Après un petit massage

Par une chaude après midi de juillet, alors que je bossais dans mon atelier, Géraldine, la femme de mon copain et associé Mathieu, qui était allongée sur son transat, dans le jardin en train de se faire dorer, m’appelle.

•Pépé… !

•Oui,, qu’est ce qu’il y a !

•tu pourrais venir me mettre un peu de crème dans le dos ?

•Bien sûr.

Alors, je descend, m’approche d’elle et là.

•Mets moi un peu de crème sur le dos stp !

Je prends le flacon, qui se trouvait juste à coté. J’en extrait une bonne dose et commence à lui tartiner le dos. Puis.

•Je te délasse ton maillot ? Comme ça tu n’aura pas de trace. Parce ce que c’est pas très sympa la trace du maillot… !

•Tu crois ?

•Bien sûr !

•Bon, d’accord.

Alors, je lui délasse son maillot, afin de poursuivre ma prestation, puis je la laisse à son bronzage et lui disant.

•Si t’en as encore besoin, appelle moi !

•D’accord Pépé.

Guère plus d’une demie heure plus tard, elle me rappelle. Je redescend et lorsque j’arrive près d’elle, elle est allongée sur le dos. Là, je remarque que cette nana, que je croyais bien connaître, je ne la connaissais pas vraiment, surtout physiquement.

Voilà, qu’elle offre à mes yeux son corps presque totalement nu. Un corps avec de magnifiques courbes, un ventre plat, un pubis bien bombé qui fait une superbe bosse dans son bas de maillot, de jolies cuisses, des jambes fines et surtout une belle paire de lolos.

•T’as encore besoin de mes services ? Tu veux que je te fasse le devant, cette fois !

•Oh… ! Comme tu y vas ?

Puis, elle se met à rire.

•C’est juste une proposition !

Là, elle me regarde avec un petit sourire qui, pour moi, ressemble à une invitation. Parce que nous sommes juste elle et moi. Mat, son homme, lui est parti ce matin pour une prestation à l’extérieur.

•Alors, je peux… !

•Bien sûr que tu peux… ! Tu crois que j’ai pas compris ton petit manège ?

•Géraldine, tu me connais !

•Bien sûr.C’est parce que je te connais, que je te dis ça. Ça fait un bout de temps que je vois bien que tu aimerais bien me sauter. Je me trompe.

•Non, t’as raison. Mais, je ne savais pas comment te le dire.

•Aller, viens… !Après tout, il n’y a pas de mal à se faire du bien.

Alors, cette fois, je ne prends pas de crème. Car, pour ce que allons faire, il n’y en a pas besoin. Mes mains viennent se poser sur ses seins et commencent à les peloter avec frénésie et application.

Quelques instants plus tard, Géraldine me jette un coup d’œil et me dit comme ça.

•Dis moi Pépé,t’as les mains douces… !

•Et toi, les tétons dressés comme des missiles.

•En tous cas, c’est vachement bon !

•On va un peu plus loin ?

•Ben, je crois que tu es là pour ça… !

•T’as raison.

Alors, après lui avoir bien fait bander ses tétons, mes mains s’acheminent lentement vers son merveilleux monticule et, attrapent délicatement les deux ficelles de son maillot, tirent dessus et comme par enchantement, celles-ci se dénouent. Puis, je prends entre mes doigts le bout de tissu, tire dessus vers ses cuisses et là, je n’en crois pas mes yeux. S’offre à moi, une magnifique vulve dépourvue de gazon.

Aussitôt, ma main droite rejoint sa fente magique. Je commence à la masturber. Après un petit massage, Géraldine me rejette un nouveau coup d’œil et me dit encore.

•Pépé,tu me fais du bien, tu sais ?

•J’espère !

•Ouvre tes cuisses,que je te mange ton clito.

Pas de soucis, elle obtempère aussitôt, offrant ainsi à ma bouche son bijou d’amour. Ma bouche vient aussitôt se poser sur sa chatte chaude et humide à souhait. Ma langue plonge aussitôt entre ses lèvres et vient à la rencontre de son bouton d’amour que je lèche, aspire et suce abondamment.

Quelques secondes plus tard, elle se met à gigoter et à soupirer sur son transat avant de me dire.

•Pépé… !Donne moi ta queue. J’ai envie de te sucer.

Je relâche aussitôt mon job. Je me relève, ôte mon tee-shirt, dégrafe mon futal et extirpe ma queue en érection de mon caleçon.

A ce moment là, Géraldine se lève de son transat, vient se mettre à genoux devant ma queue et avant de la mettre entre ses lèvres, la regarde, yeux grands ouverts, et me lance.

•Tu as une belle queue, toi aussi… !

•Ah bon. Merci.

Puis, aussi sec, elle l’enfourne entre ses lèvres pour me tailler une délicieuse pipe.

Quelques minutes plus tard.

•Pépé… !Prends moi maintenant.

•Ici ?

•Pourquoi, ça te gène ?

•Pas vraiment. Mais il faudrait pas que quelqu’un vienne au magasin !

•Ça risque rien, j’ai fermé le portail à clef.

•Ah ok… !

•Aller, viens me baiser. J’en ai trop envie !

Alors, elle s’allonge sur le transat, ouvre ses cuisses en les repliant vers elle, offrant sa chatte à ma queue. Je me mets devant elle, prend ma queue en main et ni une, ni deux lui plante tout au fond de sa grotte en fusion.

Aussitôt, les va et vient s’enchaînent et ma partenaire se met rapidement à jouir. Elle gémit, à presque chaque coup de boutoir.

Quelques instants plus tard, je lui propose de la prendre en levrette. Alors, une fois en position, à quatre pattes sur le transat, m’offrant ainsi ses fesses, sa chatte et son trou du cul, je viens me placer derrière elle. Mais avant de lui défoncer sa moule.

•Hey… ! Tu sais que ta as un joli trou du cul.

•Pépé…,s’il te plaît !

•C’est vrai. Il a l’air très accueillant, tu sais !

•Si tu le dis… !Mais j’ai jamais fait ça.

•On peut essayer !

•Je sais pas. Onverra tout à l’heure… peut être !

•D’accord.

Assez parlé. Je reprends ma queue en main et lui replante dans sa chatte, toujours aussi chaude et encore plus mouillée qu’avant. Puis, les va et vient reprennent de plus belle et, Géraldine recommence à jouir, tout comme tout à l’heure

De mon côté, j’ai quand même bien envie de lui dépuceler son trou du cul. Alors, tout en lui bourrant sa chatte, discrètement, je commence à lui tripoter son petit trou, à lui cajoler en humectant mes doigts de salive et en lui faisant pénétrer petit à petit.

Insensiblement, sa rondelle étoilée se dilate et mon majeur finit par y pénètre. Quelques instants plus tard, c’est mon pouce qui lui pénètre son trou du cul. J’ai comme l’impression qu’elle commence à être disposée pour une sodomie.

Maintenant, ça fait plus de cinq minutes que je lui laboure sa chatte et lui trifouille son trou du cul sans même qu’elle ne proteste. Alors, je me permets de lui poser, à nouveau la question.

•Alors, ça tedit ou pas, une petite sodo ?

•Au point oùon en est, je crois que je vais y avoir droit.

•C’est comme tu lesent… !

•Ben d’accord.

Alors, je lui bourre encore un peu sa moule en finissant de lui enduire son cul de salive, au maximum, en lui faisant naviguer désormais mon majeur et mon index entre ses parois anales.

Cette fois, je crois qu’elle est prête pour l’assaut. Alors, je retire ma queue de sa chatte détrempée et, sans plus attendre, la présente à l’entrée de son cul. Délicatement mais sûrement, ma queue s’insère entre ses parois anales. Et là.

•Ouah… ! Là,je la sent bien ta queue.

•Et, c’est bon oupas ?

•Oui, oui… !C’est bon.

Alors, une fois bien planté, je commence le premier va et vient dans son fourreau anal serré à merveille. Je sent ma queue aller et venir à chaque coup de rein. Mais, du temps que je lui défonce le cul, elle se masturbe sa chatte pour, jouir encore plus fort. Et pour ça, il n’y a pas de soucis. Elle soupire, gémit à chacun de mes coups de queue. C’est un moment magique.

Je l’encule à fond pendant encore dix bonnes minutes et, ça la fait grimper aux rideaux. Mais, les bonnes choses, ont toujours aussi une fin.

Et là, subitement, une immense envie d’éjaculer commence à me tarauder. Mais avant, je préviens ma partenaire.

•Géraldine… !Je vais pas tarder à éjaculer. Qu’est ce qu’on fait ?Je crache dans ton trou du cul ?

•Non, j’ai envie deboire ton foutre.

Alors, après un dernier aller retour, je retire ma queue de son cul. Elle se met à genoux devant moi et, je finis de me masturber devant sa bouche ouverte.

Quelques coups de poignets plus tard, plusieurs giclées se déversent dans sa bouche. Une fois mon sperme avalé, Géraldine reprend ma queue en main et la lèche, afin d’en récupérer la moindre goutte.

Voilà comment, par une chaude après midi de juillet et un massage de crème solaire, qu’une partie de baise se dessine.

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