Annabella est l’aînée d’une d’une fratrie de cinq filles dont, la maman est la fille de la sœur de mon ex-compagne. Mais, elle est aussi ma filleule.
Il y a quelques jours, elle a eu dix huit ans et, pour cette occasion, je suis venu passer deux semaines de vacances chez elles. Et, pour bien marquer cet événement particulier, qu’est le passage de l’adolescence à celui d’adulte, j’ai décidé de qu’en cadeau, je l’emmènerai passer un week-end. Et pour ça, j’ai loué un bungalow dans un camping quatre étoiles sur les bords de la Côte d’Azur.
Mais, la veille, alors qu’elle est en train de préparer sa valise, elle me fait demander par Emma, sa petite sœur, qui accourt aussitôt.
•TontonAdrien, Annabella t’appelle.
•Qu’estce qu’elle veut ?
•Je saispas.
J’accours aussitôt et, une fois dans sa chambre.
•Parraindis moi… !
•Oui machérie, qu’est ce qu’il y a ?
•Qu’estce que j’emporte ?
•Aumoins ton maillot de bains. Mais, n’oublie pas que nous irons auresto et en boite pour fêter ton anniversaire.
•Biensûr parrain… ! Mais, merci de me le rappeler.
Puis, elle se remet à faire sa valise et moi, je m’assoie sur le bord de son lit et, la regarde attentivement pendant un long moment jusqu’à ce qu’elle s’en aperçoive et là.
•Qu’estce qu’il y a parrain pour, me regarder comme ça ?
•Rien despécial. C’est juste que, je trouve de plus en plusattirante. Et, avec ton m ini short qui te moule tes fesses,, tu medonnes encore plus envie de te faire un énorme câlin.
•Parrain,pas ici et pas maintenant… !
•Biensûr ma chérie. Il y a un peu trop d’yeux pour nousvoir, tu crois pas ?
•Si, si.Mais, demain, il n’y aura personne pour nous voir.
•Y a pasde soucis. En attendant, viens me donner tes lèvres que, jeleurs fasse un gros bisou.
Bon, après une soirée raccourcie et une nuit de sommeil, nous décampons très tôt, car nous avons pas mal de route à faire.
Arrivés au camping, nous prenons les clefs de notre logement, nous nous y installons et, comme il est encore temps d’aller prendre un bon bain, nous nous apprêtons à nous changer. Mais, avant d’enfiler nos maillots.
•Annabella… !Hier, quand je t’ai dit que tu étais de plus en plus belle,j’avais envie de te faire l’amour.
•Maisparrain, ça, je l’ai bien compris.
Il faut dire que cette petite demoiselle a été très bien dotée par dame nature. Depuis son passage d’enfant à adolescente et, maintenant, à jeune femme, la transformation de son corps a été un enchantement.
Aujourd’hui, c’est une jeune fille à l’allure sportive, de taille moyenne mais avec, des atouts très convaincants. Outre sa peau légèrement basanée dû à ses origines italiennes, elle a un très joli visage avec, des yeux gris bleues, une délicieuse bouche aux lèvres épaisses avec un petit grain de beauté et une longue chevelure brune aux mèches blondes ondulée. Elle a aussi l’avantage de posséder une belle paire de seins, hauts perchés, ronds et bien fermes à souhait. Mais, sa beauté ne s’arrête pas ici. Un ventre plat, une taille fine, de belles hanches et de belles fesses bien pleines, font qu’Annabella est une véritable petite bombe. Et pour finir, cerise sur le gâteau, elle a un bijou d’amour que beaucoup aimeraient posséder. Son pubis magnifiquement dessiné, bombé à souhait et surmonté d’un petit triangle de poils noirs, finement taillés, abrite une splendide fente avec, un généreux clitoris et, de belles lèvres brunes qui cachent une très accueillante grotte d’amour.
Voilà, maintenant, vous pouvez vous faire une idée plus précise d’Annabelle. Quand à moi, je peux témoigner pour, y avoir goûter, déjà, plusieurs fois.
Et après la plage.
Nous voilà de retour au bungalow et, en attendant d’aller au resto et en boite pour, passer une bonne soirée, nous nous retrouvons dans la salle de bains, pour nous ôter le sel de la peau et là.
•Alorsma chérie, on se le fait ce câlin ?
•Là,maintenant ?
•Benoui… ! Moi, j’en ai bien envie… ! Pas toi ?
•Si !Ça fait si longtemps… !
Comme nous sommes déjà à poil puisque, nous devions prendre une douche, Annabella se rapproche de moi, se pend à mon cou et m’offre ses lèvres. Aussitôt, nous langues se mélangent dans un long baiser.
Puis, je la saisie par les fesses, la plaque contre mon bassin pour ressentir la chaleur qui se dégage de sa chatte contre mon pénis. Et, du temps que nous nous roulons cette délicieuse gamelle, je lui pétris ses fesses et commence à lui caresser sa raie et sa chatte par derrière, jusqu’à ce que mon majeur trouve l’ouverture de sa grotte d’amour, qui est déjà bien mouillée et, plonge à l’intérieur. Et là.
•Heum,parrain… !
•Çate plaît ma chérie ?
•Ahoui… ! Et, ça fait si longtemps.
•Etoui…, ça fait longtemps.
C’est vrai que ça fait longtemps. La dernière fois, c’était pour Noël.
Et là, l’un comme l’autre prenons l’initiative de nous occuper du sexe de l’autre. Annabella empoigne ma queue, commence à la branler, pour la mettre en forme et moi, à lui peloter les seins et ses tétons. Car, je sais que ça, ça va rapidement l’émoustiller. Quelques instants plus tard, elle se met à genoux, empoigne ma queue, l’engloutit dans sa bouche, me suçote le gland du bout de la langue, la masturbe puis, se met à la sucer goulûment. Quelle délicieuse fellation elle me fait là.
Quelques instants plus tard.
•Allongetoi sur le tapis.
Et là, elle replie ses jambes vers elle, m’offrant sa délicieuse fente juteuse. Je me mets à genoux devant elle, me penche juste au dessus et, comme un mort de faim, ma bouche vient se plaquer sur sa vallée des merveilles. Puis, elle plonge immédiatement entre ses lèvres et, entre rapidement en contact avec son bouton d’amour, que je suce et titille longuement. Puis, elle plonge à l’intérieur de sa grotte d’amour pour se délecter de son jus de femme. Qu’est ce que c’est bon. Et, c’est tellement bon que, j’en ai, même, l’impression que ma queue a triplé de volume.
Après ses premières et délicieuses intentions, je lui propose de poursuivre par cette partie des préliminaires, la soixante neuf, qui est celle que je préfère. Mais, je ne suis pas le seul. Car, c’est une gâterie que j’ai fait appréciée et aimée à ma filleule.
Alors, aussitôt en position, elle retrouve ma queue et moi, comme tout à l’heure, sa chatte. Elle se remet à me sucer et à me masturber. Ma langue retrouve aussitôt son bouton d’amour, mais aussi l’entrée de sa grotte d’amour. Ma langue s’enfonce au plus profond qu’elle peut. Et ça, ça la fait totalement chavirer. Annabella soupire, gémit et commence à gigoter comme un vers. Puis.
•Heumparrain, tu me fais jouir… !
•J’espèreque c’est bon ma chérie ?
•Ouiparrain, c’est bon… !
Quelques secondes après.
•Faismoi l’amour maintenant stp… !
•Machérie, tu veux pas qu’on aille dans la chambre ? Onserait bien mieux… !
Aussitôt, elle descend de son cheval. Moi, je me relève et, nous filons dans la chambre. Elle s’allonge sur le lit, retrousse ses jambes vers elle, comme tout à l’heure. Là, je viens me placer au dessus d’elle. Je reprends ma queue en main, l’approche de sa grotte, déjà prête à m’accueillir et, lui plante jusqu’au plus profond de sa moule débordante de cyprine.
Dés le premier va et vient, c’est l’extase.
•Heumparrain… ! C’est bon. Vas y. fais moi, encore, jouir.
Dans l’instant qui suit, et à pratiquement chaque coup de bite, Annabella m’accompagne par de longs gémissements et des aaah, c’est bon, encore parrain, qui me donnent encore plus envie de la caramboler.
Ce que je vais faire, deux minutes plus tard, en la prenant en levrette. Annabella se met à quatre pattes sur le bord du lit, écarte, largement, ses jambes pour m’accorder un meilleur accès à sa grotte d’amour. Je lui replante, immédiatement, ma queue tout au fond de sa moule. Je l’attrape par les hanches et, les va et vient repartent de plus belle. Et, comme tout à l’heure, pratiquement à chaque coup de rein, Annabella m’offre un concert de gémissements et, toujours ses aaah, oooh, vas y parrain, c’est bon, font que je redouble d’attention pour la faire encore plus jouir.
Alors, pour qu’elle jouisse encore plus, je vais jouer avec elle et pour ça, faire varier le tempo des va et vient. Tantôt, ma queue va et vient lentement et profondément, tantôt, j’accélère et là, se sont de courts va et vient, juste à l’entrée de sa grotte, qui la replissent de bonheur. Rapidement, je me rends compte qu’Annabella est en train de quitter le plancher des vaches pour les hautes sphères du plaisir. Mais, elle n’est pas la seule. Car, à ce petit jeu là très vite, je la rejoins. Quelques secondes plus tard, dans un dernier aller sans retour, je lui gicle au plus profond de sa grotte d’amour.
Lentement, je retire ma queue de cette fournaise qui, déborde de cyprine et m’a tant fait jouir, et qui, quelques secondes plus tard régurgite mon sperme qui, lentement, s’écoule sur le bord du lit.
•Ah ma chérie…!
•Oui parrain.
•C’était bon?
•Ah oui, c’était mêmevachement bon.
•Et bien, on se jette sous ladouche?
•Aller oui. Mais tu me fais ledos…!
•Et comment…! Y a pas que le dosque je vais te faire, petite coquine…!