Voilà une petite aventure qui, se déroule dans un camping naturiste d’une célèbre station balnéaire du sud de la France.
On y retrouve Vincent, un sexagénaire friand de jeune chatte, si possible pucelle, qui y passe ses vacances d’été, comme toutes les années, depuis longtemps. Et parmi les vacanciers du camping, dans le mobile home d’à côté, trois nanas Karen et Frida qui, un couple de lesbiennes et Sophie, une maman célibataire, dans la quarantaine et sa fille Amélie.
Amélie est une adolescente au corps bronzé par le soleil de la méditerranée, qui doit mesurer un peu plus d’un mètre soixante. Elle a un corps aux courbes sympathiques, de longs cheveux roux qui lui encadre son visage parsemé de petites taches de rousseurs et des yeux revolver qui vous fusillent à chaque regard. Mais, cela n’est pas tout. Outre sa beauté de rouquine, Amélie a de très très beaux atouts. Elle possède une magnifique paire de seins bien ronds et hauts perchés dont, les mensurations doivent avoisiner quatre vingt cinq ou quatre vingt dix B ou peut être même C. Mais aussi une paire de fesses cambrées bien fermes qui, en les regardant, donnent envie de les caresser. Mais ici, dans ce lieu entièrement dédié à la nature, où rien ne se cache, puisque tout le monde vit nu, cerise sur le gâteau, cette demoiselle a un pubis bien renflée, démunie de tous poils et une chatte aux lèvres parfaitement dessinées, renfermant en son sein un superbe bouton d’amour, au capuchon très proéminent. Ce que ce coquin de Vincent a longuement observé lors de leurs diverses rencontres.
Depuis déjà plus d’une semaine, cette petite bande de copines, comme tous les autres campeurs et campeuses, se baladent à poil sans aucune espèce de provocation vis-à-vis de leurs voisines et de leurs voisins. Rien de plus naturel pour des naturistes.
Par contre, ce vieux queutard de Vincent, lui, a posé son regard de vieux loup sur la jeune Amélie et ses superbes atouts, qu’il trouve fort à son goût. Quand à elle, le charme et la gentillesse du vieux monsieur mais surtout, la taille de son sexe ne l’ont pas laissé indifférente et même, lui a procuré quelques petites envies de découverte. Puisqu’ils se sont singulièrement rapprochés, au point d’avoir conclus une première relation sexuelle, après une balade à cheval qu’il lui a proposé.
Ce soir, après une belle journée ensoleillée, Vincent se trouve sur la terrasse de son home, lorsque rappliquent la petite bande. Frida et Karen se tenant la main, comme à leur habitude. Karen, elle, qui a du faire la connaissance d’un beau mâle visiblement plus âgé qu’elle, le tient par la taille. Quand à Amélie, elle marche, en rêvassant, à deux pas derrière sa mère et son copain. Mais, lorsqu’elle aperçoit Vincent, elle détalle pour venir le retrouver.
Aussitôt, elle s’assoit sur ses genoux et lui roule une de ces pelles, qu’il partage avec la fouge d’un gamin de seize ans. Arrivée au niveau du mobile home de celui-ci, Sophie s’arrête net et, voyant sa fille embrasser de la sorte ce dernier, réagit aussitôt, tout en rigolant.
Hé… ! Doucement là. Elle est encore pucelle la petite !
Amélie se retourne et répond aussi sec à sa mère.
Non maman !
Et depuis quand ?
Entre temps, Sophie, Karen, Frida et le gars les rejoignent sur la terrasse de Vincent.
Toute fière.
L’autre jour maman. J’ai donné mon pucelage à Vincent !
Oh petite salope… ! T’es bien la fille de ta mère.
Puis, elle se remet à rire et continue.
T’as bien raison ma chérie. Profite bien de tes vacances.
Vincent.
T’inquiète Sophie, avec moi elle risque rien. Je vais tout lui apprendre. Comme ça, elle sera au top ta petite chérie.
Sophie.
Alors prends en bien soin Vincent. Je te la confie. Bon, nous on y va… !
Vincent.
Ben où vous allez ? Restez là ! On va prendre l’apéro.
Frida.
Merci Vincent. C’est gentil. Tu veux que j’aille acheter quelque chose ?
Vincent.
Non Frida. J’ai déjà prévu.
Vers vingt et une heure, après un apéro quelque peu copieux, les voisines quittent Vincent. Seule Amélie reste avec lui sur la terrasse.
Il l’invite à se retrouver à l’intérieur et referme la porte derrière eux. Car une grosse envie de faire l’amour se dessinait déjà depuis un bout de temps. Car, pendant tout le temps où ils ont pris l’apéro, la petite comme l’appelle Sophie, n’a cessé de lui tripoter la queue et lui caresser les couilles. Alors bien sûr, Vincent qui n’est pas de glace, se trimbale un début d’érection depuis déjà un petit moment, que ses hôtes ont certainement pu voir sans, toutefois, rien dire.
Aussitôt à l’intérieur, ils se jettent sur le canapé et d’emblée, Amélie empoigne sa queue, recommence à la masturber et rapidement la fourre dans sa bouche pour lui faire une gâterie spéciale qui, rapidement le met en condition optimale pour sauter sa petite voisine.
Après lui avoir bien masturbé et bien sucé la queue.
Ma poupée, fais moi voir ta chatte que, je te bouffe ton gros bouton… !
Alors Amélie relâche son joujou, s’installe jambes en l’air, sur le canapé et offre sa moule déjà bien humide à la bouche de son queutard de voisin.
Aussitôt, il plonge sa langue entre ses lèvres et, vient rapidement à la rencontre de son clito qu’il suce et aspire jusqu’à le faire doubler de volume. Très vite Amélie se met à gigoter sur le canapé et à soupirer fortement.
Puis, après avoir bien joui.
Vincent, s’il te plaît !
Il relève la tête d’entre ses cuisses et.
Oui ma poupée.
Baise moi maintenant.
Alors, sans plus attendre, il prend sa queue, lui plante entre ses lèvres et met en route sa machine à jouir. Ce qui, après seulement deux va et vient, se produit. Amélie se met à gémir de plaisir et, à chaque coup de bite les heum, aah et autre ouï accompagnent Vincent dans sa tache.
Après quelques minutes, il l’invite à changer de position. Pour ça, c’est lui qui vient se caler sur le divan. Amélie l’enfourche et se plante sur sa queue pour, faire un nouveau tour de manège. Là aussi, quelques secondes suffisent pour l’envoyer à nouveau dans les frasques de la jouissance. Et là.
Vincent…, c’est bon ça !
Mais là, c’est pas comme à la fête foraine, le tour de manège dure bien plus que deux minutes. Amélie jouit de plus en plus et bien sûr, ce vieux queutard de Vincent lui bourre sa chatte avec encore plus d’insistance.
Toutefois, comme il l’a dit tout à l’heure à sa mère, il va lui apprendre et lui faire découvrir les choses du sexe. Alors sur la lancée.
Ma poupée… ! Si tu veux bien te mettre à quatre pattes.
Sitôt dis, sitôt fait. Vincent, reprend sa queue, lui replante tout au fond de sa moule en feu, l’attrape par les hanches et aussitôt lui bourre sa chatte empourprée par le désir et la jouissance, avec encore plus d’intensité.
Nouvelle position pour cette jeune demoiselle qui, lui donne de nouvelles sensations et qui la fait jouir encore plus. Cette fois, les gémissements sont de plus en plus longs et surtout bien plus soutenus.
Mais, comme dans cette position de levrette où elle a pris appuis sur ses avant-bras en creusant le dos, Amélie ne lui a pas offert que sa chatte. Ça lui permet d’avoir une vue directe sur son trou du cul qui lui fait, aussi, très envie et, qui le fait bander encore plus. Alors, tout en lui bourrant sa chatte, il lui a bien massé sa rondelle plissée avant, de lui pénétrer avec le pouce et de le faire coulisser dans son trou du cul. Ce qui, après seulement quelques aller retour la fait gueuler, tellement sa jouissance devient intense.
Les va et vient passent. Vincent commence à avoir la queue en feu, quasiment au bord de l’explosion et Amélie gueule tout son plaisir. Mais, au bout de presque un quart d’heure.
Ma poupée… !
Dans sa demie inconscience, Amélie lui répond en bafouillant.
Oui… Vincent.
Je me retire, sinon je vais éjaculer. Mets toi à genoux.
Sans relever la question, Elle s’exécute et Vincent vient se mettre devant elle, se masturbe énergiquement et quelques instants plus tard.
Ouvre la bouche ma chérie.
Encore trois va et vient. Il approche sa queue au plus près de ses lèvres et, plusieurs jets de sperme s’échappent, pour venir inonder la gorge d’Amélie.
Elle regarde fixement cette queue qui vient de lui remplir la bouche. Puis, elle avale son sperme et se lèche les lèvres avant de lui dire.
Heummmm Vincent !
C’est bon ma poupée, tu aimes ?
Oui, oui !
Viens me lécher la queue. Il y en a encore un peu au bout.
Amélie se rapproche à nouveau, prend sa queue dans la main et lui lèche son gland, mais pas que. Elle se met à lui masturber puis, la fourre une nouvelle fois entre ses lèvres et, recommence à la sucer. Et là.
Ben dis donc… ! T’en as encore envie ?
Oui Vincent. J’en ai très envie même ! Tu sais. Tout à l’heure, tu m’as enfoncer ton doigt dans le cul. c’était vachement bon. J’ai envie que tu m’enfonces ta queue maintenant.
Là, maintenant ?
Oui Vincent, s’il te plaît !
Alors, comme tout bon queutard qui se respecte, il doit, forcément, avoir un flacon de gel anal dans un tiroir. Il s’éclipse trois secondes et revient avec.
C’est quoi ça Vincent ?
Du gel anal. C’est pour que tu n’aies pas mal quand je vais t’enculer.
Ah bon. Je savais pas !
Aller viens, remets toi à quatre pattes sur le canapé.
Après s’être mise en position, il en extrait une grosse noisette et, lui badigeonne son trou du cul puis, petit à petit, lui fait pénétrer un doigt. Et là.
Heum Vincent, c’est bon !
Puis, après un, ce sont deux doigts qui lui élargissent et qui vont et viennent dans son anus.
Oh Vincent, tu me fais jouir comme ça. Plante moi ta queue maintenant.
Alors, comme elle est encore suffisamment raide et, que son anus est bien dilaté, il enduit son gland de gel, la prend dans la main et lui introduit par petites poussées. Petit à petit, son gland puis, sa bite toute entière disparaît à l’intérieur. Et là.
Wahoo Vincent !
Ça va ma poupée ?
Oui Vincent, c’est bon !
T’as pas mal ?
Non Vincent. Vas y… !
Tout est bien pour le meilleur du monde. Alors, il lui tamponne ses fesses et, les va et vient dans son son trou du cul recommencent à la refaire jouir. Mais, au bout d’un quart d’heure à aller et venir dans ce fourreau étroit et, à la faire jouir et crier comme une petite salope, ce grand queutard de Vincent, lui aussi, sent que la fin du voyage est proche. Subitement, il sent monter dans ses couilles et dans sa queue une violente envie d’éjaculer.
Cette fois, pas de retenue, ni question, après un dernier aller sans retour, il lui remplit de sperme son trou du cul.
Après un petit moment d’immobilisation dans son anus, il retire lentement sa queue. Et là.
Alors ma poupée, ça t’a plu ?
Ah oui Vincent. C’est vachement bon.
Tu sais que ta mère a bien raison. T’es vraiment une petite salope !
Ben pourquoi, c’est pas bien ?
Si ma poupée. Au contraire ! C’est bien d’aimer baiser. Et comme ça, tu vas passer de très bonnes vacances ici. Je ne sais pas si tu as vu, il y a pas mal de belles queues au camping.
Ça, j’ai vu tu sais. Mais, j’aime beaucoup la tienne. Elle me fait tellement jouir.
Merci ma poupée.
Et toi Vincent, qu’est ce que tu aimes chez moi ?
Tout ma poupée. J’aime ta bouche, tes grands yeux revolver, tes seins, tes fesses, ton gros clito, ta moule baveuse et aussi, ton trou du cul. Tu vois ça fait pas mal de choses !
Oui, je vois… ! Dis moi Vincent, ton sperme me coule sur ma chatte. Tu peux me donner de quoi m’essuyer ?
Oui ma chérie. Ne bouge pas, je te donne une serviette.
Amélie éponge ses coulures qui lui dégoulinent le long de ses lèvres de chatte puis, elle se lève et vient offrir sa bouche à son queutard de Vincent, pour partager à nouveau un très long baiser. Puis.
Tu penses pas qu’il me faudrait rentrer chez ma mère ?
C’est comme tu veux… ! Mais, si tu veux rester avec moi !
Pourquoi pas. Comme ça, tu me baiseras encore cette nuit !
Oui ma petite salope.
Alors, je reste là.
Voilà comment un vieux queutard soixantenaire va passer un mois de vacances, de rêve, à baiser à longueur de jours et de nuits, avec une jeune fille qui est loin, encore, d’avoir dix huit ans.