Judith

Judith, étudiante dans un lycée privé, appelle son oncle Gérald, qui est aussi son prof de sciences, de biologie et, accessoirement, son prof d’éducation sexuelle pour, lui demander des précisons sur le cours d’hier après midi, parce qu’elle n’a pas bien compris certains détails.

  • Allô Gérald… !

  • Oui Judith, qu’est ce qu’il t’arrive ?

  • Je t’appelle au sujet du cours d’hier. Il y a des trucs, que je n’ai pas bien pigé…, pourrais tu passer à l’appart, pour m’expliquer un peu.

  • Quand ?

  • Après midi, si tu peux… !

  • Pas de soucis… ! Vers trois heures, ça te va ?

  • Ok, à tout à l’heure.

Mais, pour Judith, ce n’est pas là le principal problème. Car, entre eux, il y a déjà eu des rendez vous qui, n’étaient pas des rendez vous dû à des problèmes scolaires.

Vers trois heures, la sonnette retentit. Judith vient ouvrir la porte. Et là, Gérald a la surprise de se retrouver face à sa nièce en tenue plus que légère, puisqu’elle est simplement vêtue d’un shorty en dentelle transparente très sexy et d’un soutien-gorge, tout aussi transparent qui, ne cache guère ses deux seins au volume impressionnant.

  • Bonjour Judith… ! Waouh…, c’est pour étudier que tu t’habilles comme ça ?

  • Bonjour Gérald… ! Non…, je t’attendais.

Si, il y a autant de familiarité entre eux, c’est simplement qu’ils ont très peu de différence d’âge . Mais aussi, parce que Gérald est le jeune frère de son père et en plus, ils ont déjà eu bien de rapports sexuels ensemble. Mais, pour en revenir à ce dont, il était venu faire.

  • Alors, qu’est ce que tu n’as pas compris dans mon cours ?

Là, elle vient se coller à lui et avec un sourire aguicheur !

  • Rien… ! Si je t’ai appelé, c’est parce que j’avais envie que tu me baises.

  • Ah ok… ! Tu me l’aurai dit au téléphone, je serai aussi venu. C’est tellement bon de baiser avec toi !

  • Est ce que je te plaît comme ça ?

  • Sûrement. Là tu vois, je vais bander dans moins d’une minute !

A ce moment là, elle lui prend la main, l’entraîne vers le canapé, le pousse pour qu’il prenne plus vite place, lui saute sur les genoux et lui fourre ses deux lolos sur le nez avant, de lui offrir ses lèvres pour un long baiser langoureux.

Une fois l’apéro consommé, la belle Judith se jette sur la ceinture de son futal, qu’elle dégrafe avec une agilité déconcertante puis, descend la fermeture éclair et extirpe la queue, déjà bien volumineuse de son cher oncle pour, la masturber avant de lui tailler une magistrale bouffarde.

Un très long moment après :

  • Dis moi, ma petite salope…, tu veux bien me donner ta moule ? J’ai envie de te la bouffer… !

Judith relâche quelques secondes cette bite dont elle raffole, juste pour lui répondre.

  • Y a pas de souci…, tu vas me la bouffer ma chatte. Mais avant, tu vas éjaculer dans ma bouche.

Et, sans ajouter un mot, elle reprend sa fellation. Elle suce, aspire et masturbe cette queue qu’elle s’est promise de faire éjaculer. Et, quelques minutes plus tard, c’est ce qu’il se produit. Son oncle, lui décharge plusieurs giclées de foutre qu’elle déguste avant d’avaler.

Après s’être soulagé une première fois :

  • Alors, ça te va comme ça, ma salope… ?

  • Bien sûr… ! J’adore ton sperme… Maintenant, tu vas pouvoir me la bouffer ma moule. Et, comme ça, tu vas rebander comme un cochon.

Ils se mettent à rire.

  • Plus je te connais, Judith, plus je suis sûr que tu es une vrai salope… !

  • Hey…, c’est aujourd’hui que tu t’en aperçois ?

  • Non ma belle… ! Ça me confirme simplement. Aller, allonge toi sur le canapé, que je te bouffe ta moule.

Aussitôt installée, les cuisses ouvertes et les jambes repliées vers elle, son oncle s’empare de sa chatte, y plante sa langue pour, y déguster son jus de femme. Elle mouille, à tel point, cette moule qu’il en a la bouche remplie de cyprine.

Et là :

  • Ouiii, ma salope… ! Qu’est ce qu’elle est bonne ta chatte !

  • Oui…, vas y…, mange moi la bien !

Deux minutes plus tard, Judith commence à gigoter, dans tous les sens, sur le canapé et à gémir fortement car, ce lascar de Gérald après, lui avoir bien léché et doigté sa chatte, lui a copieusement titillé et suçoté son bouton d’amour. Ce qui, lui a procuré un premier orgasme et à lui, une nouvelle érection.

Alors, il retire sa langue de sa moule, prend sa bite en main et, sans plus de chichi, lui plante tout au fond de sa moule dont, la cyprine lui coule entre les fesses.

Et là, il met aussitôt la machine à faire jouir en route. Dés le second va et vient, Judith se remet à gémir et à l’invectiver de la sorte.

  • Aaaah ouiii…, vas y ! Encore…, baise moi bien…, Heummm, c’est bon… etc, etc… !

Alors, le gentil tonton, redouble d’attention et, s’active encore plus pour la faire jouir au maximum. Ce sera chose faite quelques minutes plus tard. Judith s’envole et quitte la terre pour le nirvana.

Là, il lui pilonne sa moule et, au plus il la culbute, plus elle jouit. Mais, au bout d’un long quart d’heure de ce régime, il ressent que l’arrivée d’une nouvelle éjaculation lui monter à travers les couilles et, comme un pur sang au galop lui envahir le pénis. Et là, il a juste le temps de retirer sa bite du cratère en fusion de la belle et, lui crache au moins quatre giclées de foutre entre et sur ses seins.

Quelques secondes après, Judith revient sur terre et,

  • Oooh mon salaud… !

  • Ça va… ?

  • Ah oui, ça va. Putain, comme tu m’as faite jouir… !

  • Et… c’était bon ?

  • Aaaah oui… ! Il y a que toi, pour me faire jouir comme ça… ! Tu veux pas me baiser encore une fois ?

  • T’en as tant envie que ça ?

  • Oui… ! Je voudrai bien que, tu me la mette dans le cul maintenant.

  • Pour moi, pas de problème… ! Tu as du gel ?

  • Dans ma chambre… !

  • Aller, je te suis… !

Dans la chambre, une poignée de secondes plus tard, Judith prend le tube de gel anal dans le tiroir de sa table de nuit puis, aussitôt, ils s’installent sur le lit. Elle se remet au travail pour remettre en forme la queue de son oncle et partenaire.

Une fois fait, à son tour, il prélève une bonne dose de gel qu’il dépose entre ses fesses sur sa rondelle étoilée puis, masse avec attention son petit orifice qui, petit à petit, commence à se dilaté et, permet à ce bon diable de Gérald de lui fourrer un premier doigt, puis deux à l’intérieur de son trou du cul. Et là, Judith lui fait savoir.

  • Ooooh ouiii, Gérald… ! Oooh c’est bon ça… !

  • Alors, je t’encule maintenant ?

  • Ouiii… ! Mets moi vite ta queue.

Aussitôt, la bite à la main, il se présente derrière elle, à quatre pattes et, une seule poussée suffira pour qu’il voit disparaître son mandrin tout au fond de son intimité. Et là, la machine à jouir se remet en route et, après quelques va et vient.

  • Oooh ouiii Gérald…, c’est bon… ! Encule moi comme ça, c’est bien !

Alors, il lui tamponne les fesses pendant presque un quart d’heure. Elle, elle jouit et même, couine comme une lionne en chaleur à chacun des coups de bite que lui assène son partenaire. Et, au top de la jouissance et, dans un dernier aller sans retour, il éjacule une nouvelle fois et, lui inonde son trou du cul de son jus d’homme.

Judith ne bronche pas. Elle reste impassible avec, la queue de son partenaire plantée, tout au fond de son trou du cul qui, continue à aller et venir lentement. Puis, quelques secondes plus tard, elle finit par réagir, lorsqu’elle sent couler entre ses fesses le sperme de son partenaire.

  • Oh Gérald, ton sperme me coule le long des cuisses… !

  • Je te donne un mouchoir ?

  • Non, pas la peine. Je vais aller me nettoyer. Tu viens avec moi ?

  • Oui, ok… !

Dans la salle de bains :

  • Qu’est ce que c’est bon…, j’aime quand, tu m’encules comme ça ! Ça me fait des…, heum je peux pas te dire… !

  • C’est pas grave… ! En tout cas, tu as un cul, ma belle, que je te dis que ça… ! In me ferait bander, même, si j’étais mort.

  • Arrête de dire des conneries… !

  • C’est pas des conneries.

  • Bon, c’est quand que tu viens me baiser encore… ?

  • Mais, quand tu en as envie. Tu m’appelles et, j’arrive.

  • D’ac… !

  • Je vais y aller.

Après cette petite toilette bien méritée, ils reviennent au salon, s’habillent. Gérald quitte sa nièce en lui disant à demain au lycée.

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