Comme il arrive parfois, lorsqu’un homme qui vit seul, se retrouve à manquer de telle ou telle chose pour préparer son déjeuner et, qu’il est trop tard pour aller jusqu’au village, il va voir, si une de ses voisines, peut se dépanner.
Aujourd’hui, c’est chez Brigitte que, je trouve ce dont j’ai besoin. Bref comme ça, je peux finir de préparer mon repas.
Puis, dans l’après midi, alors que je suis en train de regarder une vidéo, la sonnette retentit. Je viens ouvrir et.
Bonjour Vincent. Ça va depuis tout à l’heure ?
Rebonjour Brigitte. Oui, ça va bien. Qu’est ce qui t’amène?
Oh, pas grand chose. .. ! j’avais juste envie de parler un peu. Seule à la maison, je m’ennuie.
T’as bien fait. Moi aussi, je me fais chier devant la télé. Aller, viens t’asseoir… !
Merci. Mais, qu’est ce que tu regardes ?
Un film de cul, comme il n’y a pas grand chose d’intéressant l’après midi sur cette télé de merde… !
C’est bien vrai. Il n’y a plus rien.
Alors, je prends la zappette pour stopper la vidéo, pour arrêter la vidéo et là.
Tu peux la laisser. Ça me dérange pas, au contraire même… !
Oui, t’as raison.
Alors nous nous mettons à parler de tout et de rien, comme deux commères, tout en jetant, de temps en temps, un œil sur l’écran. Un peu plus tard, au fil de notre conversation.
Mais au fait, comment ça va depuis l’opération de ton sein ?
Maintenant, ça va mieux. De temps en temps, j’ai encore une petite douleur. Ben, tiens, je vais te montrer la cicatrice.
elle remonte son tee shirt, découvrant sa poitrine et me dit.
Regarde… ! Qu’est ce que t’en penses ?
Ah oui. hé… ! Ils sont magnifiques tes seins.
Couillon que tu es, c’est pas ce que je te demande ?
Je me mets à rigoler puis.
Oui, je sais… ! On voit même plus la cicatrice. Mais, c’est vrai, qu’ils sont beaux tes seins. En attendant, je leurs ferai bien un petit calinou, si tu permets… !
Comment tu es ? Toi, au moins, tu perds pas de temps… ! C’est la vidéo qui te donne des idées ?
Peut être… !Écoute Brigitte, ça fait des années que j’en ai envie. Malheureusement, ça ne c’est jamais fait. Et puis… !
Pourtant tu en as eu des occasions… !
Je sais. Mais, je n’ai jamais osé te le demander.
Je reste là, à contempler ses monts blancs, sans même approcher mes mains. Alors, Brigitte me regarde droit dans les yeux et.
Alors, qu’est ce que tu attends ? Vas y… ! Profites en. Moi aussi, j’en ai envie, mais doucement quand même.
Alors, je l’invite à s’allonger sur le canapé. Ce qu’elle fait aussitôt. Puis, mes deux mains viennent se poser sur ses beaux et gros lolos aux aréoles larges et aux tétons rosés. Il faut dire qu’elle a une superbe paire de seins. Je les caresse, les malaxe avec précautions et fait rouler ses tétons entre les doigts. Quelques secondes plus tard, Brigitte ferme les yeux et dans un grand soupir de bonheur me dit.
Heum… ! Ça fait du bien ça. Ça fait si longtemps… !
Pourquoi, ton mari ne s’occupe plus de toi ?
Plus vraiment et, encore moins depuis l’opération.
Il a bien tort… ! Parce que moi, à sa place, c’est tous les jours que je m’en occuperai.
Tu sais qu’il a une copine depuis pas mal de temps. Alors, je passe après… !
Ça, je le savais… !
Alors, les câlins c’est plus pour moi !
C’est con ça !
Sans en dire plus, je continue de lui malaxer ses seins et, après l’avoir bien chauffée.
Brigitte… ! T’as pas envie de faire l’amour ?
Elle me regarde une nouvelle fois, droit dans les yeux, me lance un large sourire et me dit.
Si tu veux. Ça me fera du bien aussi.
Alors, viens. On va se mettre dans la chambre. On sera beaucoup mieux sur un lit.
Oui, tu as raison.
Nous nous levons et quittons le salon.
Arrivés dans la chambre, je lui ôte son tee shirt et son jean. Elle s’allonge sur le lit. Et là, je lui retire son string. Elle replie ses jambes vers elle pour m’offrir sa grotte d’amour avec une fente magnifique dont, la toison du pubis est réduite à l’épaisseur d’un ticket de bus.
Je me penche juste au dessus de cette très belle chatte, l’embrasse à pleine bouche, comme pour lui dévorer et, ma langue vient aussitôt au contact de celle-ci. Je lui lèche copieusement ses lèvres et, plonge sans tarder entre, pour retrouver son bouton d’amour qui, sous l’effet de mes léchouilles, se dilate et s’empourpre de rose avant que ma voisine ne se mette à gigoter sur le lit et à soupirer fortement.
Passé deux minutes, j’ai la queue un peu à l’étroit dans mon short. Alors, je me relève, délasse le cordon et le fais glisser à mes pieds pour le jeter sur le sol.
Brigitte relève la tète et constate mon érection. Aussitôt, elle saute du lit, se met à genoux empoigne ma queue, commence à la masturber avant de la fourrer entre ses lèvres pour me faire une extraordinaire et longue fellation.
Puis, elle se remet à quatre pattes sur le bord du lit et me dit.
Vincent, baise moi maintenant… !
Il n’y a pas de souci. Car, ça fait des mois et même des années que j’en avais envie. Alors, puisque ce jour là est venu, je ne vais pas faire la fine bouche.
Je me place juste derrière ses fesses, prends ma queue dans la main et, lui plante dans sa chatte jusqu’à la garde. Une chatte accueillante au possible qui mouille presque avec excès. Car, elle aussi en avait très envie.
Aussitôt, le premier va et vient se fait avec ardeur et un appétit qui en dit très long sur notre état d’excitation.
Dans cette levrette endiablée, je lui bourre sa chatte comme un mort de faim. Brigitte soupire de plus en plus et, gémit à chaque coup de queue que je lui donne. C’est que du bonheur.
Quelques instants plus tard,, entre ses gémissements.
Heum…, c’est bon Vincent. Vas y encore… !
Passées pratiquement une dizaine de minutes à lui limer sa moule dont, la mouille me dégouline le long de la queue, je commence à ressentir une éjaculation toute proche Là, je ne sais pas trop quoi faire. Mais, vu la situation dans laquelle nous sommes. Elle, dans une jouissance très avancée et moi, au bord de l’éjaculation, je ne vais pas tergiverser longtemps. Un dernier aller sans retour et dans un beuglement presque bestial, ce sont quatre saccades de sperme qui lui inondent sa chatte.
Et là, quelques secondes plus tard, je retire lentement mon mandrin. Et.
Ah mon cochon… ! Qu’est ce que tu m’as mis ! Ça fait un bail que j’ai plus joui autant… !
Moi aussi.
Vincent…, ton sperme me coule sur les cuisses.
Vas te laver à la douche… !
Tu viens avec moi ?
Bien sûr… !
Je l’accompagne. Elle entre dans la baignoire, fait couler l’eau. Se lave les cuisses et sa chatte. Je la suis, j’en profite aussi pour, me laver la queue. Mais là, ma voisine, qui visiblement, a encore envie de goûter à ma queue, ne me laisse, même, pas le temps. Elle l’empoigne à nouveau, la masturbe vigoureusement afin, de me faire bander le plus vite possible.
A ce petit jeu, elle est très douée. Moins d’une minute plus tard, j’ai la queue, encore, à la verticale.
Là, nous sortons de la baignoire. Elle prend appui sur le meuble vasque, écarte ses jambes au maximum et, m’invite à la baiser une nouvelle fois.
Je ne vais pas m’en priver. Car, moi aussi, j’en ai très envie.
Je lui replante ma queue entre les fesses et lui pénètre, une nouvelle fois, sa chatte. Je l’attrape par les hanches et, les va et vient vont se succéder, à nouveau, dans un train d’enfer. Brigitte jouit, soupire et gémit autant qu’il est pensable.
Quelques instants plus tard.
Brigitte…, t’as pas envie que je te la foute dans le cul… ?
J’avais envie de te le demander. Oui, ça me fera du bien. Ça fait si longtemps… !
Alors, après une petite préparation adéquate, j’empoigne ma queue, lui fourre entre ses fesses et après deux poussées, mon gland commence à lui pénétrer son trou du cul. Puis, il disparaît totalement à l’intérieur. Et là.
Waouh… !
Ça va ma belle ?
Ah oui, ça va très bien. Là, je la sent ta queue.
Elle est un peu trop large ?
Un peu. Mais, vas y, encule moi bien Vincent.
Après ça, le premier va et vient se fait et, il est suivi par de nombreux autres. Ce qui la transporte dans une nouvelle vague de chaleur intense. À présent, elle couine comme une chatte en chaleur. Les Aaah, Oooh, vas y se succèdent jusqu’à ce qu’une nouvelle fois, je lui décharge trois autres giclées dans le cul.
Et là.
Vincent… !
Oui.
Tu m’as démonté le cul. Mais qu’est ce c’est bon… !
Quelques secondes plus tard, nous nous relavons nos sexes et, poursuivons notre discussion.
Merci bien. Mais tu sais, si tu en as encore envie, tu n’auras qu’à traverser la rue. Ma queue sera toujours prête pour toi… !
Merci Vincent. Ne t’inquiète pas, c’est enregistré. On va se revoir souvent.
Il n’y a pas de soucis.
Vincent, je vais te laisser avant que mon mari rentre du boulot.
Ça ferait désordre, tu crois pas ?
Si, si… !
Nous revenons nous habiller et, Brigitte quitte la maison. Je reste avec mes pensées et surtout la perspective de la baiser à nouveau me mettent en joie.
C’est bien vrai, qu’il y a des moments où on est con de ne pas profiter d’une opportunité qui nous est offerte. Mais bon, c’est la vie… !