. Il y replonge aussitôt et active sans plus attendre son marteau piqueur. Dans les secondes suivantes, la belle demoiselle repart dans un nouveau cycle de soupirs, suivi de gémissements très agités. Alors, pour l’emmener au septième ciel, il lui tamponne avec véhémence sa grotte qui dégouline de cyprine, tellement elle jouit.

Ce diable de photographe lui bourre sa caverne, comme un mort de faim pendant, encore cinq minutes, avant qu’une forte envie d’éjaculer ne se présente à lui. Puis…

  • Viens ma belle…, viens…, mets toi à genoux !

Cette fois, il retire son mandrin de la caverne écarlate de sa partenaire, lui demande de lui masturber vigoureusement jusqu’à l’instant fatal. Alors, elle prend en main cette grosse queue, toujours aussi raide et le masturbe avec beaucoup d’insistance. Et, tout en le masturbant, regarde fixement cette énorme engin, rouge écarlate d’excitation, qui se balance de droite à gauche. Puis, elle attend la bouche ouverte que, le pistolet automatique lui tire une dernière rafale.

Encore quelques va et vient, énergiques, sur la verge du photographe et, c’est un feu d’artifice qui se déclenche. Il lui expédie au moins quatre saccades de son jus au fond de la gorge. La belle Angélique ne bronche pas le moins du monde, et avale la totalité de son sirop d’homme. Puis se lèche les lèvres pour ne rien perdre de ce précieux breuvage.

Quelques secondes après.

  • Merci Tony… Tu m’as explosé la chatte…, mais tu m’as fait passer une après midi d’enfer…, avec ta grosse queue. C’est trop bon… ! Tu m’as fait jouir comme une dingue!

  • Moi aussi, ma belle, j’ai passé un très bon moment avec toi ! Je vais te dire… Tu suces divinement bien et, tu as une chatte magique qui, m’a fait grimper aux rideaux, même si ici, il n’y en a pas… ! (rires)

  • Tony, je l’aime beaucoup ta grosse queue… ! Tu pourras encore me la donner ?

  • Bien sûr, quand tu en auras envie… !

  • Dis moi Tony, est ce que je pourrai venir voir les photos ?

  • Oui bien sûr. Je vais te donner mon numéro. Tu m’appelles demain et, tu viens chez moi… !Comme ça, tu verras les photos et si tu veux, je te baiserai aussi… !

  • D’accord…, surtout pour baiser !

Ils se ré-habillent. Tony prend quelques billets, dans une poche de son sac à dos et lui tend. Elle les prend, jette un œil sur l’argent et.

  • Merci Tony… Mais ça fait beaucoup… !

  • Comment beaucoup ?

  • Tu m’as déjà payé en nature, tu crois pas que c’est suffisant, et en plus tu me donnes beaucoup d’argent… !

  • Mais non pas du tout… le paiement en nature, c’est pour le plaisir de baiser avec une super nana comme toi. Et l’argent, c’est ce que je t’avais promis pour les photos !

  • Alors merci beaucoup et à demain…, Tony… Je t’appelle !

  • D’accord… A demain !

Voilà qu’une simple promenade, se transforme en une superbe partie de baise avec une jeune fille que, le hasard à mis sur le chemin de ce diable de photographe. Comme quoi le hasard fait, parfois, bien les choses…

Auteur: Zizoulabellequeue