Il est encore tôt, lorsque je me réveille. Et comme chaque jour, à mon réveil, je me trimballe une érection d’enfer. Mais, qu’importe, c’est encore mal réveillé que je sors de ma chambre à poil, traverse le couloir, une serviette sur l’épaule et me précipite dans la salle de bains, qui se trouve juste en face.
A peine à l’intérieur, je me retrouve, pour ainsi dire, nez à nez avec Violaine, une jeune femme dont j’ai fait la connaissance hier soir à table, tout aussi nue que moi, sortant de la douche.
Violaine est une nana d’environ vingt, vingt cinq ans, brune aux cheveux bouclés et à la peau mate. De ce que je vois en entrant dans la salle de bains,, c’est qu’elle est plutôt à classer dans la catégorie des petites bombinettes. Elle a de fort belle hanches, des fesses bien rondes et très cambrées. Et, lorsqu’elle se retourne vers moi, je vois une magnifique paire de lolos, bien ronds, bien fermes, hauts perchés avec de larges aréoles et de gros tétons que, j’ai bien envie de suçoter.
Autant surpris l’un que l’autre, nous nous excusons mutuellement. Mais, s’apercevant de l’état de mon sexe, qu’elle regarde fixement, elle ne peut s’empêcher de faire cette remarque en rigolant.
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Et bien dis donc… ! Je ne m’attendais pas à une visite aussi importante. Quel bel engin… ! Je peux faire quelque chose pour ça ?
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Pourquoi pas… ! Mais, dis moi… ! En tous cas, je ne regrette pas d’être là, même si ce n’était pas prévu.
Je m’avance vers elle, la queue dans la main, commençant à me masturber et elle aussi, fait quelques pas vers moi, tend la main pour prendre ma queue, puis elle se lève sur la pointe des pieds et m’offre ses lèvres pour obtenir un baiser. Un baiser langoureux qui me met aussitôt en émoi.
Une fois rassasiée, elle me dit.
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Heummm… ! Qu’est ce que c’est bon comme ça, au petit matin… !
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Ah oui… ! C’est sûr que c’est bon. Et en plus, une telle rencontre comme ça…, ça ne m’est jamais arrivé.
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Là, tu ne pourras plus le dire.
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Ben oui…, mais dis donc, c’est vachement bon ce que tu es en train de me faire.
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J’espère… ! Car tu sais, j’en ai bien envie aussi de ton gros jouet. Caresse ma chatte, tu vas voir, elle est déjà toute mouillée.
Et bien puisque l’invitation est lancée, je ne m’en prive pas. Alors, ma main rejoins son entre cuisses et, tout en les caressant, remonte jusqu’à se poser sur sa chatte. Là, je sens cette chaleur humide qui, me donne encore plus l’envie de ma la baiser, là dans la salle de bains.
Je lui caresse sa fente de bas en haut jusqu’à ce que ses lèvres s’entrouvrent et laissent pénétrer mes doigts qui, vont très vite lui titiller son bouton d’amour. Là, Violaine pousse un long soupir, pour approuver le délice de ces caresses.
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Heummm…, ça fait du bien. Caresse moi bien… ! J’ai trop envie.
Quelques instants plus tard, après que je lui ai bien cajoler son clito et doigté sa chatte, elle se met à genoux devant moi, fourre ma bite entre ses lèvres et, commence à me sucer. Les premières sensations de plaisir arrivent et à ce moment là, j’ai bien du mal à rester de glace, tellement elle suce divinement.
Deux minutes plus tard.
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Waouh… ! C’est divin… ! Tu vas finir par me faire cracher… !
Alors, elle relâche ma queue pour me répondre.
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Non non… ! T’inquiètes pas. Avant, tu vas me baiser bien à fond. J’ai trop envie de ta queue. Je veux qu’elle me fasse jouir comme une dingue.
Et, aussi sec, elle reprend mon sexe et recommence sa divine fellation.
Quelques minutes plus tard.
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J’en peux plus Vincent, prends moi maintenant.
Alors, elle laisse ma queue en feu et, vient prendre appui sur le meuble vasque. Elle se couche littéralement sur la vasque, écarte ses jambes autant qu’elle peut pour, offrir à ma queue ses fesses, sa moule regorgeant de cyprine et son trou du cul. Un trou du cul qui est une véritable invitation à la sodomie, et qui me donne encore plus envie. Mais ça, on verra plus tard, si c’est faisable.
Alors, je m’accroupis et tout en me masturbant, lui plante la langue entre ses lèvres toutes engluées de cyprine, lui dévore son clito, lui bouffe sa chatte baveuse à souhait et viens finir par lui lécher, abondamment, son trou du cul. Et là :
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Vincent… ! Qu’est ce que tu me fais là…, c’est trop bon ça… !
Je stoppe mes léchouilles et :
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Pourquoi…, ça te dit ?
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Peut être, peut être… !
Bref, pour son trou du cul, on verra plus tard. Pour le moment, c’est de sa moule baveuse que je vais m’occuper.
Après lui avoir bien doigter sa chatte et son trou du cul, je me relève, je prends ma queue dans la main, l’approche de son bijou d’amour et une seule petite poussée suffit, vu l’état de sa moule et comme par enchantement, je la vois disparaître totalement.
Et là :
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Heum Vincent… !
-
Qu’est ce qu’il t’arrive ?
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Qu’est ce que c’est bon… ! Vas y…, fais moi jouir.
Aussitôt, je l’attrape par les hanches et mets la machine à plaisir en route et, il ne faut pas bien longtemps pour que les soupirs et les gémissements fassent leurs apparitions. À chaque coup de queue, Violaine m’accompagne par de longs « Aaaah…, Heummm… ou encore, Ouiii, c’est bon ».
Alors, je m’applique à lui bourrer sa chatte et plus, je la lui bourre, plus elle jouit.
Passé ce très long moment où Violaine n’a cessée de soupirer, de gémir, de couiner et tout et tout, je n’ai pour ma part, plus qu’une envie, lui planter maintenant ma queue dans son trou du cul qui, depuis tout à l’heure me nargue à chaque pénétration. Alors, tout en continuant de lui bourrer sa chatte en levrette :
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Violaine, j’ai envie de ton trou du cul. Ça te dit ?
C’est d’une voix haletante, qu’elle me répond.
-
Oui Vincent.
Alors, je retire lentement ma bite de sa moule totalement détrempée, récupère avec les doigts le plus possible de son jus de femme, lui enduis, copieusement, sa rondelle étoilée puis, une fois le passage bien rodé et dilaté, lui présente mon phallus à l’entrée.
Même si ça a l’air de ne pas être sa première fois, je vais tout doucement pour, la pénétrer, car le bâton de gendarme est plutôt plus large que la moyenne.
Après deux poussées, la petite ouverture s’élargit un peu plus et là, mon gland commence à s’y engouffrer et se fraye un chemin.
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Oh Vincent…, c’est bon. Mais vas y doucement.
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Pourquoi, tu as mal ?
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Un peu… ! Tu sais…, tu as une queue un peu épaisse.
Puis, elle se met à rire, et moi, je la rejoins dans ses rires, mais je continue de faire progresser, lentement, ma bite à l’intérieur de son fourreau anal.
Un petit moment après.
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Ça va comme ça, ma belle ?
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Oui Vincent, c’est bon… !
Quelques secondes plus tard, à force de petits va et vient, ma queue a complètement investie son anus, alors :
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C’est bien comme ça Violaine ?
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Heum oui… ! Mais tu sais, je la sens très bien… !
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Alors, on y va… ?
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Oui Vincent, je suis prête.
Alors, je l’empoigne par les hanches. Elle s’agrippe au meuble et aussitôt, s’en suit le premier va et vient bien profond puis, bien d’autres qui vont rapidement emmener ma partenaire, une nouvelle fois, dans le monde de la jouissance. D’autant que pour qu’elle soit encore plus intense, elle n’hésite pas à se masturber la chatte.
Comme tout à l’heure, ses fesses claquent contre mon bassin et les « Aaah, Oooh, c’est bon » se suivent à chaque coup de reins, mais aussi « Vas y, encore et même fuck me Vincent » m’accompagne et me donne encore plus envie de la sodomiser.
Bref, ce petit tour de manège aura bien duré un bon quart d’heure. Jusqu’au moment fatidique où, je commence à ressentir la montée de mon sperme à travers mes couilles et ma queue.
Alors, je ralentis, très vite, le mouvement et deux va et vient plus tard, c’est dans un grognement bestial que, je lui emplis son trou du cul d’au moins quatre énormes giclées de sperme.
Après, être resté immobile dans, son trou du cul, jusqu’à ce que ma bite débande un peu, je la retire de ce fourreau étroit et serré et là Violaine, regarde couler, tout en rigolant, entre ses jambes mon jus d’homme puis, se retourne vers moi pour me dire.
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Ben mon cochon… ! Qu’est ce que tu m’as mis !
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C’était bon au moins ?
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Bon ??? c’est même pas le bon mot. Jamais personne m’a enculer comme ça… ! Je te jure Vincent.
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Merci ma belle. Je vais te dire que je me suis régalé aussi… ! Tu as un trou du cul… ! On dirait un écrin de velours. J’en ai encore la queue toute excitée. Je remettrai bien ça… ! Pas toi ?
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Si si Vincent. Mais là, moi, je vais reprendre la route. Et toi aussi je pense… !
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Hélas oui. Mais avant de nous quitter, on va échanger nos téléphones. Parce que nous n’habitons pas très loin l’un de l’autre.
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Oui, exact… ! Comme ça, nous referons notre parcours de vacances ensemble. Ça sera très sympa… !
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Et aussi, tu me sodomiseras comme aujourd’hui.
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Pour ça, il n’y a pas de problème.
Bref, nous essuyons les traces de notre passage. Violaine, repasse par la douche. J’en fais de même. Puis, nous nous retrouvons à table pour, prendre notre petit déjeuner.
Une demie heure plus tard, nous quittons la maison d’hôte de mémé Pignon pour poursuivre, chacun, notre route.