La suite de comment je suis devenue l’esclave sexuelle de mon amant et de ses amis
Je leur donne les moindres détails sur notre organisation, je sais que dévoiler ses informations me vaudra surement une condamnation à mort par le gouvernement de notre pays. Je vais jusqu’a trahir mon amant dans le seul but qu’on me laisse atteindre cette jouissance qu’on interdit depuis plusieurs heures.
– Je vous ai tous dit, laissez-moi jouir maintenant. Je vais devenir folle si vous me laissez comme ca.
Ils me détachent de ma potence, pour me mettre un collier si large que j’ai l’impression d’avoir une minerve, ils me fixent aux poignets et chevilles des bracelets en cuir qu’ils cadenassent individuellement. Ils me ceinturent les avant bras dans le dos avec une lanière en cuir et remontent mes mains jusqu’au collier, fixent les bracelets à un des anneaux du collier me privant de la mobilité de mes membres supérieurs. Je les supplie de ne pas me laisser dans cette position et comment voulez-vous que je puisse me faire jouir. Pour toute réponse on me met un bâillon muni d’un faux sexe rentant jusqu’au fond de la gorge. Les yeux remplis de larmes et la chatte en feu par cette pâte qui se remet à chauffer de plus belle, je les regarde quitter la pièce.
Seule dans cette pièce, je suis obligée de garder la tête droite avec ce collier et ce gode qui va jusqu’à la glotte, je cherche un endroit me soulager la chatte. Je le fais sur le dossier de la chaise métallique que j’enjambe et commence à frotter comme une folle. La jouissance fut tellement forte que mes jambes se dérobent et je tombe sur le sol. Un sentiment de honte me submerge, mes bourreaux ont peut-être raison, je ne suis qu’une chienne. J’ai trahi mon pays et mon amant qu’ils vont surement torturer pour regrouper les éléments, juste pour avoir du plaisir. Je finis par m’endormir au milieu de toutes ces pensés.
Je me réveille en sursaut et me retourne pour voir qui me caresse les fesses, c’est mon amant qui profite de mon sommeil, je veux le prévenir du danger qui le menace mais les seules sons qui sort de ma bouche sont des meuglements incompréhensibles. Il me positionne sur le dos qui à pour effet de me cambrer avec les coudes dans les reins, il m’écarte les jambes et me pénètre avec son sexe et me pilonne comme un sauvage. La situation m’excite et je sens mon con se contracter et la jouissance m’envahir de nouveau, il me soulève les jambes et encule d’un coup sec jusqu’à la garde et entreprend un vif va-et-vient, j’ai la sensation d’avoir à faire un marteau piqueur dans le cul, à ma grande surprise je n’arrête pas de jouir malgré la douleur et son manque de tendresse. Il éjacule dans mes entrailles en me regardant dans les yeux.
– Tu as aimé quand je te traite comme une moins que rien ?
Je lui réponds positivement d’un signe de tête et essaie de parler à travers mon bâillon
– Tu veux me prévenir de quelque chose ma petite chienne, ne te fatigue pas je sais tout.
Je le regarde interloquée, avec un sourire il m’explique que tout ce que j’avais subit était un test et qu’il est un des chefs du réseau.
– Maintenant que vais-je faire de toi, tu n’es qu’une traitresse envers ton pays, qui te condamnera à mort ou la prison à vie, si je te remets entre leurs mains. Je peux te garder avec moi comme esclave pour me servir et assouvir tous mes désirs. Je vais te laisser faire ton choix, si tu veux rester avec moi tu te mets à genoux, les jambes grandes ouvertes, si tu veux quitter, tu fermes les yeux et je te remets à la police en les fournissant les preuves de ta culpabilité.
Je serai inculpée et condamnée à la prison à vie dans les meilleurs des cas s’il me remet entre leurs mains, quitte à choisir je préfère rester avec l’homme que j’aime, quelque soient les conditions. Je me redresse et me mets dans la position demandée. Il m’attrape les cheveux pour me redresser la tête pour me regarder dans les yeux remplis de larmes en me parlant :
– Tu viens de faire ton dernier choix, à partir de maintenant tu n’excite plus, tu n’as plus le droit de regarder qui que ce soit dans les yeux, tu n’as plus de nom ni de prénom, tu répondras à celui de chienne, quand tu auras le droit de parler tu finiras tes phrases par « oui maître ». Ton corps m’appartient, tu n’as plus de droit dessus. Tu as bien compris chienne.
Je baisse les yeux et approuve d’un mouvement de tête. Il me fixe une chaine au collier, me dit de me relever et m’emmène dans une grande chambrée d’une cinquantaine hommes, il me pousse au milieu d’eux, il m’ôte mon bâillon en parlant à ses hommes :
– Elle est à vous messieurs durant toute la semaine, profitez en car nous partons en mission après. Vous avez carte blanche avec elle. La seule nourriture qu’elle a droit pendant cette période est votre sperme.
Il quitte la pièce sans un regard pendant qu’une multitude de mains me caressent et me pénètrent. Un mélange d’excitation et de peur au milieu d’autant hommes, je regarde mon maître m’abandonner. Un des hommes attache une chaine à l’un des bracelets des chevilles et fixe l’extrémité à un pilier, je peux circuler dans la chambre mais pas en sortir. Il me désigne un endroit à même le sol où je pourrais dormir. Il m’ordonne de le sucer et d’avaler, j’ai cru vomir quand il jouit dans la bouche, il m’oblige à sucer et avaler ses copains les un après les autres.
Depuis le début de la semaine je suis obligée de sucer les cinquante sexes à la chaine trois fois par jour, plus les jours avancent, plus je suis rapide à cet exercice. La douleur des bras qu’ils m’ont laissé attachés durant toute la semaine et les crampes à la mâchoire à force de les sucer se sont apaisées, aucune sensation de faim à ma grande surprise en ayant que du sperme pour nourriture, juste un ras le bol d’avaler des litres de protéines par jour. Je me suis habituée aux exercices qu’ils m’imposent plusieurs fois par jours, quand deux s’allongent sur le sol, bite contre bite, je dois les sucer en même temps, quand ils sont trois je dois m’enculer les trois en même temps, quand quarte hommes se mettent en étoile leurs sexes au centre, c’est ma chatte qui doit s’empaler dessus et demain c’est cul qui devra les avaler. J’ai intérêt à les faire jouir en même temps si je ne veux pas de claque sur les fesses et des pincements des seins, si je rate mes exercices de la journée, cela me vaudra vingt coups de fouet sur différentes parties du corps. Ils me baisent et me maltraitent jour et nuit, me laissant peu de temps pour dormir. J’ai l’impression que mes orifices ne vont jamais se refermer, je n’arrête pas de jouir et j’en éprouve honte et fierté.
Nous voici à la veille de leur départ et mon maître doit venir me chercher dans quelques heures, cela fait vingt quatre heures qu’ils abusent de moi en non stop. Ils décident de me laver pour me rendre propre à leur chef, ils me détachent la chaines de cheville et me font sortir le la chambre. Ils me lavent au jet d’eau et balai brosse dans la cour à la vue de toute la caserne, j’ai les cheveux tellement collé et emmêlé par leurs semences qu’ils décident de tondre la tête suivie d’un rasage complet, je suis complètement soumise à leur volonté. Je ne me rebelle même pas quand ils m’épilent le sexe, cil, sourcil à la pince à épilé, cherchant le moindre poil sur le corps, ils en profitent pour me tripoter. Ils admirent leur travail et sont fière de me voir complètement imberbe. Ils me remettent mon bâillon gode et me disent de prendre la position d’attente pour accueillir mon maître, je me mets à genoux jambes écartées, tête baissée, j’attends mon maître.
A suivre… (donnez moi vos idées ou une direction)
Proposée par filou